Tant qu'à faire des citations de De Gaulle, allons y :
Au député UNR Raymond Dronne, ancien héros de la libération de Paris et favorable à l’Algérie française: « Voulez-vous être bougnoulisés ? Voyons, Dronne! Donneriez-vous votre fille à marier à un ********* (Cité dans Le petit De Gaulle illustré. Ed. Le Crapouillot, 1967, et par J .R. Tournoux, La Tragédie du Général, op. cit.).
A un autre député UNR, Léon Delbecque, également partisan de l’Algérie française:
« Et puis, Delbecque, vous nous voyez mélangés à des Musulmans? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des Arabes?» (La Tragédie du Général, op. cit.)
Au général Koenig: «Evidemment, lorsque la monarchie ou l’empire réunissait à la France l’Alsace, la Lorraine, la Franche-Comté, le Roussillon, la Savoie, le pays de Gex ou le Comté de Nice, on restait entre Blancs, entre Européens, entre chrétiens … Si vous allez dans un douar, vous rencontrerez tout juste un ancien sergent de tirailleurs, parlant mal le français (…) Tous ces ****** se chamaillent. Ils aiment les fusils, ils aiment s’en servir. Ils ont la manie de la fantasia » (La Tragédie du Général, op. cit.).
« Au soir des accords d’Evian, en mars 1962 : Alors. Joxe, vous avez bientôt fini avec vos ******? » (Cité dans Le Petit De Gaulle illustré, op.cit.)
« Les Arabes, ce n’est rien. Jamais on n’a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des usines»… « Ce sont d’habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiant » (La Tragédie du Général, op. cit.)
« Qu’est-ce que les Arabes ? Les Arabes sont un peuple qui, depuis les jours de Mahomet, n’ont jamais réussi à constituer un Etat … Avez-vous vu une digue construite par les Arabes ? Nulle part. Cela n’existe pas. Les Arabes disent qu’ils ont inventé l’algèbre et construit d’énormes mosquées. Mais ce fut entièrement l’œuvre des esclaves chrétiens qu’ils avaient capturés … Ce ne furent pas les Arabes eux-mêmes … Ils ne peuvent rien faire seuls» (cité par Cyrus Sulzberger, ancien directeur du New York Times, dans Les Derniers des géants, Ed. Albin Michel, 1972).
« Des Français, ces gens-là! Avec leurs turbans et leurs djellabas!» (Cité par A. Peyrefitte. C’était De Gaulle. Ed Gallimard, 2000)
« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées!» (Cité par Benjamin Stora, Le Transfert d’une mémoire, Ed. La découverte, 1999).
« Vous savez cela suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu’eux: il y a des nègres à l’Elysée, tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de nègres, ici. … Et puis tout cela n’a aucune espèce d’intérêt ! Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d’ici deux mois, vous m’entendez ? Plus une audience avant deux mois. Ce n’est pas tellement en raison du temps que, cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur: on ne voit que dès nègres, tous les jours, à l’Elysée. Et puis je vous assure que c’est sans intérêt» (Entretien avec Jacques Foccart, 8 novembre 1968 ; cité dans ses Mémoires, tome 2 : Le Général en mai. Journal de l’Élysée. 1968-1969, éd. Fayard/Jeune Afrique).
« Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses mœurs» (dans De Gaulle, mon père, par Philippe De Gaulle, éd., Plon).
«Le régime fasciste permet aux pouvoirs publics de tirer des ressources existantes, sans ressource ni ménagement, tout ce qu’elles peuvent donner. L’impérieuse subordination des intérêts particuliers à ceux de l’Etat, la discipline exigée et obtenue de tous, la coordination personnelle du Duce, enfin cette sorte d’exaltation latente entretenue dans le peuple par le fascisme pour tout ce qui concerne la Patrie, favorisent à l’extrême les mesures de Défense Nationale. » (Charles De Gaulle, La Mobilisation économique à l’étranger, Revue militaire française, 1er janvier 1934).
2007-11-17 04:59:42
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answer #2
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answered by sanletun 4
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« Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses mœurs» (dans De Gaulle, mon père, par Philippe De Gaulle, éd., Plon).
c'est le passage que je préfère, comme c'est bien vu!!!
2007-11-17 05:09:04
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answer #5
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answered by ? 6
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Citation du Général De Gaulle
« C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle.
Mais à condition qu'ils restent une petite minorité.
Sinon la France ne serait plus la France.
Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne.
Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau.
Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ?
Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ?
Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !».
2007-11-17 08:51:55
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answer #7
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answered by Anonymous
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