il y a huit ans, j'ai donné naissance a mon premier ptit garçon, Samuel, il est né bcp trop tôt, il est décédé une trentaine d'heures après sa naissance, le savant condamné, j'ai demander que l'on m'appelle au cas il montrerait des signes, j'en ai pas eu besoin, d'instinct vers deux heures du matin, je suis descendue en néonat, les infirmière me l'ont mis dans mes bras et je l'ai berçer en lui murmurant une berçeuse, il c éteind doucement sans souffrir, je lui ai fait sa toilette moi même, habillé moi même, personne ne l'a toucher et c moi qui l'ai mis dans son ptit cercueil, personne ne l'a toucher, bien sûr j'étais accompagnée, mais toutes ses choses j'ai tenue a les faire moi même, ma manière a moi de lui montrer et de lui faire sentir, que je l'aimais plus que tout et ne lui faire connaitre que cet amour, pour qu'il parte l'esprit tranquille et rassuré, j'ai perdu un enfants, mais le ciel a gagner un ange, je n'ai pas pleurer pour moi je ne devais plus m'en faire pour lui, mon ptit bébé dors en paix, loin des souffrances et de la misère de ce monde, il aurait survécu sa vie aurait été un enfer, car une hémmoragie cérébral l'avait déja rendu lourdement handicapé, je pense tout les jours a lui et je sais qu'il est bien la ou il est
la mort n'est pas une fin en soit, la seule chose qui nous rend triste, c ce sentiment d'injustice, cette mort qui nous semble douloureuse, brutal, cruelle, la personne décédée nous manque et notre chagrin bien légitime nous aveugle, la mort d'un proche nous change, j'ai perdu bcp de proches dans ma vie, amis, famille, bien sûr je suis triste mais mes croyances me permette de tenir bon, et je me dis qu'il y a des tas de choses qui nous dépassent, plus grandes que nous, et que tout ne s'arrête pas comme ça, les réponses nous les aurons quand viendra le moment pour nous, la mort n'est pas ce qui me révolte le plus,
ce qui me révolte c la manière dont elle est donnée, les guerres la famine, les meurtres, ça c révoltant, l'indifférence, la cruauté, l'égoisme, l'abus de pouvoir, la tyrannie ça c révoltant
2007-11-12 20:35:58
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answer #1
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answered by SOLAINE® ♪MaDaMe Aziz 7
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je m'occupe de personnes lourdement handicapée, vouées à une mort plus ou moins rapide, le dialogue s'établit très vite car ils savent quand ils vont mourir, et c'est le moment ou le mensonge disparait pour faire place à la compassion, la compréhension et l'amour pour l'être humain!!!
2007-11-13 03:33:24
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answer #2
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answered by Anonymous
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Je crois que pour accompagner sereinement quelqu''un de proche... pour qui la fin est aussi proche que lui et moi....je devrais impérativement "me mettre à sa place"...être avec cette personne en totale ampathie.... ne rien prétendre à autre chose, et si besoin est ,rester dans cette humble incapacité et apprendre et tenter de l'aimer plus que tout...
2007-11-13 02:16:58
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answer #3
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answered by Têtaclic 7
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Oui, plusieurs fois. Il faut aider la personne à accepter, c'est important qu'elle sache la vérité. Bien sûr, si on est croyant, à ce moment là ça aide. Car c'est difficile de préparer quelqu'un pour le néant.
2007-11-12 23:43:37
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answer #4
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answered by Germain le Terrible 5
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je ne connais pas ce livre , mais , lorsque je travaillais auprès des personnes âgées , je me suis trouvée à accompagner une vieille dame pour son dernier voyage ; nous avons parlé très très longtemps jusqu'à ce qu'elle perde connaissance ; j'étais seule avec elle , pas de famille ! tout c'est passé dans le calme et la sérénité , elle est partie sereine et calme !je n'en garde qu'un sentiment de paix ; cette dame était croyante !
2007-11-13 02:44:39
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answer #5
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answered by Sarah 7
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d' abord mes sincères condoléances meme si c' est tardif.Ensuite je vous tire mon chapeau puisque vous etes parvenu à lui dire que c' était fini pour lui.je présume que celà n' est pas facile et votre calvaire est double,vous savez que c' est fini et vous devez le lui dire.pour répondre à la question ,je dirai ;franchement non,je n' aurais pas le courage,c' est trop dur.
2007-11-12 19:29:44
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answer #6
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answered by boussy 4
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Désolée pour ton fils. Non je ne connais pas ce livre, mais j'ai travaillé aux soins paliatifs un bout de temps, et c'est pas facile de les aider a mourir. Je crois que l'amour ( avec un grand A ) ça résume tout.
2007-11-12 19:26:47
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answer #7
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answered by Topaze 7
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salut,
non je n'ai pas lu ce livre...et je crois que je serais incapable de dire à quelqu'un qu'il va mourir.
Dieu merci, je ne suis pas médecin! :-)
en tout cas j'ai jamais vécu une situation pareille.
2007-11-12 19:17:03
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answer #8
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answered by maria 5
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(( rire)) :D aussi
@ceux qui ne connaissent pas encore le livre
http://www.paranormal-info.com/La-source-noire.html
Bonne nuit a tous
2007-11-12 19:10:10
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answer #9
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answered by Jazaïria жазайря अल्जीरिया 6
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LA MORT ET L'AU-DELÀ
La naissance et la mort sont le commencement et la fin de la vie terrestre. L'être humain qui porte en lui ne serait-ce qu'un faible désir de trouver la Vérité ne peut se désintéresser de ces deux questions importantes: Comment la vie pénètre-t-elle dans le corps physique et qu'en advient-il après la mort?
La plupart des êtres humains se sont tellement embourbés dans leurs basses conceptions orientées uniquement vers les choses terrestres qu'ils ne peuvent plus s'en dégager. En cultivant unilatéralement l'intellect qui, étant lié à la Terre, est périssable, ils ont perdu une clé très importante dans leurs recherches sur les énigmes de la vie, à savoir la faculté de tirer des conclusions sur ce qui a son origine «en haut» et sur ce qui se manifeste en tant que répercussions «ici-bas». Malgré tout, maintes connaissances plus élevées peuvent être encore acquises en étudiant seulement les effets «d'enbas» si l'on songe que les mêmes lois agissent aussi bien dans le monde visible que dans le monde invisible.
Ces lois de la Création forment non seulement ce qui est terrestre mais encore ce qui est «supraterrestre». De plus, c'est grâce à elles que rien ne se perd dans la vaste Création. La vie qui a quitté le corps physique après la mort doit donc avoir aussi une forme, et cette forme doit bien aller quelque part. C'est en fait ce qui se passe : la vie ainsi «formée», et qui abandonne le corps à la mort, est l'âme. Cette âme passe après la mort dans ce qu'on appelle «l'au-delà», notion qui regroupe un grand nombre de régions diverses.
L'endroit où parvient l'âme est déterminé par la loi de la pesanteur. Selon qu'elle se sera elle-même allégée ou alourdie sur Terre par ses pensées et ses actions, l'âme montera ou bien descendra après le décès dans une région de même pesanteur qu'elle. L'âme sera alors attirée par ce qui se trouve en affinité avec elle.
L'homme a des conceptions beaucoup trop étroites et unilatérales sur l'activité et la vie qui règnent dans la Création ainsi que sur la continuité de l'existence de l'âme après la mort - quand il y croit ! Il pense souvent que l'âme se repose après la mort. Or, c'est précisément le contraire qui se passe! Si l'âme veut continuer à vivre après la mort, elle ne doit nullement se reposer ; il lui faut au contraire se mouvoir. Car seul le mouvement est la vie. Des expressions comme «Il est entré dans le repos éternel» ou encore «Qu'il repose en paix !» donnent par conséquent une idée entièrement fausse de ce qui se passe dans l'au-delà.
Il règne en fait dans l'au-delà l'activité la plus intense et les expériences vécues y sont beaucoup plus fortes et plus riches qu'ici-bas. L'être humain retrouve dans l'au-delà tout ce qu'il a pensé et ressenti intuitivement sur Terre. Ce sont là «ses oeuvres» ; elles le suivent, c'est-à-dire qu'elles l'attendent, les bonnes comme les mauvaises. Elles seules suffiraient déjà à l'empêcher de trouver le repos. Il ne saurait donc être question de repos personnel ou de repos des morts jusqu'au jugement dernier.
Le «réveil pour le jugement dernier» a un sens bien différent de celui que lui donnent les hommes: Ce ne sont pas «tous les morts» qui doivent être réveillés, mais seulement «tout ce qui est mort»! Il faut entendre par là également les défauts qui sommeillent dans les âmes humaines comme si ces défauts n'étaient plus. Or, ils seront réveillés par la Force divine qui se trouvera intensifiée au moment du jugement. Cela signifie que ces défauts seront contraints de manifester le mouvement le plus intense afin d'être soumis par là même au jugement. Celui qui, par suite d'une faute dont il s'est rendu coupable, ne peut soutenir ce grand jugement universel est voué à la «seconde mort», celle qui est «éternelle». Il perd ainsi son autoconscience si péniblement acquise.
C'est pourquoi l'être humain ne devrait jamais perdre de
vue le but proprement dit de son existence : le Paradis ! La route qui y mène passe par l'au-delà. La mort terrestre n'est qu'une porte sur ce chemin qui continue au-delà de ce qui est terrestre et qui offre au pèlerin aspirant à un but élevé
une vue surprenante sur cet autre monde matériellement I invisible et infiniment plus beau et plus grandiose que ne l'est notre Terre.
Malheureusement l'être humain de la Terre s'est presque totalement fermé à ce monde qui existe réellement. Il ne le comprend plus parce qu'il a volontairement rétréci les limites de ses connaissances et qu'il fait preuve de scepticisme et d'incrédulité devant les événements de l'au-delà. Il possède pourtant à tout moment la faculté de se mettre en rapport avec l'au-delà de la façon la plus simple. Point n'est besoin pour cela d'être médium ou clairvoyant.
Nous savons tous ce qu'est la «conscience», sans avoir jamais pour autant découvert sa véritable signification. Elle est en étroite liaison avec l'activité de ces personnes décédées qui, grâce à leur expérience plus grande, s'efforcent sérieusement d'aider leurs semblables séjournant encore sur Terre; ils veulent les guider de façon sûre et les protéger - à condition que les hommes de la Terre leur aplanissent le chemin par une authentique aspiration ou par une fervente prière. L'activité silencieuse de ces aides de l'au-delà constitue une partie de notre conscience, l'autre partie étant la voix de l'esprit, donc notre intuition.
Combien de fois ces aides n'essaient-ils pas de l'au-delà,
par une exhortation ou un avertissement, de nous empêcher de mal agir ! Comme ils s'efforcent, avec une insistance délicate et toujours renouvelée, d'écarter de nous cette hésitation qui nous sépare encore d'une bonne action ! Comme leurs conseils sont bons, comme ils sont utiles en maintes occasions ! Mais, toute sérieuse qu'elle soit, à quoi I sert leur action si nous ne les laissons pas «parler à notre conscience» et si nous essayons au contraire d'endormir cette dernière pour finir par reconnaître que ce «petit quelque chose» qui nous avait soudain traversé l'esprit pour nous avertir était juste après tout, mais avait été étouffé par notre intellect si astucieux. Naturellement, les aides de l'audelà ne peuvent jamais nous contraindre, car eux-aussi doivent respecter le libre arbitre.
Qu'il est donc heureux celui dont la conscience est encore en éveil, celui qui suit de son plein gré la voix de sa conscience et se laisse guider, conduire et protéger par son aide de l'au-delà ! Le fait d'aider et de se laisser aider contient une grande bénédiction réciproque qui peut apporter aux deux parties concernées un élan spirituel insoupçonné.
Mais d'autres possibilités de communiquer avec l'au-delà sont parfois offertes aux hommes de la Terre. Ces possibilités résultent d'un développement naturel et n'ont rien à voir avec des méthodes artificielles qui recèlent toujours un danger et qui sont rarement inoffensives pour l'âme et le corps. C'est ainsi que le poète anglais H. Dennis Bradley, décédé en 1934, avait promis, dans toute la mesure du possible, de donner de ses nouvelles après sa mort. Et il réussit en effet peu de temps après à transmettre par l'intermédiaire d'un médium une très bonne description de sa vie dans l'au-delà. Il communique, entre autres, ce qui suit
«Le paysage dans lequel nous vivons est extraordinairement différent de celui de la Terre. Il est d'une pureté et d'une limpidité à nulle autre pareille. Il règne ici énormément de lumière et rien n'est gris ni même obscur.
Ici aussi on trouve la terre ferme et la mer, des arbres et des fleurs, mais tout est plus beau et plus merveilleux que sur Terre.
Même le plumage des oiseaux est plus éclatant et plus riche en couleurs. Mais, le plus étrange, c'est l'effet produit par les fleurs. Elles n'exhalent pas seulement un parfum
délicat, elles émettent aussi des sons magnifiques, imperceptibles à l'oreille terrestre, et qui varient selon chaque espèce.
On ne connaît pas ici la fatigue ni le besoin de repos ; on se sent au contraire constamment traversé par un merveilleux courant de force. Le temps ne compte pas. On est toujours occupé car il y a ici un million de fois plus de choses à apprendre que sur Terre.
On trouve ici un nombre incommensurable d'âmes de défunts. Les esprits peuvent communiquer entre eux, même si dans la vie terrestre ils ont parlé des langues différentes.
La faculté de se mouvoir d'un endroit à l'autre est également admirable. Cela se passe autrement que sur Terre parce qu'il n'y a pas ici de corps physique. Bien entendu, j'ai une forme que l'on pourrait comparer à un corps, mais je n'en suis pas prisonnier.
Il suffit ici de vouloir se rendre quelque part pour y être immédiatement.
A l'avenir, il sera sans doute possible d'établir à nouveau des relations entre les êtres humains se trouvant encore sur Terre et les âmes de l'au-delà. Mais il est nécessaire pour cela que l'être humain ouvre en toute confiance les portes du savoir qu'il s'est lui-même fermées par son manque de foi.»
La mort terrestre perdra son aspect d'épouvante lorsque nous saurons que pour celui qui aspire à s'élever elle est un simple passage d'un plan de la Création à l'autre. L'âme, qui a pour noyau l'esprit, se dépouille simplement de son enveloppe terrestre périssable. Elle conserve cependant la forme du corps qui est propre à l'esprit dont la véritable patrie est le Royaume spirituel, appelé aussi le Paradis. Le chemin qui y conduit est long. De lumineux jardins le bordent, l'esprit humain trouve là une aide merveilleuse, il y puise une force qui le réconforte. C'est l'un de ces lumineux jardins que décrivit de l'au-delà le poète défunt.
Une âme humaine ne doit pas seulement naître une fois sur Terre et mourir pour atteindre cette légèreté et par là même cette pureté qui la délivrent complètement du domaine terrestre. Il vient un jour où la mort physique est pour elle la dernière. Libéré de tous les fardeaux terrestres, l'esprit peut alors s'élancer en jubilant vers les hauteurs de Lumière jusqu'à ce que les portes du Paradis s'ouvrent enfin devant lui. En franchissant le seuil du Royaume spirituel, il a acquis «l'autre vie». C'est alors que se forme au-dessus de lui une merveilleuse auréole éclatante de lumière qui le fait exulter de félicité : la couronne de la Vie éternelle !
2007-11-12 19:48:05
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answer #10
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answered by réalité 4
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