English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

C'est la Toussaint. Dans un cimetière du 13ème arrondissement à Paris, un homme
apporte des fleurs pour la tombe de ses parents. Sur la tombe d'à côté, un
chinois est en train de répandre du riz sur la pierre tombale de ses parents à
lui.
Le français (un chouilla xénophobe) lui demande:
- Et vous pensez qu'un jour ils pourront manger votre riz?
Le chinois lui rétorque:
- Bien sûr! Le même jour qu'ils pourront sentir vos fleurs.

2007-10-31 16:55:03 · 13 réponses · demandé par imprimiglia 4 dans Éducation Futilités

13 réponses

Merci pour cette séquence rire!lol

allez une petite pour la route!
Dans un village, un débit de boisson fait face au cimetière communal. Dans élan promotionnel et humoristique, le patron du bar fait installer une pancarte qui dit:
"Quoi qu'on dise et quoi qu'on fasse, on est bien mieux ici qu'en face." Le lendemain, le responsable du cimetière installe lui-même un écriteau qui dit: "Quoi qu'on dise et quoi qu'on fasse, tous ceux d'en face viennent ici.

2007-10-31 20:40:15 · answer #1 · answered by AlouetteAlouette 5 · 3 0

Demain, dès l'aube...

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur

Victor Hugo

2007-11-01 04:04:56 · answer #2 · answered by Eurydice 7 · 3 0

tu en ris ou souris, et nous nous pleurons nos morts, et pas que pour le jour des morts, (2 novembre) la Toussaint étant le 1° novembre et la fête de tous les saints (ceux qui ne sont pas cités dans le calendrier)

2007-11-01 00:06:24 · answer #3 · answered by Anonymous · 5 2

Beaucoup de gravité, oui.
Je pense à une séquence de film, d'Almodovar où une armée de veuves vient nettoyer la tombe de son défunt chéri avec balayettes, Océdar, Produit à vitres et vas-y , à genouz et foulard noué sur le cràne, que je te nettoie la pierre tombale!
Je pense que le Q/Riste qui me précède a exprimé ce que je pense, parfaitement.
Aussi sur ce sujet douloureux et grave je ne m'étendrai pas.
J'ai toujours eu, quand une personne est morte, Grand-Père, Père et autres proches un sentiment de...j'ose pas le dire mais si! de joie, d'apaisement.
J'évite toujours le cimetièe et je me mets le plus haut possible, dans un grenier, sur une montagne, comme pour accompagner celui qui s'en va, lui parler,lui dire que je suis heureuse avec lui.
J'aime le mot délivrance. (sauf pour un jeune qui meurt par ex. ans un accident.)
Je sens une espèce de complicité tranquille comme un au-revoir et pourtant je ne suis pas croyante.
Je crois en la continuité de la pensée, quelque part et comment ? je ne sais pas! Nous n'avons pas les moyens de le savoir. Mais j'y crois. Et je continue à parler dans mon coueur, à raisonner avec ceux qui sont passés...ailleurs.
C'est mon mysticisme à moi depuis que je suis toute petite.

2007-11-01 02:45:10 · answer #4 · answered by julie 7 · 2 0

pas je bosse .Mes mes parents vont y aller.

2007-11-01 01:36:15 · answer #5 · answered by boubounette 7 · 2 0

Pas de morts!!!
Quel chance,bon courage a ceux qui sont obligés de s'y rendre!

2007-11-01 00:01:05 · answer #6 · answered by DB 2411 7 · 2 0

Mignonne...;
Non , pas cimetiére...ma famille est enterrée au Portugal , dans un cimetiére magnifique , fleuri ....dans un p'tit village...

2007-11-01 06:19:29 · answer #7 · answered by E£ixir ~ 7 · 1 0

catholique pratiquante, je ne vais pas au cimetière car mes parents sont au ciel, j'y crois et pas dans une boite sous terre; mais ce jour-là plus que les autres, je vais à la messe, je prie pour eux et je fais dire des messes pour le repos de leur âme;

2007-11-01 04:15:07 · answer #8 · answered by plump 3 · 1 0

et oui, cimetière, on va fleurir les tombes! se recueillir en famille, un jour où l'autre on est tous confronter à ça, le décés d'un proche qui boulverse !

2007-11-01 04:00:16 · answer #9 · answered by ccboul 6 · 1 0

C'est une très bonne réflexion.
"Tu es poussière et tu retourneras à la poussière" lançait Moïse. En effet ce qui appartient à la terre y retourne. Mais le reste où va-t-il?
Il est incroyable comme les vivants veulent pour beaucoup retenir le disparu dans leur tête ..et dans le caveau!
L'enveloppe corporelle est au service de l'âme comme le mental qui nous assiste d'ailleurs. La mort n'est pas l'opposé de la vie mais l'opposé de la naissance. La vie c'est la vie et l'âme n'est pas assujettie à la destruction mais à la libération si la vie qui nous est donnée - et c'est parce que une seule ne suffit pas pour réaliser cet objectif que de nombreuses nous sont données - remplit ce rôle. Reste à savoir ce qu'on en fait...

Savez-vous que près d'un français sur deux préfèrerait l'incinération à l'inhumation! Cela veut dire que les choses évoluent, non? D'ailleurs, c'est plus propre: la terre n'a pas besoin en plus de devoir "digérer" ce qu'elle a supporté les années précédantes...

Le feu néttoie et ne laisse rien et c'est important pour l'intéressé car ces lieux de "pélérinage" ne sont pas toujours de très bon goût pour les disparus qui auraient bien besoin qu'on les "lâche" un peu au lieu de les pleurer et de pleurer sur soi-même en retournant inlassablement au cimetière.

La meilleure attitude que nous puissions exprimer est de laisser partir l'autre qui a quitté ce corps et cette terre afin qu'il puisse poursuivre son évolution. En effet après l'ultime expiration, l'être va faire le synthèse de sa vie terminée, en tirer toutes les leçons et éventuellement se reposer de la fatigue qui résulte de la terrible maladie qui l'a emporté si c'est le cas afin de reconstituer ses forces personnelles en vue de poursuivre son chemin et se préparer à ce que la vie lui a préparé pour la suivante incarnation au vu de ce qu'il aura fait, compris, entrepris pour lui-même et pour les autres et tous les représentants de la vie: le minéral, le végétal, l'animal.

Car n'oublions pas que tout est comptabilisé et pour chacun, c'est la même loi: celle du karma. Alors faire s'arrêter la vie au cimetière est un peu limite et bien des cultures ont dépassé ce point de vue rétrograde et de l'ordre de la relique surtout mentale et angoissée.

Si le défunt, au contraire est encouragé à partir par ceux qui restent, il ira vers la lumière à laquelle il appartient - et nous tous sans exception - afin de se préparer au prochain chapitre de son évolution sans l'enchaînement mental que les survivants peuvent lui imposer de par leurs angoisses existentielles qui les retiennent et entravent leur cheminement naturel.

Si nous voulons apporter une aide au disparu, offrons lui des pensées d'amour au moment où son souvenir nous vient et pas nécessairement sur sa tombe où ne reste que de la poussière minérale.

En plus, c'est sain pour la terre de n'avoir pas à s'occuper de faire se décomposer les corps: cette terre a autre chose à faire. Elle nous donne déjà tant et nous lui prenons tellement tout. On peut penser qu'elle en a bien assez de nous accepter tels que nous sommes: des voleurs, des irrespectueux, des dominateurs, des prédateurs hors pair, des profiteurs, des assasins d'animaux, des impies, des athées sans âme, des egos monstrueux...

Méritons-nous cette belle terre qui nous est offerte tous les jours et qui nous nourrit, nous protège, nous enveloppe de toutes ses générosités...

Non, de grâce, elle n'a pas besoin de ça en plus!

Soyons ecolo jusqu'au bout. Non?

2007-11-01 02:19:50 · answer #10 · answered by regaindegiono 4 · 2 1

fedest.com, questions and answers