Des syndicats et du conservatisme qui empêchent le libéralisme d'exprimer ses contre-pouvoirs. Du coup le capitalisme est vu comme un mal.
edit :
Par "syndicats" j'entends les syndicats non représentatifs qui défendent des minorités déja très avantagées par rapport à la moyenne et qui laissent de côté la majorité qui elle souffre des conditions de travail dures rendues nécessaires par la pression fiscale qui permet de payer les avantages des premiers. Style dockers CGT, SUD SNCF, CGT imprimerie...
@ Benoit.be :
Les syndicats historiquement se voulaient un contre pouvoir des "négriers" de la première ère industrielle. On en est loin maintenant, peut être à la rigueur la CFDT remplit-elle encore ce rôle.
Les ONG ? La blague ! Ces associations/entreprises sont le plus souvent pourries jusqu'à la moelle et détournent une bonne partie des dons/subventions dont elles ont la charge. Ce sont souvent des associations qui ont comme rôle principale de faire une action superficielle pour endormir les méfiances des gens et leur faire croire qu'elles défendent le gars standard. Greenpeace, l'ARC ou toutes les associations impliquées dans le scandale du Tsunami sont vraiment des fléaux. A la rigueur l'UFC "Que choisir" joue un rôle positif.
Le gros contre pouvoir du libéralisme ce sont les "class action". Celles contre lequelles notre nouveau président est totalement contre car "cela va rajouter des charges aux entreprises qui n'en ont pas besoin", de ses propres mots. Elles permettent de faire valoir ses droits afin que la cupidité des dirigeants qui s'exprime dans le cadre du libéralisme puisse etre pragmatiquement encadrée par des lois appliquées. En france bien souvent c'est "David contre Golliath" et on a aucune chance de faire valoir ses droits dans une situation abusive, ou si peu.
ok, le capitalisme ne se limite pas à la France, mais on ne peut pas dire qu'il existe vraiment en Chine, ils ont un système hybride entre communisme est capitalisme. Néanmoins ce que je dis sur les syndicats est vrai en France, aux USA (grutiers, industries des grands lacs, syndicats des transports) ou en GB (mort de Rover).
2007-07-04 00:02:15
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answer #1
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answered by Wasabi 6
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A l'origine l'action représentait un titre de propriété acquis quite à un investissement. L'idée est excellente en soit : j'ai une idée mais pas d'argent, toi tu as de l'argent (et pas d'idée ?). On échange. Cooool !
L'investisseur était intéressé par la rentabilité à long terme de cette entreprise. Dépenser dans une cellule de R et D pour gagner plus d'argent dans 10 ans lui paraissait normal.
Mais maintenant l'action est devenu une valeur en soi. Elle doit prendre de la valeur. Comme cette valeur dépend des dividendes reversés, il n'est plus question d'investir à long terme et les entreprises se meurent petit à petit.
2007-07-04 06:54:32
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answer #2
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answered by Anonymous
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L'avarice perd tout en voulant tout gagner.
Je ne veux, pour le témoigner,
Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable,
Pondait tous les jours un oeuf d'or.
Il crut que dans son corps elle avait un trésor.
Il la tua, l'ouvrit, et la trouva semblable
A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien,
S'étant lui-même ôté le plus beau de son bien.
Belle leçon pour les gens chiches :
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du soir au matin sont pauvres devenus
Pour vouloir trop tôt être riches ?
2007-07-04 06:51:39
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answer #3
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answered by Phil (+) 5
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Des communistes qui ont encore des bastions !
2007-07-07 21:04:05
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answer #4
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answered by Siann 4
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de la concurrence déloyal et par là même de la perte de valeurs humaines précieuses dans la société de consommation que nous avons créer et que nous entretenons !
2007-07-05 18:00:18
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answer #5
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answered by eaubrune 5
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du manque de capital!!
participation
2007-07-05 14:06:25
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answer #6
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answered by CHARLOT 1
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Euh wasabi c'est quoi les contre pouvoir du libéralisme?
A part les Syndicats et certaine ONG je n'en vois pas beaucoup
De plus les syndicats sont souvent une force sous représenter a part dans les sociétés public (qui sont de moins en moins nombreuses (vive la libéralisation à tout vas)
Je ne vois pas ce qu'il y a de mal à demander des conditions de travail digne et un salaire digne
Et que les bénéfices d'une entreprise soit aussi restituer aux travailleur et pas qu'aux actionnaire
(C'est gràce à l'argent investit que l'entreprise peut se developper mais c'est gràce aux travailleurs que celle-ci tournent)
De plus les progrès social a été apporter par des luttes syndicals et je trouve facile de tapper sur les syndicats....
Et si vous n'aimes pas les "conditions de travails" "européens". Il ne tient qu'à vous d'aller en chine pour travailler comme des esclaves et être payer a 1$ de l'heure...
@Wasabi: Le syndicalisme ne se limite pas à la france....
C'est quoi les conditions de travail en chine?
Je prefere soutenir des organisations qui essayent d'améliorer les choses plus tot que de laisser faire.
Sans effort et sans objectifs on serait toujours avec des voitures ultrapolluantes , des produits non recyclabes, des déchets toxique,...
Mettre des lois permet aussi de maintenir un ordre
Je m'imagine mal vivre dans un etat sans regles
2007-07-05 06:44:35
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answer #7
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answered by Benoit.Be 6
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des syndicats?
je ne sais pas si le capitalisme souffre, mais fait souffrir.
2007-07-04 07:15:20
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answer #8
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answered by GwinGwenn 3
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de la masse gigantesque d'argent qu'il a sur le dos
2007-07-04 06:50:26
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answer #9
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answered by ellyas g 4
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de lui-même
2007-07-04 06:48:50
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answer #10
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answered by Anonymous
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De rien, il se porte très bien!
Le capitalisme n'est pas une idéologie mais un système économique.
Les idéologues de tout poil peuvent tirer contre l'unique système qui marche, mais cela ne changera rien.
Le capitalisme crée de richesses. Aux « religieux » de les repartir en essayant de ne pas tuer la poule aux Åufs d’or.
2007-07-05 07:51:22
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answer #11
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answered by Rafael 3
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