langue officielle : français puis il y a
wolof, sérère, peul, mandingue, soninké et diola.
le hassaniya, le balante, le mancagne, le noon, le manjaque
,saafi, baïnouk, badiaranké, ndut, jalonké, bédik, bambara, coniagui, bassari, léhar, palor, bayotte, papel, malinké, khassonké, jaxanke et ramme, le mlomp , le cobiana, etc
2007-10-29 02:14:32
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answer #1
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answered by MamieB suspendue 2 fois !.... 7
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le waloff mais il y en a plein d autre le toucouleur ,le manding ect......
2007-10-29 02:13:28
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answer #2
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answered by Anonymous
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Il me semble que le ouolof est parlé au Sénégal à 80% c'est la langue nationale alors que le français est la langue officielle!
2007-10-29 10:41:19
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answer #3
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answered by NARCISSE42 5
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La langue nationale est le wolof, bien que la langue officielle soit le français.
40% des Sénégalais ont le wolof comme langue maternelle, et les autres savent également le parler (pour la grande majorité), même s'il existe une multitude de langues au Sénégal : peul, sérère, mandingue, etc...
2007-10-29 05:29:08
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answer #4
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answered by El Emigrante 6
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Pour répondre à la question posée il faut savoir qu'au Sénégal il y'à seulement six langues qui sont reconnues comme langues nationales à savoir:
-le wolof(la plus parlée à peu prés 80% de la population la comprenne)
-le peul ou halpoular
-le serere
-le Diola
-le malinké, manding ou socé
-Et le soninké ou sarakholé
2015-04-20 12:05:27
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answer #5
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answered by gassama 1
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en sénégal on parle beaucoup de langues mais la langue officielle est le français en premier lieu.
salut !
2007-10-31 14:04:04
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answer #6
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answered by elcho 5
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la langue national du sénégalais et le français
2007-10-29 06:16:27
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answer #7
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answered by bravo_zolo72 1
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Le wolof est la langue la plus parlée, mais le français est, à ma connaissance, la seule langue officielle, peut-être par souci de "neutralité" linguistique à l'égard de la mosaïque linguistique de ce pays.
2007-10-29 02:20:00
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answer #8
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answered by Ventadorn canta lo gai saber 5
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Langue et identité en situation migratoire : identité ethnique, identité linguistique.
"À chacun son bambara"
1. Introduction
Le plurilinguisme des migrants originaires d'Afrique subsaharienne en France ne peut être abordé dans les mêmes termes que d'autres situations plurilingues. Il présente au moins deux particularités.
D'une part, pour les migrants originaires d'Afrique de l'Ouest dite francophone (Sénégal, Mali, Burkina Faso, Côte d'Ivoire), le français, même s'ils ne le pratiquaient pas individuellement avant leur migration, fait partie de leur capital collectif plurilingue en tant que langue officielle et langue de l'enseignement. Ils ne sont donc pas confrontés dans la migration à une langue totalement étrangère (elle est toujours une langue "possible" pour leurs enfants le jour où ils iraient à l'école...). La migration, pour ces populations, ne fait donc que réorganiser différemment un plurilinguisme qui lui était antérieur. En effet, le plurilinguisme est partout présent en Afrique subsaharienne et ces populations sont habituées à ce genre de réorganisation. A moins de naître, vivre et mourir dans son village (ce qui est, surtout pour les jeunes, de plus en plus rare), un Malien est constamment soumis, en se déplaçant sur son territoire national, à ces réajustements. Mais ces migrants vont être confrontés, en arrivant en France, à une langue dont le statut et la fonction n'a pas d'équivalent dans leur pays d'origine : elle est à la fois langue officielle et langue nationale et, idéologiquement, tous les Français parlent français (alors qu'aucune langue par exemple n'est parlée par tous les Maliens sans exception). De ce fait, la réorganisation du répertoire linguistique de ces migrants va être influencée par cette confrontation.
La migration malienne qui est une des plus importantes en France, met trois langues en présence (sur la dizaine de langues reconnues au Mali comme langues nationales) : le soninké, le peul et le bambara (Galtier, 1990).
Ces langues ont, au Mali, des statuts différents. Le peul et le bambara font partie des quatre langues (avec le peul et le tamacheq) qui ont pénétré dans le système éducatif avec la mise en place de classes expérimentales en langues nationales. Le bambara est la langue la plus parlée au Mali, elle progresse comme langue véhiculaire et elle s'introduit dans les administrations (Dumestre, 1994). Le soninké au Mali est relégué au rang de langue minoritaire.
Langue "périphérique" au Mali, le soninké se retrouve en France la langue la plus parlée du fait de la migration massive des Soninkés (migrations "villageoises"). Elle est la langue la plus utilisée en tant que langue maternelle parmi les travailleurs immigrés en France. Majoritairement utilisée par des locuteurs qui l'ont comme langue première, elle pourra s'imposer, dans certains foyers de travailleurs, à des non-Soninké (Galtier, 1995). Par ailleurs, le soninké est parlé en France par des migrants soninké originaires d'autres pays africains (Sénégal, Mauritanie). Ainsi, le soninké est parlée par environ 50% des migrants (originaires du Mali, du Sénégal et de la Mauritanie) (Galtier, 1994).
Bien que la migration peule (originaire du Mali, mais aussi du Sénégal et de la Guinée) soit la seconde en importance derrière la migration soninké, le peul en France reste une langue grégaire (en ce sens qu'elle n'est parlée que par des Peuls).
Les migrants bambara, par leur nombre, viennent en troisième position. Cependant, la langue bambara, en termes de pratique, vient en seconde position derrière le soninké, à la fois comme langue première et comme langue seconde pour la plupart des autres Maliens immigrés (ce que montre l'enquête de G. Galtier pour les migrants soninké). Ainsi les bambarophones en France sont loin d'être tous bambara.
A ce titre, l'échantillon étudié se révèle assez représentatif : sur treize personnes, neuf ont le bambara comme langue première mais seulement trois se déclarent bambara.
Ces bambarophones l'étaient avant leur migration, mais la place du bambara dans leur répertoire linguistique a pris plus d'importance en France, au détriment souvent de leur langue "ethnique" (sénoufo, minyanka...). C'est le cas pour quatre personnes dont le bambara n'est pas la première langue. Cette particularité du bambara est due au fait qu'elle est une langue véhiculaire (ses fonctions sont donc les mêmes au Mali et en France).
Cependant, il serait trop simple de ne voir dans le bambara en France qu'une simple langue véhiculaire sans enjeux identitaires. En effet, un discours naît dans la migration qui fait du bambara la langue nationale du Mali. Et cette unanimité autour du bambara n'existe pas au Mali (Canut, 1996) mais est un produit de la migration.
Le groupe au sein duquel nous menons nos enquêtes et dont nous allons présenter treize personnes est une communauté sociale, dont tous les membres ont des caractéristiques socio-culturelles communes (les hommes sont arrivés à Marseille dans les années 60-70 à l'âge d'environ 25 ans, la plupart n'avait pas fait d'étude, ils ont le même genre d'histoire migratoire, ils ont vécu une dizaine d'années célibataires en France, les femmes sont arrivées dans les années 80 généralement pour se marier ; à Marseille, ils appartiennent aux mêmes associations, se fréquentent entre eux, se rencontrent dans les cérémonies...). Par ailleurs, ils se distinguent d'autres groupes de migrants d'origine africaine et malienne par leur pratique du bambara en famille. Notre démarche de sociolinguistes vise donc à décrire ce groupe social d'un point de vue linguistique, et nous nous inscrivons tout à fait dans la perspective de L.J. Calvet (Calvet, 1993).
Le propos de notre étude est d'interroger les rapports entre langue et identité en situation migratoire. Il s'agit d'essayer de comprendre, au niveau individuel, dans le cas d'individus plurilingues, comment les différentes langues du répertoire linguistique se partagent le territoire identitaire de l'individu, et de voir quelle réorganisation identitaire entraîne la migration.
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2007-10-29 20:50:39
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answer #9
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answered by mascara de ma jeunesse 3
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le woullofs !=))
2007-10-29 02:11:41
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answer #10
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answered by cocorde1968 :=)) 7
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