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2007-12-30 06:29:59 · 16 réponses · demandé par Grand Ours Déchainé (☼) 6 dans Politique et gouvernement Armée

pour les fleches qui se reconnaitront
oui sautés en parachute
il y a vraiment des nuls sur ce site
et si j'avais des liens je ne poserais pas la question

il y a vraiment sur ce site des pointures de premiers plans à croire qu'ils ne posent de questions que quand ils ont décidé de la réponse

2007-12-30 06:36:27 · update #1

pour enfoncer le clou des médiocres,
si c'est arrivé ce serait la premiere fois depuis kolwezi

au moins comme ça on est sur que les militants ont pris une candidate à leur image.

2007-12-30 06:37:38 · update #2

16 réponses

( La Libre Belgique 23/03/2007) JEAN-DOMINIQUE MERCHET correspondance particulière
L'ampleur de l'action aéroportée menée en Centrafrique avait été tenue secrète.

Les paras français ont sauté à la frontière du Darfour

Pour la première fois depuis Kolwezi, Paris a mené une action aéroportée en Afrique pour repousser des rebelles. En toute discrétion, campagne électorale oblige.

Pour la première fois depuis l'opération de Kolwezi, au Zaïre, en 1978, l'armée française a conduit début mars une importante action aéroportée en Afrique. Selon nos informations, plusieurs dizaines de parachutistes ont été largués sur la ville de Birao, dans le nord-est de la Centrafrique. Aux portes du Darfour, cette région, frontalière du Tchad et du Soudan, est le théâtre d'affrontements entre un mouvement rebelle, l'Union des forces démocratiques pour le rassemblement (UFDR), et les forces armées centrafricaines (Faca), soutenues par les militaires français. L'information n'avait été que très partiellement rendue publique par l'état-major des armées françaises, mais rien n'avait filtré sur l'ampleur de l'opération. En pleine campagne présidentielle, l'Elysée ne souhaitait pas que la politique africaine de la France s'invite dans le débat électoral.

Depuis décembre 2006, un détachement de dix-huit militaires français était stationné à Birao, une ville "reconquise" à la suite de combats dans lesquels la France avait déjà été impliquée. Le samedi 3 mars, des combattants de l'UFDR reviennent à Birao et affrontent les troupes fidèles au président Bozizé. Le lendemain, un groupe d'une cinquantaine de "rebelles" attaque le camp français, situé dans le sud de la ville.
"Les gars d'en face voulaient nous faire la peau, raconte un militaire français. Ils étaient équipés d'armes légères (fusils d'assaut, lance-roquettes RPG...). Ce sont des soldats capables d'actions coordonnées, qui se déplacent en pick-up et communiquent par téléphones satellitaires".

Un Mirage F1, basé à N'Djaména (Tchad), est appelé à la rescousse. Il effectue plusieurs passes et détruit "trois ou quatre" véhicules avec son canon de 30mm. Le dimanche soir, une première opération aéroportée est lancée : dix chuteurs opérationnels sont largués à haute altitude et se posent à proximité du camp français. La mission de ce Groupement de commandos parachutistes (GCP) est d'aider les troupes centrafricaines à reprendre le contrôle de la situation. Puis, le mardi 6 mars, plusieurs dizaines de parachutistes sont à leur tour largués dans la région, en particulier sur la piste d'aviation de Birao, à une dizaine de kilomètres de la ville.

Les combattants de l'UFDR l'ont obstruée et les paras français redoutent un comité d'accueil musclé. Il n'y a personne. Les "Transall", en provenance de N'Djaména, peuvent se poser. Une compagnie des paras (3ème RPIMa) débarque, ainsi que des troupes centrafricaines. Le bilan humain de cette opération reste difficile à établir : aucune victime côté français, au moins 6 morts et 18 blessés dans les Faca et un nombre inconnu de morts chez les "rebelles" de l'UFDR. "Notre action s'est déroulée dans le cadre de la légitime défense, puisque nous avons été attaqués", indique l'état-major des armées.

Mais que font ces militaires français dans ce coin perdu de la Centrafrique, à plus d'une semaine de route de la capitale Bangui ? Depuis l'indépendance, un accord de défense lie Paris et la Centrafrique. Après l'opération de Birao, début mars, la France a choisi de ne pas poursuivre les combattants de l'UFDR pour les "neutraliser", comme disent pudiquement les militaires. Une décision qui évite à la France de s'engager plus encore dans une guerre locale, dont les enjeux sont loin d'être clairs.

2007-12-30 06:56:38 · answer #1 · answered by Kryst@ 5 · 1 2

petite rectification, le mirage F1 qu'importe la version d'ailleur, n'a pas un mais deux canons, il s'agit de : DEFA 552 de 30 mm...
Des "coups de mains" arrivent régulierement mais bon ce n'est pas tous les jours quand meme..
Oui la France aide certains pays si il le demande, si c'est justifié, et si ca va dans le sens de la France.

2007-12-30 07:08:45 · answer #2 · answered by Claude 31 3 · 2 0

ce n'est pas impossible qu'il y a eu des paras français qui ont sautés en centrafique j'avais entendu des rumeurs des amis ancien combattant !
nous étions a bouar et bangui en 1985/1986 !
bonne fin d'année !

2007-12-30 07:00:00 · answer #3 · answered by Mankhone Dam 3 · 2 0

Pour la première fois depuis l'opération de Kolwezi, au Zaïre, en 1978, l'armée française a conduit début mars une importante action aéroportée en Afrique. Selon nos informations, plusieurs dizaines de parachutistes ont été largués sur la ville de Birao, dans le nord-est de la Centrafrique. Aux portes du Darfour, cette région, frontalière du Tchad et du Soudan, est le théâtre d'affrontements entre un mouvement rebelle, l'Union des forces démocratiques pour le rassemblement (UFDR), et les forces armées centrafricaines (Faca), soutenues par les militaires français. L'information n'avait été que très partiellement rendue publique par l'état-major des armées, mais rien n'avait filtré sur l'ampleur de l'opération. En pleine campagne présidentielle, l'Elysée ne souhaitait pas que la politique africaine de la France s'invite dans le débat électoral.
Montrer ses muscles.Il faut y voir la patte du nouveau chef d'état-major des armées, le général d armée GEORGELIN , un ancien para du 9° RCP ,bien décidé à ce que l'armée française montre ses muscles là où le pouvoir politique l'engage. C'est lui qui, en août dernier, avait exigé l'envoi de blindés et d'artillerie au Sud-Liban, pour renforcer les Casques bleus de la Finul. Et en Centrafrique, les paras et les Mirage sont de retour.

2007-12-31 06:14:06 · answer #4 · answered by B- O 7 · 1 0

Je me souviens avoir entendu parler de cela à l'époque, mais sans avoir d'information particulière.

2007-12-30 21:13:52 · answer #5 · answered by Nicolito 7 · 1 0

Oui GO !
Et à deux reprises récemment en RCA ils ont "oeuvrés" !
Décembre 2006 et printemps 2007.
Bonne soirée !

2007-12-30 06:43:14 · answer #6 · answered by Anonymous · 2 1

Si c'est vrai, ça montre à quel point on est mal informé dans ce pays!

2007-12-30 06:37:59 · answer #7 · answered by Boubou 6 · 3 2

Sautés en parachute ? Sautés sur une mine ? Sautés au saké ?

Tu veux de la source ? http://ashomer.blogspot.com/2007/03/les-paras-francais-sont-la-frontiere-du.html
http://survie-france.org/article.php3?id_article=1045

C'est fou ces petits umpistes perdus sans leur gourou et incapables de chercher une info sur internet. En plus, leur petit gourou a reçu le Président (un fou de la destruction des droits de l'homme) en novembre. De belles fréquentations le sarko 1er

Pour la première fois depuis l'opération de Kolwezi, au Zaïre, en 1978, l'armée française a conduit début mars une importante action aéroportée en Afrique. Selon nos informations, plusieurs dizaines de parachutistes ont été largués sur la ville de Birao, dans le nord-est de la Centrafrique. Aux portes du Darfour, cette région, frontalière du Tchad et du Soudan, est le théâtre d'affrontements entre un mouvement rebelle, l'Union des forces démocratiques pour le rassemblement (UFDR), et les forces armées centrafricaines (Faca), soutenues par les militaires français. L'information n'avait été que très partiellement rendue publique par l'état-major des armées, mais rien n'avait filtré sur l'ampleur de l'opération. En pleine campagne présidentielle, l'Elysée ne souhaitait pas que la politique africaine de la France s'invite dans le débat électoral.
Sur le même sujet


* Un accord de défense très sélectif


Ville «reconquise». Depuis décembre 2006, un détachement de dix-huit militaires français était stationné à Birao, ville «reconquise» à la suite de combats dans lesquels la France avait déjà été impliquée. Le samedi 3 mars, des combattants de l'UFDR reviennent à Birao et affrontent les troupes fidèles au président Bozizé. Le lendemain, un groupe d'une cinquantaine de «rebelles» attaque le camp français, situé dans le sud de la ville. «Les gars d'en face voulaient nous faire la peau, raconte un militaire français. Ils étaient équipés d'armes légères (fusils d'assaut, lance-roquettes RPG...). Ce sont des soldats capables d'actions coordonnées, qui se déplacent en pick-up et communiquent par téléphones satellitaires.»
Un Mirage F1, basé à N'Djamena (Tchad), est appelé à la rescousse. Il effectue plusieurs passes et détruit «trois ou quatre» véhicules. Le dimanche soir, une première opération aéroportée est lancée : dix chuteurs opérationnels sont largués à haute altitude et se posent à proximité du camp. La mission de ce Groupement de commandos parachutistes est d'aider les troupes centrafricaines à reprendre le contrôle de la situation.
Puis, le mardi 6 mars, plusieurs dizaines de parachutistes sont à leur tour larguées dans la région, en particulier sur la piste d'aviation de Birao, à une dizaine de kilomètres de la ville. Les combattants de l'UFDR l'ont obstruée et les paras français redoutent un comité d'accueil musclé. Il n'y a personne. Les «Transall», en provenance de N'Djamena, à 900 kilomètres de là, peuvent se poser. Une compagnie des paras (3e RPIMa) débarque, ainsi que des troupes centrafricaines. Environ 150 Français sont toujours stationnés à Birao.
Le bilan humain de cette opération reste difficile à établir : aucune victime côté français, au moins 6 morts et 18 blessés dans les Faca et un nombre inconnu de morts chez les «rebelles» de l'UFDR.
«Notre action s'est déroulée dans le cadre de la légitime défense, puisque nous avons été attaqués», indique l'état-major des armées. Mais que font ces militaires français dans ce coin perdu de la Centrafrique, à plus d'une semaine de route de la capitale Bangui ? Depuis l'indépendance de cette ancienne colonie française, un accord de défense lie Paris et la Centrafrique (lire ci-contre). «La France reste plus que jamais aux côtés de la République centrafricaine», rappelait Jacques Chirac, le 30 novembre dernier.
Après l'opération de Birao, début mars, la France a choisi de ne pas poursuivre les combattants de l'UFDR pour les «neutraliser», comme disent pudiquement les militaires. Une décision qui évite à la France de s'engager plus encore dans une guerre locale, dont les enjeux sont loin d'être clairs. Les «rebelles» de l'UFDR sont centrafricains, mais, selon toute vraisemblance, ils comprennent également des combattants soudanais et tchadiens.
Montrer ses muscles. Pour les militaires français, cette opération est exceptionnelle. Depuis 1978, lorsque la Légion avait sauté sur la ville zaïroise de Kolwezi, contrôlée par des rebelles, plus aucune opération aéroportée n'avait eu lieu. Il faut y voir la patte du nouveau chef d'état-major des armées, le général Georgelin, bien décidé à ce que l'armée française montre ses muscles là où le pouvoir politique l'engage. C'est lui qui, en août dernier, avait exigé l'envoi de blindés et d'artillerie au Sud-Liban, pour renforcer les Casques bleus de la Finul. Et en Centrafrique, les paras et les Mirage sont de retour.

2007-12-30 06:32:24 · answer #8 · answered by Anonymous · 5 4

????????????tu me poses une colle

2007-12-31 05:22:53 · answer #9 · answered by bipbip 6 · 0 0

je l'ignore totalement, mais des paras sont fait pour sauter, le problème est de savoir dans quel but...

2007-12-30 07:13:06 · answer #10 · answered by Micdal 7 · 2 2

Tu as des sources ?

2007-12-30 06:33:59 · answer #11 · answered by Николай 3 · 2 2

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