sommes-nous conscient de notre conscience d'être inconscient? et toc! ;-))
2007-11-15 04:15:58
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answer #1
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answered by hot stuff 3
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L'être inconscient ne fait pas de mal quand il reste dans l'innocence, le conscient en fait quand il en sort ....
2007-11-15 12:15:01
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answer #2
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answered by kazai 3
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Je suis à demi conscient et je laisse ces deux là penser à ma place...!
2007-11-15 12:26:46
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answer #3
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answered by Têtaclic 7
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Lêtre inconscient et plus heureux, il mêne sa petite vie tranquille sans se posé de question,tout l'inverse du conscient qui se prend la tête pour vivre...
2007-11-15 12:23:17
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answer #4
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answered by Dora 60 7
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Désolée, mais j'ai arrêté la Philo moi... C'était pas pour moi !! ^^
2007-11-15 12:20:01
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answer #5
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answered by Anonymous
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Et toi que pense tu d un être qui est conscient de son inconscience mais qui vie très bien avec?
LOL vive le copier coller c est simple
2007-11-15 12:16:51
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answer #6
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answered by Anonymous
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c'est ce que je me suis dit en voyant la question(pour la philo)
Que veut dire " être conscient " notre vie de tous les jours ? " être conscient " est pris comme un équivalent de " faire attention à ". De même, " inconscient " est la plupart du temps synonyme de " ne pas faire attention ". " Sois donc conscient de ce que tu fais ! " dit-on au maladroit. Dans l’attitude naturelle, nous percevons la conscience comme une vigilance tournée vers le monde. Cette inquiétude manifeste une responsabilité à l’égard de nos actes. " L’inconscient ", dans les situations graves, se montre aussi irresponsable.
Deux notions de la conscience sont impliquées dans cette appréhension.
1° Ce nous appellerons la conscience psychologique, qui est synonyme d’éveil, dans le sens de l’éveil au monde de la vigilance. On définit la conscience ne disant qu’elle est l’intuition qu’a l’esprit de ses états et de ses actes. Cette idée est marquée communément dans le rappel à l’ordre et au réel. En ce sens la conscience est une présence.
2° La seconde notion impliquée, avec laquelle il vaut mieux ne pas la confondre, est la conscience morale. L’idée est marquée par le souci de vigilance qui accompagne l’injonction. Rousseau invoque souvent dans son oeuvre ce qu’il appelle la voix de la conscience en nous. Ce n’est évidemment pas seulement cette conscience qui fait que je suis conscient de cet arbre dans la cour, ou de tel ou tel souvenir en général. L’éveil ne comporte pas en lui-même d’exigence morale ou de devoir-être. Quand je vois passer un oiseau, je ne juge pas, je ne condamne pas. Je suis seulement conscient de l’oiseau qui passe. La conscience morale est pourtant bien présente dans la vigilance quotidienne, dans la mesure où l’état de veille est une sur-veillance qui emporte une responsabilité à l’égard des choses que l’on à en garde.
La conscience (cum-scientia : avec science) n’est pas dissociable d’une certaine forme de connaissance Mais laquelle ? D’abord celle qui est attenante à la présence au monde. Cum-scientia signifie accompagné de connaissance. Cela veut dire que l’homme dispose, dans la nature même de sa conscience, d’une forme de connaissance. Quelle est donc cette connaissance qui accompagne la conscience ? Que connaît-on en étant conscient ?
2007-11-15 12:16:20
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answer #7
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answered by steflaly 4
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