Les médias ont beau jeu de dénoncer les exactions de soldats français 'collabos' durant la dernière guerre puis d'encenser cles 'indigènes' qui ne seraient pas reconnus. De même qu'il y a des anciens combattants français et 'indigènes' non reconnus par la postérité, il y a eu des collabos des deux 'côtés'.
La “Brigade Nord Africaine” recrutée par “la bande de la carlingue” de Bonny et Lafont, installée au 93 de la rue Lauriston, à Paris, au siège de la Gestapo, participa aux basses oeuvres dont étaient chargés leurs supérieurs .Elle prit part à la lutte contre la résistance, et se rendit coupables d’exactions dans le Sud Ouest de la France, en particulier dans la région de Limoges, Tulle et Périgueux. Dénommée la "légion Nord africaine", la "phalange nord-africaine" ou la "SS Mohamed", elle fut dirigée par Henri Lafont. Il crée ce groupe de combat avec un national-islamiste algérien, MCes "Indigènes" dont on ne parle pas
Nous avons déjà pCes "Indigènes" dont on ne parle pas
Nous avons déjà parlé de la désinformation autour de ce fameux film. On pourrait enfoncer le clou. Les médias ont beau jeu de dénoncer les exactions de soldats français 'collabos' durant la dernière guerre puis d'encenser les 'indigènes' qui ne seraient pas reconnus, on sent qu'il y a comme une entourloupe dans le raisonnement. De même qu'il y a des anciens combattants français et 'indigènes' non reconnus par la postérité, il y a eu des collabos des deux 'côtés'.
La “Brigade Nord Africaine” recrutée par “la bande de la carlingue” de Bonny et Lafont, installée au 93 de la rue Lauriston, à Paris, au siège de la Gestapo, participa aux basses oeuvres dont étaient chargés leurs supérieurs (lire ce document, page 79). Elle prit part à la lutte contre la résistance, et se rendit coupables d’exactions dans le Sud Ouest de la France, en particulier dans la région de Limoges, Tulle et Périgueux. Dénommée la "légion Nord africaine", la "phalange nord-africaine" ou la "SS Mohamed", elle fut dirigée par Henri Lafont.
Il crée ce groupe de combat avec un national-islamiste algérien, Mohamed El-Maadi, ancien rédacteur du journal El Rachid, tirant à 30000 exemplaires et dénonçant "l'occupation judéo-anglo-américaine de l'Algérie". Fin janvier 1944, il prend le commandement de 300 mercenaires Nord africains et, dès février, il l'engage pour lutter contre les maquis. La SS Mohamed s'en prend à la population civile : viols, pillages, meurtres, massacres, exécutions d'otages… Les Périgourdins les voient comme "un ramassis d'individus sans foi ni loi, de truands prêts à toutes les besognes, de tueurs sans pitié entièrement au service de la Gestapo et de ses œuvres les plus basses."
Faut il admettre que les minorités peuvent aussi être du mauvais côté de l’histoire de France ? Aux antipodes du politiquement correct actuel qui voudrait que les minorités soient éternellement les victimes d’une histoire officielle qui les méprisa trop longtemps, il faut raconter ce que fut le passé de ces collabos “arabes”, devenu supplétifs d’une bande de truands au service de la Gestapo.
2006-09-28
02:49:10
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demandé par
maureen
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dans
Médias et journalisme