L'absence de réponse peut-elle être considéré comme une réponse ??

Answer 1

c'est un vide à interpreter.
Dans ce sens c'est bien une réponse, sauf que finalement elle vient de celui qui a posé la question!! la personne interrogée renvoie un reflet de la pensée de celui qui interroge. L'interpretation du silence sera directement influencée par les a priori et les doutes du demandeur.

Answer 2

"Qui ne dit mot consent"

Answer 3

comme le dis vandamme quand tu poses une question, tu te la pose et repose... et a force tu deviens la reponse.... a mediter!!!

Answer 4

Tout à fait.
Prenons un exemple : un chercheur qui ne trouve rien sur son sujet de recherche dans les banques de données scienifiques et le contenu de colloque et de littérature grise*, considère cela comme un bon signe, car cela signifie qu'il est le seul ou l'un des seuls sur ce domaine.
Cela le conforte généralement dans le bien fondé de son choix.

*littérature grise : documents non publiés (rapports, travaux préparatoires, etc...) plus ou moins confidentiels et très intéressants de ce fait.

Answer 5

C'est un vrai pb juridique.
L'usage veut que "qui ne dit mot consent". La procédure civile accepte que "tout ce qui ne fait pas l'objet d'une contestation est présumé accepté".

Mais tel n'est pas le cas du droit administratif (sauf qq rares exceptions). Lorsqu'une requête est faite à une administration et que celle ci ne répond pas dans le délai de droit (généralement 2 mois, mais là encore il y a des exceptions), cette requête est implicitement rejetée et cette date d'échéance ouvre le délai de recours (soit en requête "hiérarchique" soit en requête "contentieuse" (devant le TA)

Answer 6

oui, il y a l'indécidable, et ca rassure

Answer 7

le silence est d'or

Answer 8

oui cela veut dire que l'on ne sait pas quoi répondre à ta question

Answer 9

Absolument. Décider de ne pas décider est aussi une décision, La politique en pullule.

Answer 10

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