English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

?
Information trés détaillée dans un rapport de la B.N.D., service de renseignement allemand,au sujet de Marti Athisaari,ex-président finlandais,chargé par l'ONU des négociations albano-serbes sur le futur statut du Kosovo...
Sachant que la politique kosovare est étroitement liée au grand banditisme international ,rien de trés étonnant !

2007-10-05 03:46:59 · 5 réponses · demandé par Anonymous dans Politique et gouvernement Politique et gouvernement - Divers

VOIR LE SITE BALKANS-INFOS

2007-10-05 04:02:45 · update #1

5 réponses

ça m'intéresse. Tu as un site à nous proposer pour lire cette info? Si c'est vrai, ce serait proprement scandaleux et j'espère que l'ONU prendra ses responsabilités vis à vis de cet envoyé spécial vraiment très "spécial".
XXXXXXXXXXXXXXXXXX
Je n'ai pas trouvé l'info. En revanche, j'ai appris que le nom de MARTTI AHTISAARI avait été retenu plusieurs fois pour lui remettre le prix Nobel de la paix!!
Quant à son rapport sur le Kosovo qui conclut à une indépendance "de facto" du Kosovo, on peut se demander s'il n'a pas choisi la facilité.
Je ne suis ni pro-serbe, ni pro-albanais, mais je trouve un peu fort qu'il suffit qu'une majorité etnique demande l'indépendance d'une province qui est partie intégrante d'un pays souverain, pour que la communauté internationale approuve!!! Que fait-on des serbes qui sont très attachés à cette province, des monastères orthodoxes qui font partie du patrimoine serbe, de leur Histoire (bataille de Kosovo Polje)??? J'espère qu'à l'ONU les Russes pourront faire contrepoids vis à vis de Washington qui comme d'habitude (on l'a vu en Bosnie) prend fait et cause CONTRE les Serbes!

2007-10-05 03:58:21 · answer #1 · answered by annie 7 · 1 0

Eh bien il faut qu'il les rende!

2007-10-05 10:54:10 · answer #2 · answered by frenchbaldman 7 · 1 0

Mon Colonel,

Cela demande à être vérifié, et je vais le faire.

Quoi qu'il en soit, cela ne me surprendrait qu'à moitié.

J'ai souvenance d'un autre envoyé spécial en Bosnie (japonais), dont nous tairons pudiquement le nom, qui décorait son bureau de Sarajevo d'oeuvres d'art relativement onéreuses.

Ce qui est surprenant par contre, c'est que la source soit le Bundes Narichten Dienst, qui habituellement prend fait et cause pour les albanais. (En 47, les derniers maquis à déposer les armes dans la région étaient albanais et bulgares,et ils étaient du côté des cousins d'outre Rhin).

De la même manière, dire que les albanais sont du côté du banditisme international est un peu abusif.

Je ne dis pas qu'ils soient meilleurs ou pires que les autres peuples de la même région, j'affirme qu'ils sont différents et que certains raccourcis sont trop faciles.

Je les connais bien, je suis arrivé sur zone en 97, après l'ouverture des charniers sur Vukovar. Je parle, j'écris et je lis albanais (serbe et croate aussi).

Je vais vous raconter une anecdote concernant la vision que l'on peut en avoir, et la méfiance dont il faut faire preuve vis à vis des sources.

Un de mes chefs parisiens me confie alors que j'étais sur zone, le dossier des "pièces détachées humaines". En clair, les trafics d'organes, en me demandant de "fouiller" du côté albanais.

Une MRT rapide amène immédiatement la question suivante:
quels sont, objectivement, les intrants et moyens à mettre en oeuvre pour qu'un tel trafic soit réalisable?

1. Du matériel humain.
Jusque là, ça va. Entre les roms, les roumains, les bulgares, les réfugiés de tout poils et les populations fragilisées, de ce que j'en voyais, il n'était pas bien difficile de mettre la main sur quelques "échantillons".
2. Un marché.
Là, il existe, et nous savons tous ou il se trouve. Ce n'est certainement pas les pays du sud qui se portent acquéreurs de ce genre de marchandises.
3. Des unités de démontage.
Là, l'affaire se complique. De deux chose l'une. Soit les organes sont prélevés sur le lieu de transplantation, c'est à dire en Europe de l'Ouest ou aux EU, soit ils le sont sur le lieu de capture des échantillons. Le premier cas n'est même pas envisageable, n'est ce pas?
Donc nous partons du postulat qu'il le sont sur le lieu de capture. Et là, j'ai fouillé, et refouillé. Toute la montagne albanaise, en Albanie, au Monténégro, au Kosovo, en Macédoine, partout ou étaient installés et vivaient des albanais.
Et il y a deux choses que je n'ai jamais trouvé. Les cliniques ou les hopitaux, et des médecins ou des chirurgiens albanais.
Pour l'Albanie, c'était facile à comprendre, la folie du père Enver avait poussé les intellectuels vers le goulag ou vers la fosse, et l'hopital de Tirana ressemblait plus à une boucherie qu'à un hopital.
Pour la Macédoine, le Kosovo et le Monénégro, les slaves ne donnaient aucun accès à l'éducation ( Université illégale de Tetovo_ absence de toute profession intellectuelle à l'entrée au Kosovo en 98 - incapacité pour les albanais à faire fonctionner les centrales électriques ou même à se servir des camions poubelles ).
Donc pas de cliniques ni de chirurgiens sur les terres albanaises. Ca commence à devenir gênant.
4. Des moyens de transport
Parce que, si on suppose que le prélevement des organes s'effectue sur zone, il faut pouvoir les transporter rapidement à destination. Donc des aéroports, des avions, des hélicoptères et une logistique spécialisée. Vous voyez le problème. Il n'y en a pas. Tous les aéroports sont sous contrôle slave, sauf celui de Tirana.

Que croyez vous que m'ait dit mon chef losque je lui ai remis ma fiche? (Je ne le savais pas si grossier!!!).

Un de mes amis, grand reporter avec lequel j'échangeais quelques infos, a poursuivi. Un vrai chien limier, et il a trouvé. Mais c'est une autre histoire.

Une autre anecdote, pour bien vous montrer qu'il faut avant tout se mefier de soit même lors d'une telle analyse.

Dans les années 70, la Yougoslavie de Tito fait l'objet d'une attention particulière de la part de notre EM. On décide donc d'orienter les officiers de la branche RI dans l'acquisition de connaissances de cette zone.

Très bien, et louable. La France décide donc de multiplier les échanges linguistiques avec les camarades yougoslaves.

Or, à cette époque, l'éthnie "dominante" est la Serbie et l'ossature de l'armée yougoslave est constituée d'officiers serbes.

Voici donc nos petits lieutenants partis à la découvrte du monde yougoslave, du monde serbe devrait-on dire. Et lorsque la guerre éclate 20 ans plus tard, nos petits lieutenants sont colonels, voir généraux pour les premiers de la classe.

Avec un background serbe et non pas yougoslave. Ca fait quand même une petite différence dans l'impartialité de l'analyse du renseignement.
Et que dire de nos centres d'écoute, armés par des gens qui écoutent les réseaux des belligérants d'une oreille et CECA (l'épouse d'Arkan) de l'autre?

Dans ce cas, il fallait tout reprendre à zéro et tout apprendre. Mais surtout garder son libre arbitre et se méfier de son propre conditionnement.

Pour en revenir à nos petits albanais, il faut commencer par lire le Kanun ( Kanunit i leke Dukadjinit), apprendre ce qu'est l'albanéité, vivre avec eux, les sentir jusqu'à penser albanais et en albanais!

Et très rapidement on prend toute la mesure de ce phénomène que sont les clans albanais au coeur de l'Europe.

Des structures sociétales archaïques, du Périclès et du code d'Ammourabi dans le texte, la vengence privée, le poids des femmes dans la transmission du sang. En plein 21è siècle. Toute une société sclérosée, figée dans un passé depuis longtemps oublié. Un bijou, une merveille. A consommer sans aucune modération, avec une exquise gourmandise.

Et aucune structure étatique n'a encore perverti les structures claniques.

Et c'est pour cette raison que ces peuples resteront sur le marchepied de l'Europe. Tant que Mac Donald et Coca Cola n'auront pas fait leurs ravages.

Et c'est pour cela que les Kosovars sont à côté de la plaque. Indépendants de la Serbie, il resteront au ban de l'Europe qui assure sa continuité territoriale jusqu'à la Grèce sans avoir besoin de se préoccuper des albanais.

L'indépendance du Kosovo n'est pas du fait de la volonté des albanais, elle naît du refus de l'Europe d'en assumer les coûts.

Quant aux "mafias" albanaises, c'est de l'ordre du mythe. Ce n'est pas les quatre paquets de cigarettes, les trois kalashnikovs ou les deux filles qui tapinent à San Paoli à Hambourg (et qui gènent les allemands parce qu'elles ne paient pas la patente!!!) qui vont démolir l'Europe.

Entre le hashish qui arrive à la tonne du Maroc, la cocaïne de Colombie qui finance les Farc et l'opium d'Afhanistan qui finance les Talibans, les albanais à côté sont des enfants de coeur.

Et je les trouve même naïfs; peut être la naïveté de la pureté des origines.

2007-10-05 14:16:40 · answer #3 · answered by Anonymous · 0 0

répugnant mais pas surprenant du tout.

tu as le lien SVP??

2007-10-05 11:08:11 · answer #4 · answered by Ploum 7 · 0 0

A quoi serbe de dénoncer ça ?

2007-10-05 11:03:08 · answer #5 · answered by Poulbot 7 · 1 1

fedest.com, questions and answers