2007-09-24
12:01:48
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17 réponses
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demandé par
x
7
dans
Arts et sciences humaines
➔ Philosophie
NB:definition !
antithèse (n. fém.)
(le contraire, l'opposé)
2007-09-25
04:01:18 ·
update #1
Bonjour à toi *phil* !
Merci pour l'exercice de maths sup!
2007-09-25
04:01:57 ·
update #2
*lucifer* pourrais-tu developper stp? Avec un pseudo comme le tien. tu dois avoir quelques idees! :-)
2007-09-25
04:03:02 ·
update #3
*benedictus* tu me prends pour un homme?? !!
2007-09-26
03:47:21 ·
update #4
sans faire une opposition thèse-antithèse, en restant dans l'esprit de la question , ma réponse serait l'acceptation de la souffrance. Souffrir c'est ressentir, ressentir c'est vivre, vivre c'est aimer, aimer c'est souffrir. Accepter le risque de souffrir m'amène aujourd'hui à vivre plus pleinement . Je ne cherche donc pas non plus d'antidote à la souffrance car elle n'est pas qu'un mal.
Reste l'option B : 2 paracéthamol dans un verre d'eau .
2007-09-25 01:55:16
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answer #1
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answered by jeu_idiot 2
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bonjour
Je pense que l'antithése de la souffrance ne peut
être que : la béatitude.
nadjet
2007-09-26 06:38:43
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answer #2
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answered by Qurunful' 2
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La souffrance n'est pas naturelle, c'est une création.... des pensées encore des pensées et toujours des pensées...
L'antithèse ou opposé de la souffrance serait la méditation... Une méditation sans forme, au-delà des pensées, des sentiments qui permette de se retrouver dans la véritable nature de notre esprit... Cette nature est calme, joyeuse et loin des remous d'un ego sans cesse en quete de quelque chose... Cela n'est impossible que pour ceux qui n'essayent pas et puis parfois on est accro. à la souffrance, on a l'impression fausse que si on souffre pas c'est qu'on n'est pas vivant... Un peu comme ceux qui prétendent que si on n'est pas jaloux c'est qu'on n'aime pas... Toutes ces banalités à force d'etre répétées finissent pas devenir des vérités (de carton pate à mon avis, mais bon)...
Volare ooooo
Cantare oooo.....
2007-09-25 04:21:18
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answer #3
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answered by Anonymous
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Bonjour herculine
Je découvre qu’il existe une thèse de la souffrance puisque tu sembles penser qu’il en existe une antithèse, mais ai-je le droit de définir la matière à partir de l’antimatière?? Ma réponse sera donc être limité par mon manque de compétences dans ce domaine.
Certains disent que la souffrance ne serait que la création de nos mécanismes mentaux et qu’il suffirait de pratiquer l’exercice de la vacuité pour la maîtriser, d’autres pensent que cela fait partie de l’existence et que l’accepter c’est ne plus souffrir…
La souffrance ne serait elle pas interprétable comme un capteur de nos sensations et sentiments ? Alors pourquoi sans passer, autant l’utiliser pour la canaliser (après en avoir déterminé les causes) dans un mécanisme positif de résolution…
J’ai bien peur que cette explication ne souffre d’une grande clarté, je vais donc abréger là vos souffrances.
Un petit indice de math sup 6+5+12+1+19+19+9+15+14 très efficace...
Bisous et bonne journée
2007-09-25 03:57:57
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answer #4
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answered by philippides 4
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Euh... le bien être .
Si on suppose que la thèse est souffrance, l'antithèse sera le bien être et la synthèse s'appellerait... la vie!
2007-09-24 21:11:36
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answer #5
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answered by ? 2
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La jouissance !!!!
2007-09-24 19:14:07
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answer #6
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answered by KARGANE le guerrier 5
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l'absence de sentiment et de douleur. Et par ricochet je te renvois au film de Marina Van : Dans ma peau qui traite justement de l'un de ces être qui détruit sont corps parce qu'il ne ressent pas la douleur/
Il est étrange de voir l'importance que revet la douleur justement quand elle n'existe plus.
2007-09-24 19:13:19
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answer #7
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answered by Hades et Persephone 7
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l'orgasme.......
2007-09-25 00:21:29
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answer #8
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answered by Eurydice 7
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L'indifférence.
2007-09-24 22:37:45
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answer #9
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answered by Michael L 2
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Crois, pleure, abîme-toi dans l'insondable amour!
Quiconque est bon voit clair dans l'obscur carrefour;
Quiconque est bon habite un coin du ciel. O sage,
La bonté, qui du monde éclaire le visage,
La bonté, ce regard du matin ingénu,
La bonté, pur rayon qui chauffe l'Inconnu,
Instinct qui dans la nuit et dans la souffrance aime,
Est le trait d'union ineffable et suprême
Qui joint, dans l'ombre, hélas! si lugubre souvent,
Le grand ignorant, l'âne, à Dieu, le grand savant.
2007-09-24 21:10:27
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answer #10
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answered by ? 7
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