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5 réponses

On a l'impression que de cette question dépendent toutes les autres, car si la réponse est de mourir, toutes les autres questions n'ont plus de raison d'être.

Mais si le réponse est de vivre, c'est cette question qui devient la plus hors de propos...

De plus, si la réponse est de mourir, la question du suicide elle-même devient sans fondement puisqu'elle ne concerne que les vivants. Elle ne peut se vérifier que dans sa contradiction.

C'est pourquoi la question du suicide ne doit pour moi pas être différente des considérations générales sur la mort. La question de qui ou quoi va la provoquer est relativement secondaire d'un point de vue philosophique.

2007-09-02 22:27:40 · answer #1 · answered by zagabouet 6 · 0 0

en effet, on peut se poser la question: à quoi bon vivre?......puisque l'on est condamné à mourir!

2007-09-02 21:25:42 · answer #2 · answered by Eurydice 7 · 0 0

Le suicide ne me paraît pas un problème philosofique, mais plutôt une "erreur de raisonnement", simplement.

2007-09-02 13:38:55 · answer #3 · answered by berganito 3 · 0 0

non, mais c'est un problème qui peut trouver effectivement une réflection philosophique , notamment dans la philosophie du néant et du nihilisme. A quoi bon vivre puisque le "fatum" va de toute façon venir bloquer ton action. Le suicide pour rejoindre l'autre dans l'éternité, je pense aux amants de Vérone. Le suicide politique, les kamikaze. Le suicide par refus de l'être pour se connecter avec ce qui peut être une libération : la mort salvatrice. On rejoint dans une certaine mesure la notion d'étique et de morale

2007-09-02 06:07:05 · answer #4 · answered by Hades et Persephone 7 · 0 0

Tu le trouve philosophique toi?

2007-09-02 05:16:40 · answer #5 · answered by Siham 6 · 0 0

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