" qu'il ne faut pas croire une chose simplement parce qu'on l'entend dire ; ni croire aux traditions car elles nous ont été transmises depuis l'antiquité ;
ni croire aux rumeurs en tant que telles ; ni aux écrits des sages, parce que les sages les ont écrits ; ni aux imaginations inspirées, pensons-nous par un Déva ( inspiration supposée spirituelle ) ; ni croire aux conclusions tirées de quelque supposition faite par nous au hasard ; ni croire une chose parce qu'elle semble devoir être vraie par analogie ; ni croire sur la simple autorité de nos instructeurs et maîtres. Mais nous devons croire la chose écrite ou parlée, ou la doctrine, si elle est corroborée par notre propre raison et notre propre conscience. " C'est pour cela ", dit-il en concluant, "que je vous ai appris à ne pas croire une chose simplement parce que vous l'avez entendu dire ; mais quand vous croyez avec votre conscience, alors agissez en conséquence et abondamment. "
2007-12-03
21:57:53
·
13 réponses
·
demandé par
Anonymous
dans
Societé et culture
➔ Religions et spiritualité
ne soyez pas désolés, vous êtes libres.
2007-12-03
22:03:10 ·
update #1
Evidemment, je ne nie pas toutes les valeurs humaines aquises par l'humanité.
2007-12-03
22:59:08 ·
update #2
Bien-sur , je suis tout à fait d'accord , développer l'intuition, la connaissance directe , est à la porté de chacun une fois le mental et ses parasites pacifiés .
J'ai souvent remarqué que les explications donnés pour les mystères de la vie , ou les traductions de textes d'enseignements , dépendaient de la personne qui expliquait ou traduisait et bien trop souvent avec bien peu de connaissances réelles sur le sujet , nous imposant sa façon de voir , nous enduisant automatiquement à l'erreur .
2007-12-03 22:22:53
·
answer #1
·
answered by Bigsis , le retour 6
·
2⤊
0⤋
C'est l'enseignement même du Bouddha que tu cites !
Bien, j'aime …
2007-12-03 22:08:33
·
answer #2
·
answered by régis 6
·
6⤊
0⤋
Je pense que c'est mieux de rien croire.
Parce que croire met en fonction un "appareil" très délicat qui est toujours exposé aux fautes.
La substance de notre mental prend la forme du sujet observé et si elle n'est pas assez transparente l'information qu'on reçoit peut être détériorée et c'est pour rien qu'on croit fortement et avec notre libre conscience.
Alors, cette exposition est valable pour ceux qui sont arrivés à un haut niveau spirituel ....Et eux savent qu'il ne faut pas croire, mais recevoir en grande fidélité de Dieu.
Être libre, oui.....Mais avec "l'humilité" divine, c'est elle qui ouvre vraiment l'esprit.
Et je pense encore qu'il ne faut pas nier les routes vérifiées par les sages et par les saints, même si eux peuvent avoir leurs propres opinions et leurs filtres.
D'accord avec "tabula rasa" de notre mémoire, ceux sont ses enregistrements qui empêchent voir la lumière en totalité, la Source.....
2007-12-03 22:55:36
·
answer #3
·
answered by Anael 7
·
4⤊
0⤋
"N'écoutez pas les Ecritures, écoutez votre propre coeur; c'est l'unique écriture que je prescris, dit Osho.
Oui, écoutez très attentivement, très consciemment, votre propre coeur et vous ne ferez jamais rien de faux. Et en écoutant votre propre coeur, vous ne serez jamais divisé. En écoutant votre propre coeur, vous commencerez à avancer dans la bonne direction, sans même penser à ce qui est juste et à ce qui est faux."
Divin maître, divines paroles...
2007-12-04 00:09:10
·
answer #4
·
answered by charlotte corday 4
·
3⤊
0⤋
C'est de la logique et de la raison (si on ajoute l'expérience), mais tu vas te faire appeler Jules par tous les croyants de France, de Navarre et d'ailleurs qui fréquentent cette rubrique.
2007-12-03 22:05:58
·
answer #5
·
answered by Petite curieuse 4
·
4⤊
1⤋
À la basse le principe à du bon. Mais qu'arrive-t-il de se qui est vrai, mais ne nous plaît pas parce que cela nous dérange dans notre petit cocon d'égoïsme?
2007-12-04 01:59:16
·
answer #6
·
answered by fr. Hugues 7
·
2⤊
0⤋
D'un pointe de vue religieux la foi nous amen a la croyance et la foi ce travaille du moment que dans votre religion est aucune contradiction et pour moi ils y en a une seul qui remplie ces conditions.
D'un point de vue "vie de tout les jours " faut être très très méfiant et lucide.
2007-12-03 22:33:38
·
answer #7
·
answered by Zondha 3
·
2⤊
0⤋
Je te crois après t'avoir lu ;-).
En effet, pour moi, le fait que des millions ou milliards de gens croient à quelque chose serait plutôt du genre à me faire douter que me faire adhérer.
L'erreur est plus commune que la vérité.
Tous ceux qui me disent "si depuis la plus haute antiquité on a cru en Dieu ou en des dieux, il y a bien une raison", oui, des raisons à la croyance, j'en trouve : peur de la mort, peur du néant, difficulté à envisager que les méchants ne seront pas punis et les justes récompensés, peur de se dire qu'on ne retrouvera pas ceux qu'on a aimés, peur de se dire que "derrière l'univers" il n'y a rien.
Voilà des raisons de croire, qui ont été vraies depuis des millénaires et le sont toujours.
Mais cela ne signifie nullement que ce en quoi on peut croire ait quelque réalité.
Les écrits "prouvent"? L'argument "il y a des écrits" me semble du même niveau que "vu à la télé" ou "lu sur l'Internet". Le fait que des gens aient écrit tel ou tel bouquin ne prouve rien du tout !
De même, les miracles ne me prouvent qu'une chose : qu'il y a des gens qui croient aux miracles.
Issam : le défaut de l'humanité est plutôt de préférer s'en remettre à des écrits, des autorités, des traditions, des croyances, plutôt que de se servir de sa conscience !
Zonda : "la foi nous amen" : cette orthographe est un lapsus freudien. Tu dis amen à toute croyance ;-).
2007-12-03 22:13:57
·
answer #8
·
answered by Anonymous
·
2⤊
0⤋
A peine croyable...
2007-12-03 22:08:24
·
answer #9
·
answered by Jacati 7
·
2⤊
0⤋
je suis d'accord, si j'ai bien compris la croyance n'est véridique que si elle vient du plus profond de l'être, les écrits des sages n'est utile qu'à celui qui la comprend avec son coeur... et la vraie foi n'est possible que pour celui qui aime vraiment son seigneur
2007-12-03 22:13:54
·
answer #10
·
answered by yoko tsuno 3
·
1⤊
0⤋