Juan Jose Padilla est sans nul doute, le toreo le plus incompétent, le plus illusoire, le plus tricheur et le moins scrupuleux de tous les toreros que j'ai vu ces dix dernières années. Son premier défaut, il toréé le toro en faisant croire au public qu'il prend des risques. Il est vulgaire. Son style est standard, il toréé à genoux, prét des cornes, il etouffe ses toros, et ne daigne rien faire aux toros qui ne lui permettront pas de faire ses tours de passes passes. A Istres il a complétement gaché un toro noble de candido GARCIA, alors qu'en prenant la distance le toro passait bien. A Céret il a toréé un toro exclusivement sur la corne cassée. Il n'assume pas son rôle de chef de lidia, à NIMES pentecôte 2006, il a passé la tarde dans l'infirmerie.Quand il banderille, il fait bcp d'effet de style, mais pose les banderilles à cornés passées, jamais dans le berçeaux des cornes. A Arles il s'est déshonoré dans la corrida concour, iincapable de mettre en valeur ses toros. C'est un zéro!
2007-10-26
01:39:40
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9 réponses
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demandé par
Anonymous
dans
Societé et culture
➔ Corrida
chronique d'une mort annoncée. c'est une question posée rien que pour vous dans la catégorie: animaux divers!
2007-10-26 10:03:50
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answer #1
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answered by ♥LOU ★✿futilités trop bien avant 6
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ola
valeureux évidement
il ne fait pas partis de ces matadors de toros touchés par la grace divine c'est évident
mais bon c'est comme cela aussi que l'on peut apprécier la qualité rare des grands maestros qui seuls laissent une trace dans l'Histoire.
Juan José Padilla Bernal, né le 23 mai 1973 à Jerez de la Frontera (Espagne, province de Cadix), est un matador espagnol.
Avant de se lancer dans l’arène, Juan José Padilla a exercé la profession d’apprenti boulanger. Parallèlement, il s’est fait apprenti matador en suivant les cours de l’école taurine de Cadix et fait ses débuts en 1989.
Les débuts ont été particulièrement durs, l’ancien boulanger ne trouvant que difficilement des engagements. Mais il est aujourd’hui l’un des piliers de toutes les ferias, surtout dans les corridas « dures », où son courage, son toreo spectaculaire, son entrain, son personnage, enflamment les gradins. Un de ses points forts est la pose des banderilles qu’il pose régulièrement al violÃn. Il pratique également très souvent les passes de capote a porta gayola. Si la muleta n’est pas son fort, lors de l’estocade, son habileté et son courage lui permettent des mises à mort quasi-parfaites.
Le personnage en lui-même est tout un spectacle : ses « rouflaquettes », ses cheveux toujours en bataille le font se démarquer des autres matadors autant que ses habits de lumières semblant sortis tout droit du XIXème siècle, le plus souvent de couleurs criardes et jurant entre elles, ou que les monteras qu’il a utilisées en 2006, elles aussi semblant empruntées à Paquiro.
2007-10-27 03:55:43
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answer #2
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answered by freya87fr 6
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pas d'accord du tout. je l'ai vu excellentissime. mais il est irrégulier. et surtout est beaucoup moins spectaculaire qu'avant. et comme ce n'est pas le meilleur, ses défauts sont plus visibles.
mais je te donne très raison sur un truc, à Arles cette année il était nullissime. il est vrai aussi que ces toros étaient une franche cata. en revanche à Nimes, il était pas mal devant les Muria mais il s'est assagi avec le temps.
en tous les cas j'aime bien aller le voir, mais il a intérêt à faire que mieux qu'en 2007 s'il veut me conserver dans ses fans :-))
2007-10-27 05:32:42
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answer #3
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answered by Ploum 7
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pas de doute la dessus mais il y a different courages:celui qui se voit et celui qui se cache derriere des passes sublimes.lui c'est le tremendiste et c'est tout .alors qu'un excellent torero doit non seulement etre courageux mais aussi savoir toreer c'est le cas d'un Juli dont le courage est invisible ou celui d'un Castella chez qui il n'existe plus que la muleta et les cornes du toro.
desolee si c'est le torero que je remet tout le temps sur le plateaux mais je suis tellement folle de son toreo
2007-10-29 07:56:32
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answer #4
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answered by Isabel castellista.! 4
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Je suis d'accord avec toi jusqu'a un certain point.
C'est vrai que le toreo de Padilla est vulgaire, bûcheron, trémendiste, tout ce que tu voudras, mais il faut quand avoir du courage pour tuer les corridas qu'il se farçit toujours: Victorinos, Miura, Yonnet, Dolores Aguirre j'en passe et des pires!
2007-10-26 15:40:30
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answer #5
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answered by Anonymous
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"il toréé le toro en faisant croire au public qu'il prend des risques."
Tu ne viens pas de décrire tous les toreros, là?
Go vegan!
2007-10-26 11:03:18
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answer #6
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answered by Vegan Kitty 6
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Il est clair que sa garde robe est à vomir. La réponse de jeanmi est la même que certains nîmois m'ont faites en septembre, lors de la féria des vendanges.
2007-10-26 09:45:16
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answer #7
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answered by ? 3
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and me§?
2007-10-26 09:36:25
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answer #8
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answered by Ghost-iN Naver Yahoo ! 2
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Courageux : oui
Bon torero : non
Courageux oui, parce que même si ce n'est pas à chaque tarde, il prend parfois des risques énormes/
2 exemples : (l'u à la TV, l'autre vu en réel)
A Seville cette année, larga de rodillas face au toril à la sorti du toro. Il s'est fait prendre d'une manière trés spectaculaire. Mais plus de peur que de mal.
A Pampelune, il y'a 3 ans : Il est pris affreusement, la gorge tranchée ! Il est resté entre la vie et la mort.Les médecins lui diront : tauromachie finie. 6 semaines après il se prenait 6 Miuras à Bilbao, seul et devant le public de Bilbao qui est torista plus que torerista.
Bon torero non : C'est un trémendiste qui torée plus le public, que le toro. Aucune suavité dans sa tauromachie; faenas non construites. Il privilégie le spectaculaire à l'art.
Et ça se retrouve même dans ses costumes (douteux comme goût) et sa montera à l'ancienne.
Quant aux banderilles, il n'apporte rien, sinon cette mode de planter "al violin" que l'on ne voyait pas trop.
Voilà mon opinion sur un torero courageux, mais que je n'aime pas
2007-10-26 09:03:27
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answer #9
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answered by Jeanmi64 6
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