Dans les années 70, en Espagne. Je devais avoir 7 ou 8 ans et... j'ai adoré ! C'était un super spectacle, haut en couleur et une ambiance incroyable. Les espagnols s'enflamment plus pour une corrida que pour un match de foot. D'ailleurs, les places sont plus chères mais les stades sont toujours plein à craquer... autres civilisations = autres moeurs, je ne crois pas qu'il faille juger ça par le dégoût et c'est sûremment moins cruel que les combats de chiens clandestins qu'il peut y avoir un peu partout. Bref, ça reste un très bon souvenir et je pense qu'avant de juger les corridas, il faut y avoir assister au moins une fois pour savoir de quoi on parle.
2007-09-04 05:14:47
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answer #1
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answered by Aelyta 7
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moi, c'était il y a .... longtemps.
je me trouvais à Jaen et nous
sommes allée à Linares - J'y ai
vu Luis Miguel Dominguin et
Ordonez. il y en avait aussi un
autre qui était très beau
Jaimes Ostos (je crois) tout
s'est bien passé selon un viel
andalou qui m'accompagnait
et m'avait donné des infos sur
la place de linares qui n'est pas
ronde et la mort de
Manolete.
depuis je suis passionnée
2007-09-04 20:21:09
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answer #2
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answered by mounette 2
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enfant bien sur jeune très jeune même ya plus de 40a (jen ai 47)
j'avais une affiche de avec mon nom dessous El Cordobes dans ma chambre d'enfant en seine et marne.
Les souvenirs forts sont plus récents évidement
les arenes de bayonnes mont de marsan dax
je rêve des 55 000 personnes dans l'arene de mexico et de voir ensemble Ponce Juli Castella à Madrid dans le tendido 7 ( là c'est un rêve)
OLE
2007-09-04 06:59:20
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answer #3
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answered by freya87fr 6
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Ma première corrida? En fait, c'était une novillada, c'était à Madrid et c'était il y a quelque chose comme une douzaine d'année je crois...
Pour commencer, je dois préciser que, jusqu'à ce moment là, j'ignorais tout de la corrida: non seulement je n'en avais jamais vu, mais encore j'étais même un peu contre, non pas de manière aussi stupidement radicale que ceux qui zonent sur ce site. Simplement, je me disais que, tout en respectant une tradition vieille comme le monde, je n'irais jamais voir ce genre de spectacle! Mais voilà, il a fallu que j'épouse un espagnol...
Or donc, mon espagnol de mari, lors d'un séjour à Madrid, a réussi à me convaincre d'aller à Las Ventas. Pour une novillada, la précision est importante.... parce que, je dois vous l'avouer, j'ai eu droit à la totale: un novillo refusé parce que boiteux, un autre qui saute la tabla et sème la panique dans le callejon, les trois novilleros, très jeunes et débutants, jetés en l'air comme des poupées de chiffon, et d'une maladresse à l'estocade... Je suis ressortie de là au bord de la nausée, en me jurant qu'on ne m'y reprendrait plus!
Mon mari a eu la sagesse de me laisser tranquille un long moment. Puis, nous avons pu capter la TVE internationale à la maison, et de temps en temps, bien sûr, on y transmettait une corrida. Au début, je refusais de regarder. Mais peu à peu, mon mari a commencé à m'expliquer: l'alguacil, le paseillo, les passes avec la capa, le pourquoi de la pique, le pourquoi des banderilles, les passes avec la muleta (bon, en fait, il est un peu comme moi, il a du mal à les distinguer et à les nommer, mais il m'a appris à reconnaître une bonne faena d'une faena "tape-à-l'oeil pour touristes". Et peu à peu, avec la compréhension est venue l'aficion....
Et me voilà!!! Ajouter que, depuis que j'ai eu la chance de vivre un moment aussi émouvant que la grâce d'un toro, je suis devenue une inconditionnelle.
Olé!
2007-09-04 06:04:00
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answer #4
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answered by Nostalgie 5
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Il y'a si longtemps que je ne sais plus la date (Non j'suis quand même pas un ancêtre)
c'était à Barcelone, et au cartel il y'avait El Cordobes (le vrai) et Antoñete. Le 3ème je ne sais plus...
Et si je me souviens d'Antoñete ce jour là, c'est qu'il avait donné 17 coups d'épée et descabello - à l'époque pour moi c'était pareil, je n'y connaissais rien - .
(Les antis vont aboyer là, c'est sur)
Et pourtant j'ai persévéré, comme quoi, pour connaître et ne pas se faire de fausses idées !
Depuis j'ai compris que s'il y'avait des échecs, on avait aussi des corridas fantastiques
2007-09-04 05:42:52
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answer #5
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answered by Jeanmi64 6
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je ne devais pas avoir 5 ans qd mes parents ont commencé a me faire aimer cet art qui est la tauromachie - c'etait a Arles ou je continue a apprecier ses ferias et corridas
2007-09-04 22:32:51
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answer #6
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answered by Anonymous
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Moi c'était une novillada en août 1992 à Soustons et je ne me souviens plus du cartel, javais 9 neufs ans!
Une sensation d'émerveillement, à la fois quelque chose de trés proche et de trés lointain, comme si j'arrivais dans la caverne d'Ali Baba. J'ai adoré, quand je suis sorti, je n'avais qu'une seule idée y revenir.
2007-09-04 08:08:22
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answer #7
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answered by Anonymous
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Et bien moi ce n'est pas si vieux!!! c'était en 2003 à Dax avec au cartel Ricon, el Juli et Fernando Cruz. J'ai bien aimé mais sans plus, il faisait chaud et j'étais pressée que ça finisse pour boire. J'en pouvais plus. Quant au toreros, je ne les connaissais pas trop alors j'ai choisie celui que je trouvais le plus beau et j'ai décidée d'être pour lui. Un peu la honte... N'empêche que c'est le Juli qui a coupé deux oreilles... c'est en voyant des reportages et trois mansadas à la suite que je me suis mise à aimer vraiment, et oui, après trois mauvaises corridas...
2007-09-05 07:40:19
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answer #8
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answered by Anonymous
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Impossible de m'en souvenir. J'étais toute petite... Je suppose que j'avais 5 ou 6 ans, donc ça date... A l'époque on pouvait y emmener les enfants. Mais il n'y en avait pas beaucoup quand même, j'étais souvent une exception. Mes impressions ? Difficile de se souvenir des "premières" fois. Je sais juste que j'y suis allée beaucoup de fois. Mais ça ne m'a pas traumatisée. J'ai surtout de grands souvenirs de fêtes...
2007-09-05 03:37:15
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answer #9
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answered by Anonymous
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Je devais avoir 6 ou 7 ans aux arènes de Malaga.
Ce que nous attendions avec impatience, mon frère et moi, c'était la fin de la corrida, moment ou les spectateurs envoyaient voler les coussins des gradins vers l'arène, tels des frisbees !! Nous nous joignions bien volontiers à ce ballet aérien de skaï, ramassant les coussins laissés sur place et les envoyant au loin....
J'ai compris plusieurs années plus tard que ce comportement qu'on pourrait juger a priori indiscipliné est en fait une façon de faciliter la tâche des personnes censées venir ramasser lesdits coussins dans les travées ...
2007-09-04 20:13:42
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answer #10
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answered by guelm8 3
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