-----TEXTE COPIER COLLER DE L'ARTICLE----
Le reste c'est ma réponse
Allez je me lance, mais cet article est tellement bourré d'ineptie que ça va être long
----vers 1930, on impose l’usage du caparaçon ?-----
Faux comme le dit @juan le décret date du 07 février 1928 (2 ans d'écart)
-----le verbiage héroïco-esthétique des aficionados-----
Cette dame n'a jamais assisté à une seule corrida, la phrase est lourde et inexacte (verbiage : abondance de paroles vide de sens) la plupart du temps, le silence règne dans les arènes, et les aficionados ne parle qu'avec les termes appropriés à la corrida.
Qui a raison ?
Elle :
-----Eugène Delacroix, qui a représenté des acteurs de l’arène, n’a jamais peint de corrida et il a écrit dans son journal que «là où coule le sang, l’art est impossible». -----
Ou un des plus vieux club taurin de france (97 ans d'existance et plein d'archives) :
-----Au cours du XIXème siècle, elle se coule dans son moule rituel définitif et, parce qu'elle véhicule des valeurs et questionnements universels, retient l'attention de nombreux intellectuels et artistes étrangers à l'Espagne qui s'en font de chauds propagandistes comme, les Français, Prosper Mérimée, Théophile Gautier, Alexandre Dumas, Eugène Delacroix, Gustave Doré, Edouard Manet... -----
-----Les apôtres de la corrida disent, de surcroît, que son abolition constituerait une faute écologique en ce qu’elle mettrait fin à l’élevage des taureaux sauvages, race qui concourt à la diversité des espèces. Or, il faut savoir que la zootechnie n’a pas moins créé et cultivé le taureau dit de combat que le bœuf du Charolais si méprisable aux yeux des zélateurs du «toro bravo». Celui-ci ne combat pas de nature comme un chien chasse de race puisqu’il est méthodiquement entretenu dans une «hostilité familière». Les taureaux sauvages sont à peu près élevés comme on élève des faisans pour les tirer et, en liberté, ils n’attaquent guère les hommes, sauf circonstances exceptionnelles. Ce qui rend le taureau non pas «brave» mais furieux c’est son conditionnement, sa contention lors du transport et son enfermement dans le toril.-----
Le boeuf charolais n'est pas méprisable, mais il y a autant de différence entre un toro de combat et un boeuf qu'entre un pitbull et un caniche, les toros de combat ne sont pas élevés comme des faisans destinés à la chasse, en effet les faisans peuvent être attrapés en bord de route, même ma fille l'a déja fait (bien sur elle l'a relaché car même si elle aime la corrida, elle adore les animaux), le toro de combat attaque l'homme il défent son territoire, des manadiers et des ganaderiéros le confirmeront, d'ailleurs il y a 3 ans un homme a perdu la vie en camargue chargé par un de ses toro, et pourtant il les connaissait bien.
Le transport se fait dans de bonne condition car les toros ne sont pas entassés à 50 dans un bétaillère mais à moins d'une dizaine, ils sont bien traités car un toro de corrida vaut très cher et est aimé de son propriétaire qui veille au grain
-----C’est avec la justification éthique de la corrida qu’on touche au comble de la supercherie. Les aficionados cultivés se réclament d’une morale aristocratique d’inspiration stoïcienne, ils exaltent la virilité héroïque de deux êtres exceptionnels, le toro et le torero. Selon eux, cette éthique de la lutte à mort irait à l’encontre de la tranquillité bourgeoise et de ses pleurnicheries sur les droits. Ainsi opposent-ils la mort debout du taureau dans l’arène à la mort passive et ignominieuse des bœufs à l’abattoir. Ce mode de légitimation a quelque chose de grotesque. D’abord parce que parler de la bravoure des toros relève d’une pure projection.-----
Encore une fois c'est mal écrit long et inexact, c'est un jugement hatif sur les aficionados, cette dame pense comme au temps de certains rois de france et elle veut nous faire passer pour les bourreaux cruels, barbares et arriérés, elle sous estime notre morale et juge en groupe ce que nous sommes en tant qu'individus, en plus la dernière phrase démontre encore une fois qu'elle ne connait ni la corrida ni le toro de combat.
-----Ensuite, parce qu’en dépit de Picasso, ce culte de l’héroïsme viril pue son «Viva la muerte !» fasciste. Enfin, parce que les spectateurs se contentent d’être assis et de regarder. On ne nous fera quand même pas prendre le voyeurisme collectif pour un acte de courage.-----
Allez encore une ineptie, nous sommes des fachistes!!!
Pour l'acte de courage, c'est quoi ce délire, je n'ai jamais entendu un aficionado dire qu'il fesait preuve de courage en venant à une corrida, le matador et les péones font preuve de courage, pas nous, nous nous venons assister à de l'art, ce n'est pas dans les gradins que nous risquons quoique ce soit.
Cette dame ne c'est même pas renseignée sur les aficionados!!
-----La corrida est un spectacle qui consiste à infliger au taureau des tortures savantes, de manière à retarder le moment fatal. Les harpons des banderilles plantées sur son dos l’ensanglantent et entament ses muscles un peu plus à chacun de ses mouvements mais les blessures n’en sont pas mortelles. C’est au bout de vingt minutes que, les poumons remplis de sang, tombant à genoux – et non debout ! –, il reçoit l’estocade, laquelle ne met pas fin à son supplice puisqu’il faut encore que l’achèvent les puntilleros armés de couteaux : dans l’arène mais à l’abri des regards.-----
Alors là on atteind le comble de la débilité profonde, "torture savantes...retarder le moment fatal.....entament ses muscles un peu plus à chacun de ses mouvements" on se croirait en pleine scène de film gore.
"au bout de vingt minutes que, les poumons remplis de sang, tombant à genoux – et non debout !", elle est bien gentille cette dame, mais comment on fait pour tuer un toro à récibir s'il est à genoux, et en plus vu la place qu'il y a pour réussir une mise à mort, si en plus il est genoux, les homoplates bouchent cet espace, c'est n'est donc pas à l'épée qu'il faut le tuer car dans ce cas là c'est impossible. Bien sur pour les poumons remplis de sang, cela arrive, mais ce n'est que lorsque la mise à mort est ratée et les aficionados nous n'aimons pas ça, car dans ce cas là le toro crache le sang par la bouche, la mort est plus longue mais elle ne dure pas plus de 5mn (si un animal arrive à tenir 20mn avec les poumons remplis de sang, il peut se faire canonifier).
"les puntilleros armés de couteaux : dans l’arène mais à l’abri des regards", là je ne comprend pas bien comment ils font pour ce cacher vu la structure des arènes, peut être qu'ils dressent des tentes pour ce cacher, mais si c'est le cas ils font super vite, je ne m'en suis jamais apperçue. Les puntilleros sont là pour sectionner la moëlle épinière de façon à ne plus faire réagir le corps nerveusement car tout être dans les minutes qui suivent sa mort peut avoir encore des réactions sauf si la moêlle épinière est sectionnée.
CONCLUSION :
Cette dame avant de dire autant d'inepties à la minutes devrait, voir des corridas et se les faire expliquer, revoir sa biologie animale, cotoyer le monde des aficionados, réviser son histoire, revoir sa culture littéraire et artistique, et suivre des cours de psychologie, voir en consulter un!!!!! Et bien sur revoir ses talents journalistiques à la baisse car c'est long, mal écrit, inexact, lassant, layant, languissant, truffé d'expressions lourdes de sens (enfin plutôt de non sens), je m'arrètes là car son style me déplait au plus profond.
Je suis désolée pour la longueur, de ma réponse, mais je me suis lachée, c'était servi sur un plateau et impossible de ne pas répondre
2007-11-09 01:45:21
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answer #1
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answered by maiagarance 5
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