sur ses actes.
ceci est un acte, pas une intention.
Petit coup de pouce d'un mec qui a eu 14 au bac de philo (section littéraire) en terminant son devoir au bout de deux heures au lieu des quatres dont tu disposeras à l'instant suprême: l'audace est TRES apprécié par les correcteurs (et au contraire, le consensus et le lieu commun te feront perdre des points).
La première chose à faire est de donner une définition sage (philosophie = amour de la sagesse) des termes donnés dans la question. en l'occurence: JUGER. Evite de donner une définition des concepts INTENTION et ACTE dans l'introduction (c'est le morceau de bravoure, l'intro de la disserte, parce que c'est la première chose que le correcteur va lire -mais il y a des correcteurs qui commencent par la conclusion, attention).
Soigne ton intro parce que c'est elle qui va "imprégner" ton cerveau et te plonger dans l'état d'esprit qu'il te faudra garder jusqu'à la fin de la disserte. Voici un exemple d'intro:
On peut juger un homme pour de multiples raisons. C'est même dans la nature de l'homme de juger. Mais il est essentiel de savoir QUOI juger et COMMENT juger; il nous faut ajuster notre propre pensée à celle de celui que l'on jugera si l'on veut procéder avec rigueur.
[ça, c'est l'intro de l'intro, ok? continuons]
... rigueur. Nous observerons dans notre exposé comment une intention (précédé d'une opération de type émotive) amène à un acte (précédé d'une opération de type volontariste), afin de décider si c'est l'intuition, ou l'action, qui définit l'individu.
[Implicitement, dans cette intro, tu as défini les concepts d'acte et d'intention].
Dans le développement, avec une intro de ce type, tu devras mettre l'accent sur la continuité entre l'intention et l'acte.
Dans la conclusion, tu devras expliquer que c'est lorsque l'intention est suivie de l'acte que l'homme est proche (de l'idéal philosophique) : la vérité. Et que si une intention n'est pas suivie d'une acte, le sujet de ces affects est en proie à la versatilité, et donc, on peut le juger négativement. Ta conclusion doit ouvrir sur une nouvelle réflexion. Par exemple:
Si c'est bien sur ses actes qu'on peut juger quelqu'un [mon avis personnel], qui jugera celui qui juge? Peut-on s'autoriser à penser qu'une entité divine détient l'ultime capacité de jugement, ou est-ce l'homme qui, par sa capacité de juger, s'approche du divin ?
Désolé de répondre aussi tard, je suppose que tu n'as plus beaucoup de temps pour finir ta dissert. Tu peux me contacter par email si tu veux un peu plus d'aide.
2007-09-27 00:45:56
·
answer #1
·
answered by damien l 2
·
1⤊
0⤋
@ amos : Exact, mais uniquement au niveau judiciaire. Pas en philosophie.
L'historien Θουκυδίδης (Histoire de la guerre du Péloponnèse), les philosophes Σωκράτης et son disciple Πλάτων (La République et Le Banquet), disent qu'à l'acte on connaît l'intention, mais qu'à une intention, on ne peut deviner l'acte.
2007-09-27 01:09:18
·
answer #2
·
answered by Raminagrobis- Γνῶθι σεαυτόν 7
·
2⤊
0⤋
L'enfer étant pavé de bonnes intentions, seuls les actes comptent!
2007-09-27 02:04:26
·
answer #3
·
answered by Eurydice 7
·
1⤊
0⤋
Sur ses actes!!!
En effet, il est difficile de déterminer les vrais intentions d'une personne (c'est comme la pensée... personne ne peut savoir ce que l'on pense...).
D'ailleurs si on veut juger une personne c'est qu'il y a eu des conséquences négatives: des actes peuvent entrainer ce genre de conséquences alors que de simple intentions ne provoquent rien si elles ne sont pas transformées en actes.
Voilou! Bon courage!
2007-09-27 00:49:31
·
answer #4
·
answered by Anonymous
·
1⤊
0⤋
Sur ses actes évidemment. Clin d'oeil au passage à Sarkozy...
2007-09-27 00:46:25
·
answer #5
·
answered by odesch 7
·
2⤊
1⤋
Salut, L'acte top sur l. a. raison. Mais il significant de comprendre l. a. raison vehicle cela peut changer notre jugement. Le pourquoi vient souvent après le jugement de l'acte vehicle les gens n'aime pas chercher des faits abstrait ou il est difficile de juger des faits abstraits. Bonne soirée
2017-01-02 18:11:57
·
answer #6
·
answered by ? 4
·
0⤊
0⤋
On m'a dit un jour que le "faire" et le révélateur de "l'être".
2007-09-30 22:33:42
·
answer #7
·
answered by ze_flo 1
·
0⤊
0⤋
On introduit souvent une différence entre ce que l’homme est intérieurement et ses actes. Cette distinction n’a aucune vérité dans l’histoire. L’homme s’identifie à la série de ses actes. On s’imagine que l’intention peut être excellente même si les actes ne valent rien. Certes, il peut arriver dans certains cas que l’homme dissimule ses intentions, mais c’est là une situation à part. La vérité oblige à dire que l’extérieur ne saurait se différencier de l’intérieur. C’est surtout dans l’histoire qu’il faut écarter les subtilités concernant des distinctions momentanées. Les peuples valent ce que valent leurs actes. Et leurs actes traduisent leurs buts.
2007-09-27 00:59:19
·
answer #8
·
answered by ? 7
·
1⤊
1⤋
L'intention vaut l'acte. A prendre en compte dans ton argumentaire.
2007-09-27 00:42:49
·
answer #9
·
answered by Romancero 5
·
1⤊
1⤋
dans la vie en générale, sur ses actes bien sûr !!!
une intention ne se calcule pas , parfois ca peut être des pulsions, des rêves, ca vient de l'éducation aussi
par contre au niveau juridique cela peut etre condamner mais moi que l'acte : par ex l'intention criminelle peut etre juger et condamner mais est moins sanctionner que si l'acte avait eu lieu..
2007-09-27 00:42:20
·
answer #10
·
answered by kurtisalive 5
·
1⤊
1⤋