Ami, notre père est le tien
Je ne suis ni l’ange gardien,
Ni le mauvais destin des hommes
Ceux que j’aime, je ne sais pas
De quel coté s’en vont leurs pas
Sur ce peu de fange ou nous sommes
Je ne suis ni dieu ni le démon
Et tu m’as nommé par mon nom
Quand tu m’as appelé ton frère,
Jusques au denier de tes jours
Où j’irai m’asseoir sur ta pierre
Le ciel m’a confié ton cœur,
Quand tu seras dans la douleur,
Viens à moi sans inquiétude
Je te suivrai sur le chemin
Mais je puis toucher ta main,
Ami, je suis la solitude
je dédié se poème à tous les solitaires sur terre.
2007-11-09
01:24:57
·
6 réponses
·
demandé par
dainezak
2
dans
Arts et sciences humaines
➔ Poésie