Est-il logique et normal qu'une belle mère impose à l'enfant de son conjoint de l'appeler maman ?

Question

quand il s'agit dans d'une famille recomposée

Answer 1

Pas du tout, mon mari a un fils issu d'un premier mariage et je le reprends gentiment quand il m'appelle maman. Il y a plein de petits noms marrants qui peuvent lui permettre de me montrer son affection. Je vais être maman dans 3 mois et je me mets à la place de sa maman. Récemment il m'a demandé d'être sa maman. Je lui ai expliqué que je l'aimais très fort mais qu'il n'avait qu'une maman.

Answer 2

Pas du tout, et c'est tres malsain. Je vis avec un homme veuf et ki a 3 enfants et je ne supporterais pas ke ses enfants m'appellent maman.
Une maman, nous n'en avons kune et elle est bien précieuse, rien ne peut la remplacer et encor moins une belle-mère

Answer 3

non je ne pense pas, sincèrement pas du tout, tout simplement pour l'équilibre de l'enfant.
il ya deux cas de figure, soit l'enfant est un bébé et ne connait pas sa vrai maman, je pense qu'un enfant a la droit de conaitre la vérité sur ses origines, et un jour ou l'autre il pourrais bien apprendre le vérité et le mensonge est déstructeur dans une famille.
soit l'enfant connait sa mère et là cela sera très déstabilisant pour l'enfant.
maintenant rien n'empeche la la belle maman de le chérir comme son propre enfant de lui faire comprendre qu'elle sera toujours là pour lui en cas de besoin. comme le ferai n'importe qu'elle mère.

Answer 4

non se n'est pas normale
c'est vraiment une grosse erreur
moi en m'a forcé a dire maman à ma belle mère et maintenant je fais un vrai blocage sur elle je ne peux pas lui dire maman donc je ne lui dis rien ni maman ni son prénom
de plus je n'aimerai pas du tout que mes enfants disent maman a une autre femme

Answer 5

Si la mère biologique a tout-a-fait abondoné l'enfant, oui. Si elle est morte, ou meme un petit peu active dans la vie de l'enfant, c'est à l'enfant de decider. Si elle reste le parent principal, non, mais si elle et l'enfant sont d'accord, il n'y a pas de probleme.

Un enfant a droit à une maman, et desfois à deux.

Answer 6

Non ce n'est pas normal, seul l'enfant doit faire ce choix.

Answer 7

rien n'est logique ou illogique je pense que c'est surtout à l'enfant de choisir et non pas à la belle mere de l'imposer

Answer 8

je pense que ce n'est pas normal c'est qu'elle ne respecte pas la fille du conjoint, ça m'enerverait ! Faut pas pousser quand meme

Answer 9

il ne faut pas laisser faire ça c'est trés dangereux pour l équilibre de l enfant,une belle mère n a rien a dire a un enfant qui n est pas le sien!!!

Answer 10

Je suppose ici qu'on parle d'enfant au sens familial et non biologique du terme, donc d'enfants de moins de 18 ans (18 est arbitraire pour donner un ordre d'idée).
Cette question pourrait mériter un livre entier, si on prend en compte les implications psychologiques, affectives, sociales... de cette situation. Il faut considérer les circonstances "d'arrivée" de la belle-mère, l'acceptation de celle-ci par l'enfant (quelque soit l'âge ou presque, l'arrivée d'une personne au côté de son père est vécue, dans une proportion variable des émotions ressenties, comme une intrusion), également la nécessité pour la nouvelle compagne de son père de "faire sa place" dans la famille. Il faut également se poser la question de ce que recouvre le vocable de "Maman" pour un enfant, vocable non anodin, loin s'en faut, et comment, dans les domaines de l'affectivité, de la société, de l'autorité, la belle-mère entend utiliser ce titre de "Maman".
On doit pouvoir raisonnablement dire qu'imposer (donc contre le gré) l'appellation de "Maman" à un enfant qui n'est pas d'accord ne peut qu'exposer à des conflits plus ou moins importants selon la situation initiale et la période de la vie.
Si on veut préserver l'intérêt de chacun, la meilleure solution reste le dialogue entre toutes les parties nécessaires, si cela est possible: le père, la mère, la belle-mère, l'enfant, pour que chacun puisse définir et exprimer son opinion. En cas de relations trop conflictuelles, il n'est pas aberrant d'envisager d'impliquer un médiateur, quel qu'il soit. Evidemment, tout ceci ne dépend que de l'importance qu'on accorde à une telle question.
Il est vrai que dans cette optique, les mots "normal" et "logique", décorrélés de toute réflexion, peuvent paraître inadéquats (chaque cas est finalement unique et donc "a-normal", et la logique pure est souvent en conflit avec les rapports humains). Peut-être le terme "souhaitable" serait-il plus approprié?