Je baille au Corneille et lui emprunte un acrostiche que je dédie à ceux....?

Question

S'attacher au combat contre un autre soi-même
Attaquer au parti qui prend pour défenseur
Le frère d'une femme et l'amant d'une sœur,
Et, rompant tous ces nœuds, s'armer pour la patrie,

Contre un sang qu'on voudrait racheter de sa vie,
Une telle vertu n'appartenait qu'à nous
L'éclat de son grand nom lui fait peu de jaloux

que je dédie à ceux qui comme l'abruti de Troll se répandent ici.

et un pouce en haut pour les jolis mots de sha..beau, n'est-il pas?

Answer 1

Acrostiche cebriacien sur la nécessité de coller des abus.


Quand reparaît encore, après une courte absence,
Un troll patibulaire qu’on croyait disparu,
Ils recherchent l’esquive sans perdre la décence,
Les Q/ristes agacés, qui parfois n’en peuvent plus,

En se disant tout haut, que mettre des pouces en bas
Serait bien suffisant, dans la plupart des K
Tout en pensant quand même, qu’un bon coup d’pied au Q…

Car pour malin qu’il soit, que faire contre un abus ?
On le verrait alors, fuyant comme une vipère,
Nullité pathétique, présentant son derrière !!!
;

Answer 2

Dites, vraiment, on ne pourrait pas bloquer la moufette ?

A part ça, vous m'épatez tous les deux, continuez, je reste au premier rang et j'applaudis...

Answer 3

Que serait-ce si elle n'était pas constipée cette moufette !

Answer 4

Pour s'amuser :
« Je suis romaine hélas , puisque mon époux l'est »

Toujours de Corneille, dans Horace.

Romaine hélas (Ménélas)
mon époux l'est (poulet)

(modifié plus tard par Corneille en :
« Je suis Romaine, hélas ! puisque Horace est Romain; ».
C'est un kakemphaton (ou calembour). Appris ceci dans mes jeunes années d'études.