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des idees et des explications SVP j'ai deja fait quelque chose mais c'est pas suffisant ou donner moi un lien ou je pourrais trouver des reponses SVP

2007-11-11 00:27:00 · 5 réponses · demandé par chance 3 dans Arts et sciences humaines Philosophie

5 réponses

Kant a vu juste, il est aussi vrai que le sentiment peut-être assez confus, mélangé à des intérêts égocentriques. Nous sommes assez rusé pour faire passer la voix des passions pour la voix de l’âme, pour nous tromper nous-mêmes, tout en entretenant un discours de bonne conscience. Mais nous sentons bien aussi que nous nous trompons nous-mêmes, car c’est là que se tient la voix de la mauvaise conscience. Il n’en reste pas moins, que ces deux logiques sont différentes, que « la conscience est la voix de l’âme, les passions sont la voix du corps. Est il étonnant que ces deux langages se contredisent ? ». La conscience morale est un instinct divin et non pas un instinct animal. Elle est une sensibilité au bien et au mal, une capacité d’intuition du bien.

2007-11-11 03:30:21 · answer #1 · answered by ? 7 · 0 0

S'il est vrai que "la conscience est tj conscience de qch" (Husserl) alors la "bonne conscience" est une conscience de soi. Il s'agit en l'occurence d'une appréciation morale minimaliste ("je n'ai rien à me reprocher").Il s'agit là d'un jugement sur des normes purement personnelles ou personnalisées. Mais qq d'extérieur à moi peut avoir une opinion différente. On peut donc reprocher à la "bonne conscience" sa subjectivité.

Néanmoins Rugen OWIEN a montré que l'éthique minimaliste était à la base de tout système juridique (le droit disant le Bien et le Mal est une morale comme une autre). Par éxemple le droit actuel est fondé sur la norme minimale du "ne pas nuire à autrui". Malgré l'apparence cette position diffère de "l'impératif catégorique" de Kant en ce sens qu'elle repose sur la conscience normative personnelle plutôt que sur la cohérence sociétale.

Celà est bien bref mais pourrait orienter ta pensée. Bon courage.

2007-11-11 08:49:20 · answer #2 · answered by Anonymous · 1 0

Sa complaisance sur elle-même....!!!
... lui assurant un confort minimum et suffisamment étrangère à tout ce qui viendrait à la déranger et à la remettre en question...c'est la forme d'aveuglement la plus répandue et la plus "respectable" celle sur quoi on instaure des causes humanitaires et des idéologies comme on construit sur du sable...

2007-11-11 10:46:56 · answer #3 · answered by Têtaclic 7 · 0 0

d'être trop égoïste.......pour mieux se leurrer!........tout l'art de se refaire une belle âme à moindre coût........

2007-11-11 09:49:18 · answer #4 · answered by Eurydice 7 · 0 0

On pourrait reprocher à la bonne conscience .....
la cause d'un manque de discernement .....

- Est on suffisamment rigoureux vis à vis de soi même ?
- Ne sommes nous pas juge et partie à la fois ?
- Ne sommes nous pas un peu tricheur, pour se voir plus beau qu'on ne l'est, en se laissant trahir pour son EGO ?
- Sommes nous capables d'être suffisamment détachés de nos sens, pour rester neutre et porter le juste jugement, en toute impartialité ?

- L'état de Sagesse [vocation à la maîtrise de ses pulsions], avec appel au vrai sens, aux vraies valeurs, permet cette approche pragmatique. Ce n'est pas inné, mais ardu. C'est le résultat d'un travail permanent sur SOI, qui commence dès l'éducation du plus jeune âge. Ensuite par l'experimentation, dans sa chair, tout au long de sa vie, on se doit d'involuer, de détecter via une prise de conscience, ce que nous sommes, ce que nous réalisons....

La mesure de l'écart entre son MOI IDEAL, et son MOI REEL, déterminera le degré de ....
" La BONNE CONSCIENCE "

2007-11-11 12:16:43 · answer #5 · answered by grdbleu 4 · 0 1

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