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2007-12-31 18:46:29 · 13 réponses · demandé par jean-pierre 6 dans Sciences sociales Psychologie

13 réponses

bONJOUR Jean-Pierre et Bonne Année 2008

Pour ma part on peut ne pas avoir de respect pour soi mais en avoir énormément pour les autres et en recevoir donc plus que nous nous en accordons nous mêmes....mais cela marche pour les gens qui nous connaissent peu....

Celles qui nous connaissent bien peuvent en cas de mésentente profiter d'un manque de respect en nous pour s'enfoncer dans la brèche et nous dominer.
La conclusion c'est que pour une relation saine et équilibrée il est préférable de commencer par se respecter.
Amicalement

2007-12-31 21:09:24 · answer #1 · answered by Anonymous · 1 0

Salutation Jean-Pierre

Les autres

Vue que j'aime pas être juger l'opinion des autres ne m'influence pas du tout

Le plus important ces moi vis a vis de moi

La récolte selon ce que nous avons semé

Je me respecte et respect, personne ne peux donner l'équivalent

Amicalement

2008-01-01 03:52:35 · answer #2 · answered by Anonymous · 2 0

Non, le respect que l'on a pour soi vous protège "intérieurement" de la violence des autres. Mais si ces autres n'ont pas votre culture, ils ne vous respecteront pas nécessairement.
Cela dit, si vous respectez les autres de la même manière que vous vous respectez vous-même, ces autres tendront à vous respectez avec le même égard que vous avez pour vous-même.

2008-01-01 02:59:37 · answer #3 · answered by Guichardan R 1 · 2 0

Non, on récolte (au centuple) le respect que l'on a pour les autres...

2008-01-01 02:51:13 · answer #4 · answered by Cdt Bridger 6 · 2 0

Bonjour,

Je pense très sincèrement : La vie intérieure (= la pensée, ou conscience) est ce que j'aperçois, moi, de façon immédiate. Autrui n'y peut avoir accès que de façon dérivée : la connaissance d'autrui, toujours analogique, est nécessairement conjecturale, c'est-à-dire très incertaine.

Mais la coexistence des consciences pose un problème plus radical et plus urgent encore : celui de la vie en commun et de la reconnaissance réciproque des consciences. Limiter en effet la réflexion à la question de la connaissance (de soi / d'autrui), c'est supposer que la relation moi/ autrui est une relation bi-univoque : 1° je te connais (plus ou moins bien), et (1°) tu me connais (de même plus ou moins bien). Mais c'est alors parler du sujet (de toi dans le premier cas, de moi dans le second) comme d'un objet : la question est alors de savoir si cette connaissance est fidèle ou non à son objet, c'est-à-dire quel degré de confiance nous pouvons lui accorder, ou encore, si elle est vraie.

Mais les relations entre les personnes ne sont pas d'abord des relations impliquant ainsi la vérité : j'ai d'abord à vivre avec l'autre, et cette relation vivante implique nécessairement la réciprocité. Mais cette réciprocité, en quoi consiste-t-elle, qu'implique-t-elle, et dans quelle mesure est-elle accessible ?
Chacun revendique d'être reconnu comme sujet par un autre sujet. Mais que signifie "être sujet" pour un autre sujet ? Si le sujet est l'être pour soi, un être ayant une existence à ses propres yeux, rien ne semble imposer ni même indiquer qu'il est sujet aussi sous le regard des autres. Chacun revendique donc d'être reconnu par un autre sujet, qui a toujours le pouvoir de lui refuser cette reconnaissance. Même le plus fort n'est jamais assez fort pour imposer cette reconnaissance : "aimez-moi" est une phrase absurde, parce qu'elle rencontre toujours la limite constituée par la personne d'autrui, c'est-à-dire par la liberté incarnée par l'existence d'autrui.

Et le problème est d'autant plus aigu que la reconnaissance doit être réciproque : les personnes ont à se reconnaître comme personnes, à égalité. Comment cette égalité est-elle réalisable ?
Pourtant, cette reconnaissance est la condition du respect mutuel, et le respect est la condition de toute vie morale. Dès lors, la question est de savoir ce qui fonde la morale : le sentiment ? Mais le sentiment est contingent, variable : comment compter sur lui ? La raison ?
Mais la raison n'implique-t-elle pas un calcul incompatible avec la morale (donnant donnant) ? Si je respecte autrui parce que je dois le respecter, est-ce encore du respect ?

J'ai vraimen mal à la têteee! Zut, mon frère JP veux tu déjà ma mort pour le début de l'an 2008 avec une telle question? Mdr

Bon, il est vrai que nous deux sommes bien d'accord, donc ces questions là nous leur laissons pour y refléchir, ok?
Merci ciao bello! Bonjour à Geo! Mdr
Du doliprane s'il vous plaît, pôôvre de moi !!

Bises à tous et bonne année.

Paola ta soeur qui a fait la fête vois tu.....? Mdr
Où suis je?....? Bof!

2008-01-01 12:35:58 · answer #5 · answered by paola.rially 5 · 1 0

Oui bien sur, on véhicule une meilleure image de soi si l'on se respecte. Les autres verront bien que l'on se sent bien dans sa peau. Et que l'on a confiance en nous. Cela contribue à ce que l'autre nous respecte et parfois nous admire.

2008-01-01 03:27:27 · answer #6 · answered by Anonymous · 1 0

Tout dépend du respect que l'on pour soi, et si oui ou non ce respect individuelle a un impact sur notre façon de nous comporter.
Si l'on a un fort respect de soi, l'on va en générale avoir une attitude semblable avec les gens que l'on connais et le respect que l'on va récolter serat alors souvent moins important parcque la société en elle-même, il faut l'avouer n'a pas dans la plupart des cas une notion du respect tres poussée, même si la encore tout dépend de nos fréquentation.
En revanche un être irrespectueux envers sa personne ne va pas être respectueux de son entourage (toujours en générale), et le respect qu'il va recevoir sera tout a fait proportionnel a moins qu'il ne soit amis avec de la racaille et qu'alors l'irrespect des choses sert a marquer sa force sa supériorité le respect qu'il recevra sera plutôt une marque d'admiration ou de peur vis a vis de sa personne.

Dans les 2 cas on ne reçoit pas de respect aussi important, le mieux est d'être bien entouré et d'etre respectueux envers sa personne et donc envers les autres pour qu'eux aussi alors soient respectueux envers votre personne.

Pfiooouuuu!!!
L'annee 2008 commence bien
Bonne annee bonne santé

2008-01-01 03:04:04 · answer #7 · answered by Giorgius 5 · 1 0

En bouddhisme il faut commencer par s'aimer soit même pour que les autres nous aimes. Notre bonheur intérieur ne se trouve qu'en nous même.

2008-01-01 03:02:14 · answer #8 · answered by Dr House 3 · 1 0

Bonne Année, Jean Pierre !
Meilleures voeux pour tous !

Bises, Paola, que des bonnes pensées pour faire sortir tes maux de tête, pour que la lumière soit dedans!

C'est bizarre, mais chaque fois quand je lis une de tes questions, je la sens comme directe, en me visant, et après un temps en la lisant de nouveau, je constate son degrés impersonnel : on récolte, pour soi ....lol

Alors ...Je pense que oui, on a tous ce qu'on mérite, jusqu'à la fin...
Il y a le grand Miroir, où on peut se voir en intégralité, si on a le vrai désir.
Un chercheur sincère de soi même constate un jour que rien ne s'approche de lui même que par miroir. Ceux qui nous montrent nos faiblesses sont nos maîtres, même si parfois ça ne nous plaît pas.
Chaque instant on peut se voir dans le miroir de l'autre encore...Un miroir fidèle ou pas....

Personnellement, j'essaie toujours avoir une relation divine avec l'autre. Parfois ma manière de communiquer stimule l'esprit de l'autre, parfois moins. J'ai constaté que plus je suis connectée à moi même, plus l'autre me répond en termes divins.
Alors, je pense bien que ta question peut bien s'arranger même comme une sage affirmation.

Bonne Année à tous!
Belles questions, Jean Pierre, merci !

2008-01-01 14:22:11 · answer #9 · answered by Anael 7 · 0 0

Non, malheureusement, pas toujours. C'est la vie... Bisous doux.

2008-01-01 10:17:10 · answer #10 · answered by ? 7 · 0 0