MYSTERIEUX NOMBRE 666
DANS L'APOCALYPSE
La «bête aux deux cornes» est une image qui, de tout temps, a fait l'objet d'études et d'interprétations poussées, surtout parce qu'elle est en relation avec le mystérieux nombre 666.
«Puis je vis monter de la terre une autre bête qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon» (13,11).
«C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six» (13,18).
Toutes les tentatives d'explications humaines restèrent infructueuses jusqu'à présent, qu'on ait pris la bête pour une personne donnée, ou bien pour une quelconque puissance spirituelle ou terrestre des siècles passés.
Car la bête à deux cornes (= 2 mots) représente la notion qui sévit sur la Terre entière: le péché! Toutefois, le nom de l'homme qui a le même nombre que la bête nommée le péché est Jean-Baptiste! Le nombre 666 est nommé expressément comme en étant la clé.
Comme tout autre nombre, le nombre 666 porte aussi en lui les contraires les plus marqués. Ainsi, pour le nombre 666, c'est, d'une part le péché au service des ténèbres, cause de tout mal et ennemi de Dieu; c'est lui qui gouverne le monde, qui pousse au mal et persuade sans cesse à nouveau d'adorer la première bête (13,1) qui, elle, personnifie «la souveraineté absolue de l'intellect lié à la Terre». D'autre part, il y a Jean-Baptiste, l'esprit élevé et pur, le serviteur
humble et fidèle de la Lumière, le médiateur béni de cette Révélation divine qu'est l'Apocalypse. En tant que puissant combattant contre le péché, son nom vibre dans le même nombre que ce dernier.
Seule une sage Providence ancrée dans l'Omnisagesse de Dieu a pu exprimer il y a près de 2000 ans, en un langage imagé, ce qui s'accomplit littéralement aujourd'hui dans la langue allemande appelée à cet effet, à savoir dans les mots die Sünde (le péché) et Johannes der Tüufer (Jean-Baptiste). Cette prédiction ne repose sur aucun acte arbitraire. Elle n'a pu être donnée que dans le cadre des lois de la création en prenant en considération la fausse route de sa destinée que l'humanité avait empruntée de son plein gré au moment où l'Apocalypse nous fut transmise.
Ce fut cette même Providence qui, dans Sa Sagesse, donna à certaines époques à des hommes appelés à cet effet, la clé du mystérieux nombre 666, clé qui réside dans les lois des nombres vibrant dans la création.
Mais comment en est-on arrivé à une relation entre les lois des nombres et la langue allemande prévue pour la solution? Dans ce but, les lois des nombres durent donc être pourvues d'enveloppes terrestres dans lesquelles elles puissent s'ancrer: les lettres.
Et, en une lente évolution, à partir des lettres naquirent les mots jusqu'à ce que, en déplaçant l'une ou l'autre de ces mêmes lettres, lors de l'utilisation de la langue, se forment les mots justes qui vibrent dans les lois des nombres. Les prétendues «mutations consonantiques» entre autres, (environ 250 avant et 660 après J.-C.) en donnent une preuve éloquente.
L'ensemble de l'évolution de la langue fut toujours dirigé par une sage conduite spirituelle qui a agi sur l'esprit de l'homme à travers sa «voix intérieure».
L'aptitude de l'être humain à former des mots est contenue dans son esprit en tant que don particulier du Créateur. Cela est valable naturellement pour toutes les langues, et pas seulement pour la langue allemande. Dans la Genèse déjà, il est mentionné que l'être humain a employé le généreux don qui consiste à former des mots et qu'il a donné un nom aux animaux (Genèse 2, 19-20).
Un faible reflet de la Parole vivante de Dieu, qui a donné naissance à la création, réside encore dans la parole humaine. C'est pourquoi la parole humaine est vivante elle aussi; elle a une puissance de déclenchement, bonne ou mauvaise, selon la manière dont l'homme utilise sa liberté de vouloir. Même si ces déclenchements se trouvent encore à proximité de la Terre, ils peuvent cependant, lorsque la langue est mal employée, avoir des conséquences catastrophiques et conduire au déclin de tout un peuple.
Rudolf G. Binding (1867 - 1938) décrit fort bien en ces termes le fait que la langue est vivante:
«La langue est l'image infaillible et complète qui contient automatiquement tous les traits de caractère de chaque peuple. C'est le vrai visage de son être intérieur et la voix de son coeur. Aucune autre expression de son être n'est aussi complète et aussi personnelle. Dans la langue, et même dans chaque mot, l'esprit et le caractère d'une nation sont mis en lumière; ils entrent dans le domaine de l'histoire, ils pénètrent dans l'univers et dans le monde des étoiles. Richesse et pauvreté de l'âme de cette nation, force et faiblesse de son
être, profondeur et hauteur de son envol, chaleur et naïveté de ses sentiments, grandeur et noblesse de ses convictions, immensité et étroitesse de son humanité: tout cela renaît en chaque mot qui vient du tréfonds de l'âme de ce peuple. Aujourd'hui comme jadis, et demain à jamais» (De la puissance du verbe allemand comme expression de la nation).
Cependant, revenons à la langue allemande. Lorsque celleci alla au devant de son perfectionnement, il y eut à un moment donné des êtres appelés qui, sous la délicate insistance de leurs guides lumineux, se sont mis à étudier les nombres et leurs lois.
Ils trouvèrent les lois des nombres grâce auxquelles ils purent dévoiler le secret du nombre 666. Publier ici les lois des nombres nous mènerait trop loin; cela demeure réservé à une époque à venir. Seul sera donné ici le résultat des calculs étant donné qu'on peut supposer qu'il y a un intérêt pour ces choses.
Ce n'est pas sans raison que la langue allemande fut lentement et soigneusement préparée. Beaucoup d'élus y contribuèrent. Martin Luther - dont on a succinctement parlé au sujet de sa créativité linguistique dans le livre de la collection de poche «Le monde tel qu'il pourrait être» - n'était que l'un d'entre eux. Il joua cependant un rôle très important parce qu'il marqua un jalon dans l'évolution de la langue allemande et parce qu'il traduisit l'Apocalypse dans la nouvelle langue allemande de sorte que cette traduction puisse servir de base pour l'ouverture ultérieure des sept sceaux selon les lois des nombres. C'est ainsi par exemple que Luther traduisit correctement Bines Menschen Zahl - le nombre d'un homme - par rapport à d'autres traductions où l'on trouve eine Menschenzahl - c'est-à-dire «un nombre d'homme» ou «un nombre d'hommes». Dans ce dernier cas, il peut être question de nombreux hommes alors que, avec «le nombre d'un homme», il s'agit d'un chiffre déterminé, en l'occurrence celui de Jean-Baptiste.
Le tournant cosmique actuel - qui apporte le Jugement dernier - est l'époque des accomplissements divins et l'un de ces accomplissements est le fait de dévoiler l'Apocalypse, c'est-à-dire l'ouverture des sept sceaux dont fait aussi partie le mystérieux nombre 666.
La concordance de ce nombre avec les mots «le péché» et «Jean-Baptiste» confirme, d'une part, l'exactitude de l'évolution linguistique et, d'autre part, l'insertion correcte des lois des nombres dans la langue. L'incompréhension et le vouloir-mieux-savoir humains n'ont que trop souvent gêné cette évolution ou cherché à l'entraver.
Or, ce sont justement les Allemands qui devraient reconnaître quelle immense grâce réside dans le fait que leur langue ait été choisie comme instrument d'un haut accomplissement. Elle ressemble à une pierre précieuse polie à grand peine, qu'il faut protéger et qui ne doit être ni souillée, ni modifiée dans sa structure, comme cela se fait malheureusement sans cesse, ou comme on essaie de le faire.
A quel point «l'Allemagne» est étroitement liée à ce prodigieux événement cosmique, voilà ce que nous montre la traduction de ce mot selon les lois des nombres. Le mot Deutschland (Allemagne) vibre dans le nombre 666, ce qui signifie la puissance! Et combien, en Allemagne précisément, on abusa de cette puissance et on pécha contre cette
puissance, au lieu de l'employer pour établir un royaume de paix tel qu'il est voulu de Dieu!
Le secret du nombre 666 se dévoile donc à nous dans le 13ème chapitre de l'Apocalypse qui nous fut donné par Jean, dit «le Baptiste». Qui d'autre, en effet, aurait pu le faire si ce n'est cet éminent appelé à qui il fut donné de baptiser sur cette Terre le Fils de Dieu Jésus!
C'est avec de «simples» nombres que nous pouvons faire l'expérience des merveilleuses Lois que la Volonté de Dieu a placées dans Sa création. Nous voyons aussi combien une haute direction spirituelle remplie d'amour conduit à l'accomplissement, après des millénaires, tout ce que l'Omnisagesse de Dieu a prévu.
Dans le domaine des nombres, tout cela peut même être saisi par l'intellect car: «Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête, car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six» (13,18).
2007-10-30 06:47:57
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answer #1
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answered by réalité 4
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