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En savoir plus sur le fonctionnement d'un être humain conduit-il à lui donner plus de valeur, ou à l'aborder comme un simple objet un peu plus complexe que les autres ?

2007-12-02 22:47:35 · 5 réponses · demandé par Anonymous dans Arts et sciences humaines Philosophie

5 réponses

Aborder la question de la connaissance du fait de la connaissance biologique croissante, c'est aboutir à l'eugénisme. Comprendre la complexité de l'homme, c'est mieux nous situer dans l'univers....

2007-12-10 00:16:41 · answer #1 · answered by Georgy 7 · 0 0

malheureusement, on tend à le considérer comme une simple machine, bien que complexe......

2007-12-03 00:45:27 · answer #2 · answered by Eurydice 7 · 1 0

Évidemment, un grand nombre des thèmes importants dans la philosophie de la biologie sont déjà présents chez Aristote, dont les réflexions biologiques sont admirables ; on y retrouve la notion de fonction : qu’est-ce qui fait qu’une main est une main ? Une espèce existe-t-elle « objectivement » ? De même, toute la période du dix-septième au dix-neuvième siècle, durant laquelle la biologie fait des progrès énormes, est également une période de grande activité théorique dans les réflexions sur le vivant (on songe au travail anatomique de Descartes ou à la réflexion sur l’organisme chez Kant). Dans la seconde moitié du vingtième siècle, la philosophie de la biologie était en grande partie une série de réflexions sur la capacité de la recherche moléculaire à expliquer les phénomènes biologiques. Les travaux récents autour du Human Genome Project (le projet d’étude du génome humain) qui ont attiré tant d’attention, l’essor du secteur des biotechnologies, etc., sont tous des effets des résultats obtenus par les biologistes entre les années 50 et les années 80. Les philosophes durant cette période étaient intéressés par des questions fondamentales concernant la capacité et l’étendue des explications réductionnistes, et leurs limites évidemment.

2007-12-02 23:41:07 · answer #3 · answered by ? 7 · 0 0

Le fait de le connaître de mieux en mieux, de réaliser son extraordinaire complexité (mais une souris n'est pas simple non plus, ou un insecte, et en plus, c'est miniaturisé), ne me semble pas changer fondamentalement la façon dont on aborde l'homme.

L'homme reste l'homme, c'est peut-être seulement Dieu qui recule, comme la foudre était Dieu jusqu'à ce qu'on comprenne que l'atmosphère en s'échauffant s'élève, et s' ionise, produisant une décharge électrique qui est la foudre.

2007-12-02 22:53:39 · answer #4 · answered by Anonymous · 0 0

non je ne crois pas

2007-12-02 22:50:51 · answer #5 · answered by Anonymous · 0 0

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