2007-12-26
11:38:33
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10 réponses
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demandé par
x
7
dans
Arts et sciences humaines
➔ Philosophie
OUPSLA ! je me suis emmêlée les fenêtres pour mes notes ! La cata!!!
SVP: pouvez-vous voir ma question parallele sur la liberté et vice-versa ...?? Toutes mes excuses ....Aïe!
..................................En fait, en obéissant à la loi qui est l’expression de la volonté générale, le citoyen n’obéit qu’à lui-même, ce que traduira Rousseau avec : « L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté ». La liberté, de ce fait, est obéissance, mais non pas obéissance aux puissants, mais à des lois qui s’imposent à tous, y compris aux puissants. Dans un État libre, personne n’est au-dessus des lois, le gouvernements eux-mêmes (qui ne sont pour Rousseau que de simples représentants) doivent servir les lois (d’ailleurs, le mot ministre vient du latin « ministere », i.e. serviteur) et non pas se servir des lois pour leur propre profit.
2007-12-28
10:08:04 ·
update #1
Si comme l’affirme Rousseau, « l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté », la vraie liberté réside dans l’autonomie, i.e. dans l’obéissance à la loi morale prescrite par la raison. Dans ce cas, la loi devient une obligation et non plus une contrainte. Si elle apparaît contraignante, c’est parce que nous ne sommes pas autonomes, mais hétéronomes. Parmi les principes pratiques, i.e. « les propositions renfermant une détermination générale de la liberté » (définition de Kant), il faut distinguer les maximes et les lois. Subjectives, les maximes sont les principes d’après lesquels le sujet agit tandis que les lois qui sont des principes objectifs, déterminent comment le sujet doit agir et donc, seul est moralement bon le vouloir dont la maxime peut être pensée comme une loi universelle, i.e. valable pour tout être raisonnable. La loi morale détermine la volonté de l’individu en tant que celui-ci est un être raisonnable,
2007-12-28
10:10:09 ·
update #2
(suite)
i.e. sans tenir compte de ses impulsions, penchants ou sentiments. C’est d’ailleurs sur ce point que se sont concentrées les critiques. Donc, pour Kant, la liberté et la loi morale s’impliquent réciproquement et ne peuvent être pensées l’une sans l’autre. C’est en effet parce que je saisis d’abord en moi le commandement de la loi morale que je connais ma liberté et réciproquement, c’est parce que je suis libre que je peux résister à mes penchants et accomplir mes devoirs.
2007-12-28
10:11:06 ·
update #3
La justice dans le sens de la pénalisation n'est qu'un aveux d'échec du systéme preventif et de la machine judiciaire. La justice , la vraie, c'est la transformation de l'être humain en homme juste , en homme de valeurs , ce n'est certainement pas un systéme qui s'apparente à la loi du talion.
La justice , c'est de construire une société ou les individus ont consciences de leurs place dans la sociétés , ou ils intégrent des régles dans leurs être et non pas sous la contrainte. La sanction, est en quelque sorte un aveu d'impuissance, une fuite de la responsabilité sociale dans un enfermement carcéral.
Nous le savons la prison est avant tout un outil social pour mettre sur le banc de la société les "parias". Triste constat
2007-12-26 11:50:12
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answer #1
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answered by Hades et Persephone 7
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Le probleme de l'equilibre comme "justesse juste" vient des preconceptions judeochretiennes aux concepts mercantiles douteux. Ainsi toute "faute" (infraction) se voit denoncee sous et emplie de honte contagieuse, et pour "laver" l'affront a la justice et a Dieu qui en est supposement le fondateur (ses juges humains n'en diront pas moins) il est necessaire de "payer" pour "acheter" sa redemption. Ainsi la Loi du Talion, quoi qu'on en dise, ne consistait nullement a se faire soi-meme mutiler a proportion de la mutilation infligee a autrui, mais a payer une somme d'ergent en consequence de son crime.
La justice dont nous avons herite n'est qu'un echo de cette sanction monetaire sous une forme ou l'autre, afin de se "racheter". La sanction est la prolongation d'une vision theocentrique (Dieu colere et pere punisseur) et mercantile de la Loi...
2007-12-27 05:31:43
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answer #2
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answered by Anonymous
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Y a-t-il justice en dehors de la sanction ? à l’état de nature, y a-t-il ou non une idée de justice ? T. Hobbes affirme qu’à l’état de nature, les égoïstes s’affrontent dans des conflits meurtriers : il affirme en effet : « à l’état de nature, l’homme est loup pour loup » Dans l’état de nature, rien ne peut être qualifié de juste ou d’injuste parce que la justice a été instituée en même temps que la cogitée civile. Hors de la société, tout ce qui est possible est permis et ma liberté n’a d’autres limites que les obstacles auxquels se heurtent ma puissance, et donc, l’état de nature qui résulte du jeu des forces individuelles est un état d’instabilité et de misère.
Soumis aux passions individuelles, l’homme au départ n’est pas naturellement social ; il est sauvage, mais son instinct de conservation élémentaire qui est mis au service de son intérêt immédiat le conduit facilement à la rivalité. Ainsi, la droit à l’origine se confond avec la faculté que possède chacun de lutter pour sa survie, mais c’est ce même instinct de conservation qui, éclairé quand même par le biais de la raison poussera l’homme à sacrifier cette liberté naturelle pour fonder la société civile. L’humanité ne peut progresser dans un sens général qui si règne la paix et la sécurité et seule l’institution du corps politique est à même de garantir ces conditions par le biais de règles sociales imposées par la collectivité à tous les membres du groupe sous forme de lois écrites. L’ensemble de ces règles sociales constitue le droit positif qui est l’ensemble de règles, de mÅurs, usages, coutumes, etc. en vigueur dans une société donnée.
2007-12-26 17:30:44
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answer #3
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answered by ? 7
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tout nos acte on un effet sur nous même
la vie éternelle, cette vies sans fin qu'est la vi nous donne toujours l'occasion de nous rattraper quel que soit nos acte ,
dans cette vie nous irons au paradis
même hitler est au paradis
je vous le promet
la justice se n'est pas les autres
c'est nous même
nous sommes un
et ne crois pas que ce qui est fait de mal n'importe ou dans le monde se n'est pas toi
hélas si s'est toi mais c'est aussi moi et tout les autres
comment
cela est ma conviction profonde
rien ,ni personne ne me fera changer d'avis.
2007-12-26 15:50:32
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answer #4
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answered by Anonymous
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Oui ! Aussitôt qu'il y a ''remord''; justice a été rendu !
2007-12-26 13:41:08
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answer #5
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answered by Big man 3
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oui: l indifference !
2007-12-26 11:58:27
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answer #6
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answered by Nopour 7
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Il y a une mémoire cosmique.Et, le temps finit tôt ou tard à rattrapper les gens peut importe ce qu'il ont fait de bien ou de mal.
2007-12-26 11:52:58
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answer #7
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answered by frank 7
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on ne se fait plus justice soi-même, et c'est heureux.......combien d'innocents ont péri par la main d'une justice naturelle, immanente, et aveugle!.....justice implique, droit à la défense, débat, et sous-pesage de la faute......pour aboutir à une sanction juste, laquelle permettra de servir de "leçon" de vie.....et de réhabilitation à la société lésée dans ses droits.
2007-12-26 21:28:11
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answer #8
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answered by Eurydice 7
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Enréponse à cette question j'aurais envie de m'exclamer : " Ne vous mentez pas à vous même ; c'est le pire mensonge dont vous puissiez être l'auteur"
2007-12-26 13:10:00
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answer #9
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answered by Byron 4
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la justice divine.
2007-12-26 11:47:32
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answer #10
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answered by trastou la baroudeuse 5
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