La religion et la culpabilité ?

Answer 1

La culpabilité éloigne de Dieu, la demande de pardon en rapproche.

@Espect... Non, Dieu est Amour. La recherche du bien n'est pas forcément par crainte. L'enfant qui imite sa mère ou son père qu'il aime ne le fait pas par crainte, mais par amour.

Answer 2

Le sacrement de réconciliation est à mon sens le plus beau des sacrements que confère l'Eglise catholique.

Un ex-catholique devenu sceptique.

Answer 3

La culpabilité arrive quand on a pas compris a quel point Dieu aime chaque personne. Dans l'evangile, Jésus pardonne à chaque fois et invite les personnes à aller de l'avant. Il faut avoir confiance dans la misericore infinie de Dieu, sa justice c'est de nous transformer en etre meilleur par son amour ( de meme l'amour d'une maman peut transformer un enfant ), c'est dans la prière qu' a lieu cette rencontre avec le feu d'amour transformant de Dieu. La justice de Dieu n'est pas comme celle des hommes il ne punit pas. Dieu n'est qu'amour.

Answer 4

la religion adore la culpabilité , c"est son fond de commerce avec les mortifications en tous genres , le déni du plaisir sexuel en est un exemple , et les histoires et légendes évoquant les divers martyrs nous montrent l'étendue des dégâts que peut faire la religion dans les pauvres cerveaux des croyants ... si les femmes développent souvent un sentiment exacerbé de culpabilité , c'est parce qu'elles ont longtemps été les meilleures recrues des curés. ( d'ailleurs , c'est drôle cette expression : aller à confesse ...)

Answer 5

C'est là que se situe le point qui me fait dire que la religion relève d'une forme de paresse morale : on ne sent coupable de ses mauvaises actions que par crainte d'un jugement divin. De la même façon, on accomplit de bonnes actions en espérant une récompense dans "la vie éternelle".

Answer 6

Tout homme fait des coulpes:
- il doit les reconnaitre
- demander le pardon de dieu.
- si ça concerne le droit des autres il doit règler le problème et demander son pardon.

Answer 7

La culpabilité est un ingrédient (au moins chez les catholiques) majeur du cocktail explosif.
Pour capter une attention, tu culpabilise les foules. L’histoire d’un être exceptionnel, mort dans d’horribles souffrances pour racheter nos fautes. L’auditoire se sent alors tenu d’écouter … C’est de sa faute, tout de même, le martyr et la mort de cet être exceptionnel !
Ce mythe fondateur se superpose à la terreur présente chez tous les monothéismes, avec l’image d’un Dieu tout puissant et impitoyable, qui châtie à longueur de pages dans l’Ancien Testament.
Il ne faut pas perdre de vue qu’à l’époque ou on inventait ces mythes, le peuple y croyait concrètement, au premier degré (la terre était plate, au centre de l’univers, Jésus monte au ciel, l’enfer te guette …). Il n’était pas questions de symboles, tout était concret.
Tu as un troisième ingrédient : le sexe.
On sait aujourd’hui combien il est déterminant dans la vie d’un individu. L’Eglise en fait une monstruosité (nécessaire pour se reproduire, mais dans la culpabilité de prendre du plaisir). Une frustration de masse qui s’accompagne de représentations de martyrs jeunes, dénudés et torturés. Pour les femmes, une seule image : Marie, éternellement jeune, éternellement belle. Evidemment, l’adoration de ses icones est à la hauteur des frustrations subies, qui se déchargent sur ces images. Très payant.
Culpabilité + peur + frustration sexuelle.
Ainsi, Dieu est la crainte, l’autorité, le pardon de ta condition coupable, et ton Œdipe ! Dieu vient donc, pour l’enfant que nous restons, avant ses parents (tu as quelques réponses qui vont dans ce sens).
Aujourd’hui on appréhende mieux notre monde, et l’Eglise à souvent dû se résoudre à admettre la place d’un guide spirituel qui manie le symbole. Plus d’enfer (à part pour quelques irréductibles). On parle de « philosophie » (Sarkozy quand il dit pourquoi il ne veut pas ouvrir de débat sur l’euthanasie et qu’il n’ose pas mettre en avant l’argument de sa foi religieuse).
Mais, si, aujourd’hui, certains vont à la messe pour ne pas que leur maîtresse leur pèse trop sur la conscience avant de rentrer chez leur femme, le dogme reste inchangé, les commandements demeurent les mêmes, et la pression reste lourde (rapport au corps, au plaisir …)
Si j’en crois Sabrina, en 2007, certains ont gardé une conception très « première » de la religion, et culpabilisent chaque seconde de leurs vies … Très épanouissant !

Answer 8

La culpabilité et la contrition ?

Answer 9

Le catholicisme repose beaucoup sur la culpabilité. Ça fait des gens pas mal perturbés. Pas tous, mais quand même.

Answer 10

Je culpabilise chaque seconde de ma vie parce-que je sais que je suis pas les préceptes de Dieu à la lettre et je lui demande de me pardonner chaque jour .

amicalement.