( Phrase de Victor Hugo)
2007-10-25
18:28:44
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12 réponses
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demandé par
x
7
dans
Arts et sciences humaines
➔ Philosophie
Oh *eoredd* ! Tu trouves Hugo "creux" !!!???!!
2007-10-25
19:34:27 ·
update #1
J'espère qu'on va decoller bientôt ? :-)))
2007-10-25
19:36:04 ·
update #2
*odette* super la citation! Bonjour! et à toi *bijou*, toujours presente..
2007-10-25
21:12:10 ·
update #3
*odette* super la citation! Bonjour! et à toi *bijou*, toujours presente..
2007-10-25
21:12:43 ·
update #4
*yves* bravo! tu as vu l'aspect sémantique..mais je ne suis pas sûre que ce soit ce que Hugo voulait dire??
2007-10-26
18:30:16 ·
update #5
*Phil M * Hugo avant garde de l'existentialisme ? HUm..
2007-10-26
18:32:27 ·
update #6
Ce n'est jamais évident de considérer les choses ainsi, en réalité. Car ceux qui vivent sont ceux qui luttent et qui ont remporté cette lutte, sans quoi on est tenté de dire que celui qui n'a pas vécu n'a pas lutté (alors qu'il a peut-être lutté, mais il a simplement perdu). En réalité, donc, il semble que ceux qui vivent sont ceux qui ont gagné, et ils meurent le jour où ils finissent par perdre... car personne n'est jamais assez fort pour vaincre toujours. Ceux qui vivent sont donc ceux qui sont forts (cela veut dire: libres, indépendants, autonomes, forts moralement).
Mais cette citation cache autre chose: c'est qu'on ne peut dire d'une personne qu'elle a vraiment vécu que si elle a combattu. Qu'elle perde ou qu'elle gagne, peu importe au fond. Une vie se mesure non à l'aûne de ses victoires, mais à la mesure de son combat. Quoi qu'il fasse, quoi qu'il devienne, l'home n'aura réeellement vécu que s'il a osé combattre, que s'il a fait preuve de courage, que s'il n'a jamais renoncé et vaincu ses propres faiblesses, c'est-à-dire ses propres penchants à renoncer et à sombrer dans une douce indolence qui fait de lui quelque chose de semblable à un mouton, mais pas à un homme.
En clair, ceux qui vivent sont ceux qui ne renoncent ni à vivre ni à combattre. Et je suis assez d'accord avec Hugo sur ce point.
2007-10-27 22:38:30
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answer #1
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answered by Gally Léo 5
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Ben, heu...Un lion mort ne peut guère lutter ....
(Bon, elle est facile, je sors !)
2007-10-26 02:14:17
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answer #2
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answered by Yves Z 4
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la vie est une lutte perpétuelle!........le combat pour vivre est quotidien, même, pour certains.......ceux qui se laissent aller ne sont plus des vivants, au sens profond du terme.......ils sont, mais ne sont rien!
2007-10-25 19:50:13
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answer #3
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answered by Eurydice 7
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Ce que j'en pense ..
Comme disait Brel la vie ne ressemble pas toujours à une valse à quatre temps.
Que parfois le genou posé sur le tapis de la comédie, prêt à ruer dans la vie, j'attends que la foudre exiguë verse son flot d'amertume.
Que mes pores sont ouverts à la douleur d'où s'évade la chaleur dominante du cœur.
Que je suis entouré d'une mer agitée dont les flots excitent ce frisson d'émotion qu'il m'est impossible de livrer.
Enfin, que les coups portés m'ont renforcé, indestructible, je lutte, je vis, et parfois j'étouffe avec cette force inespérée
2007-10-26 11:38:17
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answer #4
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answered by Candide 2
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Est-ce la lutte finale ou la finalité ?
Préservons cette finitude mais pour cela il faut lutter ...
2007-10-25 22:11:18
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answer #5
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answered by grdbleu 4
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* Balzac:"Les lois sont des toiles d'araignées à travers lesquelles passent les grosses mouches et où restent les petites"!
c'est la lutte.............
il avait raison bien respirer est une lutte en soi déjà !! lol
2007-10-25 20:13:52
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answer #6
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answered by ? 7
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C est une maniere de donner le courage pour ceux qui luttent...Ils sont dipressés, fatigués(...) alors il faut les donner le souffle.
2007-10-25 19:47:35
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answer #7
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answered by sui la petit r 4
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c'est un vieux motto existentialiste, c'est ce que developpaient Sartre et Camus, l'homme n'est que par ses actes, cela n'est pas faux, la lutte est prise comme element demonstratif d'une prise de décision amenant l'homme a se positionner par rapport aux autres et donc montrer son existence.
2007-10-25 18:46:00
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answer #8
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answered by Phil M 6
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ceux qui meurent sont ceux qui chutent
2007-10-25 18:37:40
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answer #9
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answered by Anonymous
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C'est réducteur.
C'est sans doute vrai dans le contexte dans lequel l'a écrit Victor Hugo, mais retiré de son contexte, la phrase signifie aussi, que seuls vivent ceux qui luttent. Or rien n'est plus faux.
On peut tout aussi bien vivre, et non pas nécessairement comme un légume... sans lutter pour autant.
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2007-10-25 18:35:23
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answer #10
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answered by Birman 7
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