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sachant que j'ai perdue 4kilo j'ai pas le gout de manger et je ne voulais pas me forcer a manger j'ai 18ans et je pèse 43kilo

2006-06-22 05:06:14 · 4 réponses · demandé par doudou 2 dans Santé Santé féminine

4 réponses

bonjour

Je te conseil pour retouver l'appétit de boire de l'eau, je sais boire de l'eau c'est difficile et on n'a impression d'etre remplie mais c'est faux. De que tu te leves le matin tu bois un grand verre d'eau cela t'aidera à avoir faim et à prendre un petit déjeuner (je ne sais pas si tu manges le matin).

Fais du sport le soir avant 19h, des petit exercice de gynastique comme sa tu auras faim et tu regrossira bien.

Essayer de manger à tous les repas meme en petite quantité (à 16 heures aussi)

bon courage

2006-06-25 23:02:16 · answer #1 · answered by lila 3 · 1 1

j'ai connu cela, le probleme vient de ta mère, je pense, alors, essaie de lui dire ce que tu as envie qu'elle entende!

2006-06-22 05:39:56 · answer #2 · answered by dunesse 4 · 0 0

l'anorexie de la petite libellule

La petite libellule qui se transformait en femme libellule


Il était une fois une petite fille libellule qui se transformait en femme libellule
Comme vous le savez certainement, il arrive un moment dans la vie d’une petite fille libellule où son corps se modifie et se transforme. Comment ? Eh bien ses hanches deviennent plus rondes, ses épaules moins pointues, sa poitrine commence à pousser sur l’avant et il arrive même un jour où arrive ce qu’on appelle au pays des libellules des règles. Les jeunes filles sauterelles perdent du sang tous les mois, durant quelques jours.
Je dois vous dire que cette petite libellule n’aimait pas du tout cela, mais pas du tout !
Elle en était extrêmement gênée, pleine de confusion et de colère en voyant son corps changer. Elle sentait depuis quelques semaines que les regards des garçons libellules n’étaient plus les mêmes, leurs yeux se posaient plus souvent sur sa gorge, s’attardaient sur ses fesses et sur d’autres parties de con corps !
Ce qui la paniquait surtout, c’était le regard des voisins, des hommes sauterelles de l’immeuble où elle vivait. Et aussi le regard de l’épicier, du marchand de journaux, du conducteur de bus quand elle allait au collège. Elle se sentait comme salie, comme dépossédée de son propre corps.
Elle avait beau mettre des pulls sac de patates, des blue-jeans trop larges pour elle, des baggies, des blouses flottantes pour cacher ses fesses, avec un pull noué par les hanches autour de la taille, son malaise et sa colère persistaient. Sans en être consciente elle commença à haïr son corps, à le détester comme s’il était un étranger. Elle le lavait, le frottait, le brossait avec une rage qui faisait grincer ses dents.
Puis, insensiblement, elle commença à détester aussi la nourriture. Elle refusa de manger à table. Tous les plats la dégoûtaient. Mais comme c’était une petite libellule très vivante, elle avait faim et mangeait en cachette, n’importe quoi, puis allait vomir dans les toilettes.
Bien sûr son corps se modifia, sa poitrine dégonfla, ses fesses disparurent, ses règles s’arrêtèrent. Elle était semblable à un petit grillon tout ratatiné, tout sec, qui n’éveillait plus aucun regard, ni désir chez les sauterelles garçons. C’était à la fois pathétique et extraordinairement courageux, ce combat que menait toute seule cette petite libellule pour retrouver un corps de petite fille, pour tenter d’échapper aux attentes et aux désirs dont elle se sentait entourée.
Je dis toute seule, parce qu’il lui fallait lutter contre le désir de ses parents, de sa mère surtout qui la poussait à manger sans savoir qu’elle mettait au supplice son enfant. En lui disant de manger, de prendre un peu de poids, de retrouver ses formes, c’est comme si sa mère la poussait vers le désir des hommes sauterelles !
C’est un malentendu fréquent chez les libellules, quand les parents ne sentent pas toujours dans quels domaines intimes se vivent les conflits chez leurs enfants. Plus la mère insistait et plus la petite libellule se fermait, se butait, la situation menaçait de durer. Des médecins sauterelles consultés appelaient cela anorexie. ANOREXIE, vous sentez combien la dernière syllabe grince entre les dents, entre les gencives, comment c’est une syllabe coupante, en scie !
Un jour, la maman libellule décida de parler d’elle à sa fille, de lui raconter pleins d’histoires vraies sur la petite libellule qu’elle avait été. Comment toute petite, elle éprouvait plein de plaisir dans des situations banales comme sauter à la corde, se bagarrer avec un garçon, grimper sur les genoux d’un ami de ses parents, serrer très fort entre ses jambes son petit ourson préféré… et ressentait ainsi plein d’émois dans son cœur. Tant de choses innocentes, mais si chargées de plaisir pour la petite fille qu’elle avait été. Elle put dire à sa fille qu’elle avait à la fois du plaisir et de la peur à découvrir les marques d’intérêt et les désirs qu’elle déclenchait chez les garçons plus âgés de son quartier…
Je ne sais jusqu’où se poursuivirent ces échanges, entre l’ex-petite fille que fut la mère et sa fille. Si la mère osa, non pas dévoiler son intimité, parler de son jardin secret, mais si elle permit à sa fille de découvrir que la sensualité ne doit pas être confondue avec la sexualité, que la sensualité, c’est la sève fertile de l’existence qui donne du goût à la vie.
Et surtout, qu’il est possible d’entendre et de recevoir des désirs sans se sentir obligé d’y répondre. Et cela tant qu’on n’est pas prêt à les accueillir.

2006-06-22 05:16:28 · answer #3 · answered by maitre yoda 2 · 0 0

tu dois quand meme essayer de te forcer a manger sinon tu vas te retrouver a l hopital. je te conseille de consulter ton medecin rapidement il t orientera surement vers une aide psy pour comprendre ce probleme que tu as avec la nourriture. courage

2006-06-22 05:11:32 · answer #4 · answered by cricri 2 · 0 0

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