Tout ceux qui ne sont pas en cage ... un oiseau c'est fait pour voler librement pas pour être limité à des barreaux ....
2007-07-20 01:24:11
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answer #1
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answered by ? 6
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j'en sais rien, mais en tout cas je déteste les pigeons
2007-07-20 08:28:26
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answer #2
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answered by PetiteFleur 2
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Le merveilleux, l'incomparable alcyon, bien entendu...
2007-07-20 08:24:31
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answer #3
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answered by ? 7
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L'albatros !
2007-07-20 08:19:01
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answer #4
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answered by Holden Caulfield 3
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c'est le kiki à sa maman...mdr..
Bisss
2007-07-20 12:01:41
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answer #5
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answered by Sidonie3Plumes 5
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L'hirondelle celle qui fait toujours le printemps.
2007-07-20 10:22:48
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answer #6
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answered by ^^^^^^^^ 5
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Légende du Phénix
Hérodote et Plutarque ont parlé d'un oiseau
Qui, venu d'Éthiopie en Égypte fertile,
Se levait chaque jour à l'heure qui rutile
Et suivait le soleil qui surgissait des eaux.
Le Nil bleu lui donnait brindilles et roseaux
Pour parfumer son nid d'une senteur subtile ;
Quand la nuit appelait, l'orgueilleux volatile,
Dans sa propre chaleur, brûlait doloroso.
Mais un fluide éternel, soufre rouge et mercure,
Remplaçait par magie aveuglante et obscure
Le sang de cet oiseau qu'on appelait Phénix.
Bientôt régénéré dans d'alchimiques teintes,
Cornaline de feu parmi le noir onyx,
Il renaissait plus beau de ses cendres éteintes.
2007-07-20 08:43:15
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answer #7
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answered by Anonymous
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l'aigle royal d'une envergure incomparable
noblesse en plein vol
j'aime beaucoup aussi le rouge gorge
2007-07-20 08:38:07
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answer #8
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answered by soleil_de nuit 7
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le geai bleu
2007-07-20 08:33:24
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answer #9
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answered by Anonymous
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l`oiseau de nuit ...
2007-07-20 08:29:33
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answer #10
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answered by v franck 7
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L'albatros!......
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.
Charles BAUDELAIRE (1821-1867)
(Les fleurs du mal)
2007-07-20 08:29:04
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answer #11
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answered by Eurydice 7
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