Oui, je n'arrète pas de sauter, même le dimanche et les jours de fêtes nationales.
Quoi ? quoi ? comment ça je réponds pas à la question ?!
2007-11-20 00:14:16
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answer #1
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answered by Anonymous
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C'est une façon on ne peut plus honnête de voir les choses.
N'oubliez pas les grèves !
Un bisou
2007-11-20 00:31:30
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answer #2
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answered by Anonymous
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pas d'humour noir, ni juif, surtout!.......çà f'rait un drôle de ramdam........
2007-11-19 23:35:25
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answer #3
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answered by Eurydice 7
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Tout à fait, les jours de fête nationale seront réservés au salut des couleurs au garde à vous, puis au spectacle édifiant des défilés militaires, moments solennels qui rendent indispensable de conserver son quant à soi.
Et bien sûr, pas d'euphorie le jour du seigneur, puisque s'il est admis que l'on pouffat les autres jours, en revanche : "tel qui rit vendredi, dimanche pleurera" (par décret signé du Premier Sinistre, publié au journal officiel le 15.08.1941).
Mais n'oublions pas également, cela va de soi : sauf les jours de grève et ceux d'intempérie.
Par contre, le lundi de Pentecôte, il est non seulement justifié, mais moralement souhaitable de se plier les côtes avec le premier venu, fut-il sur la mauvaise pente :-))
2007-11-19 23:00:24
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answer #4
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answered by Anonymous
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A la question : « Peut-on rire de tout ? », l’humoriste français Pierre Desproges répondait, de façon presque définitive : « On peut rire de tout, oui, mais pas avec n’importe qui. » La question, qui fleure bon la dissertation de philosophie, est régulièrement posée dans le débat public français, et les histoires les « moins drôles » provoquent parfois des poursuites judiciaires.
Si la législation française est plutôt tolérante vis-à-vis de l’humour, qui jouit comme toute forme artistique de la primauté donnée à la « liberté d’expression » dans la Constitution, encore faut-il pouvoir justifier qu’il s’agit bien toujours de cela lorsque l’on s’aventure sur un terrain glissant, au risque d’être accusé d’« injure » ou de « diffamation ».
« On peut rire de tout, oui, mais à condition d’être drôle », pourrait-on dire. L’enjeu est là, et il est de taille. Car, à l’heure des tensions identitaires, de la judiciarisation de la société et du triomphe du « politiquement correct » - qui a notamment le mérite de sensibiliser l’opinion au problème des discriminations -, l’humour, comme toute autre forme d’expression, est soumis à de fortes pressions.
Rire, est-ce forcément se moquer, mettre à l’index ou stigmatiser ? Le comique ne peut-il fonctionner qu’au détriment d’un autre sur le modèle du fameux gag de la « tarte à la crème » ? Juridiquement, la frontière du « drôle » et du « pas drôle » est très difficile à fixer, c’est une certitude. Ce qui fait rire les uns peut laisser froids les autres, voire les offusquer. Comme la tragédie classique, le comique doit savoir respecter des unités, de temps et de lieu : « On peut rire de tout, mais pas n’importe où et pas n’importe quand », pourrait-on suggérer. Mais, outre l’importance du lieu et du climat - de tension - dans lesquels les blagues sont faites, c’est avant tout la subtilité du comique et son aura qui font la différence, qui légitiment l’humour, même le plus culotté.
2007-11-19 22:29:56
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answer #5
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answered by ? 7
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