POUR EVE
J’aimerais partager… avec vous ; lecteurs
Une page intimiste de ma vie, de mon cœur.
Mais comment vous décrire, ce qu’on ne décrit pas.
Et vous faire ressentir le trouble de nos ébats ?
Elle m’a laissé jouer du plus bel instrument
Dont tout bon mélomane jouerait avec talent…
Son corps et son âme sont terres inexplorées,
Durant de longues nuits, je m’y suis attardé.
Je me suis immergé dans ces yeux de déesse,
J’ai vécu dans ces bras des heures de tendresse,
J’ai caressé sa peau, velouté et salé…
Comme l’eau du lagon où vit cet être aimé.
Elle est femme et amante… confidente parfois.
Dans ses bras caressants, on se prend pour un roi.
Elle se prénomme EVE, je rime en espérant
Que pour elle je fus un instant son ADAM !!!
2007-08-06 09:08:10 · 26 réponses · demandé par ? 5 dans Amour et relations ➔ Célibat et rencontre
cilina g, elle est à 10000 km pour la regarder dans les yeux c'est pas facile!!!
2007-08-06 09:15:54 · update #1
Personne ne peut te dire cher poète comment déclamer tes sentiments, tant tes écrits sont purs et parlent si profondémment de tes sentiments...
A ceux qui se permettent de dire tu aurais dû faire comme ceci ou écrire cela comme ça, je ne peux les comprendre.... chacun a son histoire qu'il raconte de sa manière, avec ses tripes parfois de trahir un peu de lui même pour trouver une relative sérennité...
je me suis toujours demandé si les écrits restaient et dans le coeur de ceux pour qui ils sont destinés, et dans une malle cachée au fonds d'un placard tel un trésor...
Je pense qu'une de tes lectrices a donné la réponse, et j'espère que les personnes à qui j'écris ne brûlent ou ne jettent pas les traces de mon passage, si furtif doit-il être...
2007-08-06 09:49:00 · answer #1 · answered by Anonymous · 2⤊ 0⤋
Vous avez l'âme du poète et la sensibilité de l'homme amoureux ; votre texte est d'une tendresse infinie. Toutefois, vérifiez les accords. Merci pour cette bouffée d'air pur !
2007-08-06 16:21:33 · answer #2 · answered by AAA+ 6 · 3⤊ 0⤋
le jour où quelqu'un m'écrira ça, je pleurerai je crois...
magnifique
2007-08-06 16:15:24 · answer #3 · answered by Justin Bridou 4 · 3⤊ 0⤋
bonsoir
C'est très joli. Elle en a de la chance qu'on lui écrive un beau poème comme ça!!
2007-08-06 16:38:50 · answer #4 · answered by Lamiss 7 7 · 2⤊ 0⤋
J'aurais plutôt écrit "veloutéE et saléE" ...
En ce qui concerne les pieds, il me semble que le compte n'y est pas tout à fait ... J'aurais plutôt écrit :
"J'aimerais vous confier, estimables lecteurs, (...)
Ou dévoiler la fougue de nos secrets ébats ?"
Mais c'est une pure question de métrique ... On est si près de l'alexandrin que ce serait dommage de s'en priver ...
Pour être tout à fait franc, j'aime bien ... Tu devrais maintenant essayer de te lâcher dans des rimes un peu moins faciles, tant dans les sonorités que dans le rythme ... Un bon dictionnaire de rimes sera maintenant ton meilleur allié ...
Bravo !
2007-08-06 16:33:29 · answer #5 · answered by Dixneuf 6 · 2⤊ 0⤋
elle a beaucoup de chance
2007-08-06 16:31:09 · answer #6 · answered by soleil (s'éclipse) now 7 · 2⤊ 0⤋
J'aime bien les deux dernières strophes..A te lire je comprends qu'elle n'est pas prés de toi, et que la nostalgie d'un été passé à ses cotés t'envahies, car tout est rédigé au passé. Essaies de composer avec un futur à la fin, ça laissera de l'espoir dans l'avenir...
Mais j'aime bien malgré la tristesse...
2007-08-06 16:20:32 · answer #7 · answered by frederic f 6 · 2⤊ 0⤋
c'est tres beau et je suis sure que cela lui fera tres plaisir mais avant de lui donner verifies l'orthographe, a part cela c'est parfait
2007-08-06 16:12:26 · answer #8 · answered by titebel 5 · 3⤊ 1⤋
Ah la!la! Fanfan,tes "poèmes" politiques m'ont fait rire et ceux d'amour m'émeuvent...je me doutais bien que sous ces airs revêches de militant se cachait un grand sentimental!
Bonne journée :)
2007-08-07 02:41:46 · answer #9 · answered by Marmeladealorangesanguine 3 · 1⤊ 0⤋
très beau, cela va la toucher c sûr. Ahhh quel dommage que mon homme ne m'en écrive jamais snifff. A+
2007-08-06 20:33:25 · answer #10 · answered by Anonymous · 1⤊ 0⤋