Bien sûr quand on dispose d'un stylo et d'une feuille de papier devant nous
2007-12-26 22:15:40 · 19 réponses · demandé par achille 3 dans Sciences sociales ➔ Psychologie
Bonsoir !
Chez moi ce n'est pas systématique. Je dessine surtout lorsqu'une conversation se prolonge. Ce n'est pas pour me distraire, je reste tout aussi concentrée sur l'écoute. Seule la main travaille, ça commence par une courbe, qui va prendre une forme et puis, sans même m'en rendre compte, on aboutira toujours à une fleur, puis une tige et en dernier les feuilles : Iris surtout, des roses, des lys. Jamais rien d'autre que des fleurs.
Et, curieusement, ce sont les fleurs que je préfère.
Je ne me suis jamais posé la question du pourquoi, et cela ne m'est même jamais venu à l'esprit.
Il serait intéressant de lire sur ce forum ce qu'en pense les psy ?
Bonne soirée Achille.
2007-12-27 05:05:13 · answer #1 · answered by Athénaïs 6 · 3⤊ 0⤋
Hihihi intéressante ta question ! car je crois qu'on l'a tous fait... mais très peu savent pourquoi...
En ce qui me concerne, mes petites oeuvres sont comme celles de nubiane : des damiers et des triangles, losanges....
Un bon psy ou un sociologue devraient pouvoir nous expliquer pourquoi.... !
Séraphine apporte un début d'explication...
2007-12-27 02:03:01 · answer #2 · answered by Anonymous · 2⤊ 0⤋
Bonjour,
Je pense que c'est une façon de se mettre en rythme "alpha", donc de laisser venir notre intuition sans y faire barrage... tout en étant parfaitement connecté, attentif à notre correspondant, ce n'est pas antagoniste.
Perso, je me débrouille toujours pour avoir les accessoires nécessaires pour ! Mon père le faisait, ma fille le fait aussi... et au bout du compte ces dessins sont parfois "étranges".
2007-12-27 01:21:05 · answer #3 · answered by Pascaline ! 7 · 2⤊ 0⤋
Pour être plus attentif, mine de rien, à ce que dit le correspondant.
C'est la technique de certains psychanalystes : ils prêtent attention à ce que dit le patient, sans attacher d'importance particulière à un détail plutôt qu'à un autre.
Cela se nomme l'attention flottante.
L'écoute est plus fluide et mobile.
J'ai appris ça, lors de mes études, mais n'ai pas approfondi le sujet.
Je suppose que nous mettons cette technique en oeuvre, sans le savoir.....
2007-12-27 01:00:42 · answer #4 · answered by Sérafine 3 · 2⤊ 0⤋
C’est un besoin irrépressible de s’exprimer, en tout liberté car il n’y a pas de règles, tout est permis. C’est une pulsion graphique qui occupe les mains et qui traduit sa pensée. Il en est de même quand on écoute une conférence ou même un cours. Même les enfants ont cette habitude. Les psychologues doivent pouvoir faire parler ces dessins.
Pour ma part de fais des trucs genre grille en fer forgé très compliqués. Je commence par des angles très pointus et je les arrondis un par un en les noircissant. Certains sont assez singuliers.
2007-12-26 22:55:49 · answer #5 · answered by Anonymous · 2⤊ 0⤋
je suis moi aussi atteinte de ce TOC!
Ce serait plutôt des étoiles en majorité ou des lettres, peut -être qu'un graphologue pourrait décortiquer cela et en tirer des conclusions sur la conversation téléphonique que l'on a eu.
J'ai remarqué que lorsque pour une raison ou une autre je donne mon nom et mon prénom au tel et bien je l'écris systématiquement aussi en même temps.......par contre j'oublie de noter l'heure du RDV!!!
2007-12-26 22:43:53 · answer #6 · answered by Anonymous · 2⤊ 0⤋
Ah, t'as remarqué aussi !
J'en connais une comme çà faut voir ce qu'elle peut te faire...pour un peu que la conversation dure elle te fait une fresque complète !
2008-01-03 10:32:01 · answer #7 · answered by cal 4 · 1⤊ 0⤋
Alors là je n'en sais vraiment rien, mais c'est vrai qu'en y pensant, je le fait sanscesse....
2007-12-27 02:01:26 · answer #8 · answered by savabine_matis 5 · 1⤊ 0⤋
très interessante comme question
il nous faut un psychiatre pour y répondre
2007-12-27 00:40:50 · answer #9 · answered by marc g 5 · 1⤊ 0⤋
ça j'en sais rien !
moi c'est des tringles en trois dimensions ou des damiers !
c'est grave?
bises achille
2007-12-26 22:18:55 · answer #10 · answered by ƝųßỉąɳƐ 7 · 1⤊ 0⤋