Les règles sociales font toute la morale et ce qui parle en nous dans l’exigence du bien, c’est la voix de la sauvegarde de la société. La conscience collective domine la conscience individuelle et lui impose ses devoirs. C’est bien l’appréhension la plus courante que nous ayons de la morale, quand nous pensons que la société nous « impose » une morale. Dans la conscience commune, on voit dans la société une autorité extérieure devant laquelle il faut s’incliner. Au fond, cette reconnaissance de l’autorité sociale est aussi à l’œuvre dans la considération du jugement d’autrui. C’est un peu comme si le sentiment du bien ou du mal impliquait nécessairement le regard des autres sur soi et un sens aigu de la culpabilité. Du fond de soi la conscience morale se dirait : « Je ne peux tout de même pas faire cela. Ce n’est pas bien. Qu’en dira-t-on ? je vais attirer sur moi la honte et la réprobation ». Dès lors, rester dans les limites de la morale reviendrait à rester en conformité avec les mœurs, ce qui signifierait implicitement respecter le principe de conservation qu’est l’utilité sociale. La coutume collective se présente comme une obligation morale.
2007-11-12 21:54:28
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answer #1
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answered by ? 7
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trop souvent hélàs, l'homme, sans réflèchir beaucoup, agit et juge selon les préceptes qu'on lui a inculqués, pour son propre malheur et celui de ses semblables!.........l'homme responsable passe au crible de son esprit critique tous les enseignements qu'il a acquis, pour en faire le tri, et en édifier une construction personnelle solide.......
2007-11-13 06:43:37
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answer #2
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answered by Eurydice 7
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Au début, oui, quand il fait l'apprentissage de la vie, mais sa réflexion va vite le conduire à adopter les valeurs morales qui correspondent à sa personnalité.
Comme le dit Kant: "un esprit libre et un esprit soumis à des lois morales est une seule et même chose".
2007-11-13 05:46:35
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answer #3
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answered by woh 5
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a la question: qu'est ce que je dois faire?
question morale puisque qu'elle guide notre action Kant a répondu (critique de la raison pratique): que la conscience de soi était ténu face à l'impératif catégorique (morale toute faite), c'est bien pour cela qu'il a continué a réfléchir la question ...
Plus tard un obscur médecin viénnois : Freud, a mis devant la prétention occidental de la liberté, le concept d'inconscient, avec cela il nous a convaincu que nous étions les jouets de ce qu'il a appellé le surmoi (la conscience moral). Donc à cette question tu peut être convaincu que l'humain est un animal grégaire et que la morale, c'est le chemin que tout le monde prend de peur de s'écarter du troupeau, ainsi soit en convaincu, il n'y a rien de plus effrayant pour l'individu que de penser par soi même et d'être conscient de soi
2007-11-13 12:35:12
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answer #4
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answered by Anonymous
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Tout dépend de son pouvoir et de son degré de réflexion.
On essaie de raisonner mais dans l'immédiat ou au contraire à long terme, la morale, inconsciente, façonnée au grès des evenements et de l'éducation, l'emportera très souvent et parfois même de façon incidieuse.
2007-11-13 06:14:23
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answer #5
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answered by TocTocqk 6
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ton comportement tu le fondes surtout sur l'éducation que tu as eu !!
2007-11-13 05:54:35
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answer #6
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answered by la belle gauloise 7
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