Ce n’est pas qu’une question d’argent : il ne voulait pas toréer dans les petites arènes, et il y toréait. Par ailleurs, il affrontait souvent des toros que personne dans son entourage n’avait été voir avant. Pour les arènes, c’est la faute de Luis Alvarez, qui le faisait engager dans des pueblos à moindre coût. Pour les toros, c’est celle de Campuzano, impuissant devant le contrôle brutal qu’exercent une poignée d’impresarios sur les élevages. Parfois, il choisissait des toros qui, à l’heure d’embarquer, avaient disparus (dans son entourage proche, on raconte même que soixante dix pour cent des toros choisis pour Castella ont été « détournés » au profit d’un jeune torero dont nous tairons le nom car il n’a rien à voir dans cette guerre).
2007-09-29
06:42:17
·
8 réponses
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demandé par
skeba33
4
dans
Societé et culture
➔ Corrida
Ce n’est pas qu’une question d’argent : il ne voulait pas toréer dans les petites arènes, et il y toréait. Par ailleurs, il affrontait souvent des toros que personne dans son entourage n’avait été voir avant. Pour les arènes, c’est la faute de Luis Alvarez, qui le faisait engager dans des pueblos à moindre coût. Pour les toros, c’est celle de Campuzano, impuissant devant le contrôle brutal qu’exercent une poignée d’impresarios sur les élevages. Parfois, il choisissait des toros qui, à l’heure d’embarquer, avaient disparus (dans son entourage proche, on raconte même que soixante dix pour cent des toros choisis pour Castella ont été « détournés » au profit d’un jeune torero dont nous tairons le nom car il n’a rien à voir dans cette guerre). source : france3 aquitaine tercios , journal de bord de jm mariou
2007-09-29
06:43:07 ·
update #1
source : france3 aquitaine tercios , journal de bord de jm mariou
2007-09-29
06:43:23 ·
update #2