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Dimension civique de l'enseignement du français / des lettres?

lors d'une épreuve du capes, les jurés attendent que les candidats abordent ce thème; c'est une question très difficile, et j'aimerais avoir votre opinion :

à quoi vous ont servi/ vous servent vos cours de français (lettres) dans la vie ?

(mais si, ils vous ont forcément servi, pas de mauvaise foi je vous prie....)
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2007-06-25 04:36:30 · 2 réponses · demandé par ? 4 dans Societé et culture Societé et culture - Divers

2 réponses

A mon sens, vous devrez traiter l'enseignement du francais et l'enseignement des lettres de maniere separee.

Enseignement du francais, enseignement de la langue d'usage du pays.. langue vivante, langue de vie... langue maternelle, langue d'adoption...

D'autant plus important que "nul n'est cense ignore la loi", langue de l'autorite, langue du contrat, langue du conflit, du proces...

Enseignement des Lettres: l'impact est certainement plus diffus, meme si on peut defendre aisement en quoi une langue, dans sa maniere de circonscrire les concepts, donc de les decrire a a voir avec la capacite a vivre en societe, de comprendre celle-ci (cum prehendere).
De meme que le corpus commun, partage, de la connaissance des auteurs est le signe le plus sur de la meme appartenance a une culture...
Le civisme "universel" consistant a savoir ensuite decouvrir les cultures de l'autre, les ecrits d'ailleurs...


J'espere vous avoir donne de la matiere... civique?

2007-06-26 21:46:11 · answer #1 · answered by yann khaderخضر 7 · 1 0

Je repasserai...

2007-06-27 09:58:20 · answer #2 · answered by ? 4 · 1 0

L'enseignement du Français et des lettres sont pour moi deux domaines disctincts.

Je conçois les lettres comme la littérature qui est pour moi essentielle. La lecture d'ouvrages de toute époque, de tout pays, d'écrivains de toute confession permet une meilleure compréhension de l'histoire, une ouverture d'esprit qu'on ne peut à mon sens retrouver nulle part ailleurs.

En fait, le problème vient de l'enseignement des lettres. A moins d'avoir la chance de tomber sur un professeur passionné, la littérature rebute nombre d'adolescents qui s'en détournent rapidement, souvent définitivement. L'enseignement des lettres est à repenser, à la fois sur la forme mais aussi sur le fond. Bien sûr, il y a dans la littérature française, des incontournables que les quinze générations futures auront encore à étudier. Mais "l'offre" devrait à mon sens se diversifier, s'ouvrir à d'autres écrivains.

2007-06-27 08:45:13 · answer #3 · answered by LN 5 · 1 1

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