Avant notre pays était le pays des droits de l'Homme où les mots tolérance, respect, ouverture, résonnaient aux oreilles du monde entier à la simple évocation du mot France...
Maintenant....
Si tu es au chômage, au RMI, en dépression, malade, fonctionnaire, tu es un fainéant et remets toi au boulot vite fait sinon on te sucre les allocations...
Si tu es homo, tu es dans le pétrin, avec le choix de Boutin on voit bien les orientations du gouvernement...
Si tu es étranger, apprête-toi à galérer, avec Brice Hortefeux et son ministère montre-moi tes papiers, tu peux courir pour t'en sortir sauf si tu as une bonne tête ou un bon bagage, auquel cas tu seras discriminé positivement...
Si tu es encore enfant fais gaffe si tu fais la moindre connerie on te fourre une puce électronique pour te repérer à la moindre incartade...
Si tu penses bien bosser déjà et mériter ton salaire : non, il faut travailler plus on te dit !!!!
Bon je vais hiberner 5 ans, ça me déprime :)))
2007-05-21
02:39:44
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16 réponses
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demandé par
Anonymous
dans
Politique et gouvernement
➔ Politique et gouvernement - Divers
=> Monkiki : je voyage énormément, en privé et pour mon taf je suis directeur commercial. Désolé de te déranger dans tes certitudes...
2007-05-21
02:51:24 ·
update #1
Quand on lis toutes ces réponses, on a le sentiment d'avoir élu Gandhi.
Qu'ils aillent lire le programme.
2007-05-21 03:01:57
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answer #1
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answered by Anonymous
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Je comprend ton manque t'optimisme par rapport à ce qu'il se prépare....
Concernant hortefeux : "les dossiers des sans papiers seront traités au cas par cas , avec détermination et ... "humanisme".
Il suffit de contacter n'importe quel RESF pour voir l'humanisme des jeunes détenus dans les centres de rétentions.... et traités pire que des délinquants puisqu'ils n'ont pas même le droit aux visites des parents . Ce sont pour la plupart des étudiants venus "comme Sarko" tenter leur chance en France .
Communiqué de démission des
instances officielles de la Cité nationale pour l'histoire de
l'immigration adressé ce jour par 8 historiens et démographes.
*Immigration et identité nationale : une association inacceptable*
Depuis 2003 nous avons participé au projet de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration (CNHI). Cette Cité, qui doit ouvrir ses portes en cette année 2007, a été voulue, comme un nouveau lieu de l'histoire de France, au lendemain des élections présidentielles de 2002, à l'occasion desquelles les Français avaient signifié leur refus
de la tentation xénophobe. Ce lieu entend changer le regard de nos contemporains sur leur société en rappelant comment, depuis deux siècles, les étrangers, venus par vagues successives, ont contribué à développer, transformer et à enrichir la France. Rendre compte de la diversité des histoires et des mémoires individuelles et collectives, en
faire l'histoire de tous, avec ses moments glorieux et ses zones d'ombre, aider ainsi au dépassement des préjugés et des stéréotypes, tels sont les enjeux qui nous ont mobilisés autour de ce projet.
L'instauration d'un « ministère de l'immigration et de l'identité
nationale », remet en cause ces objectifs. Les mots sont pour le politique des symboles et des armes. Or il n'est pas dans le rôle d'un Etat démocratique de *définir l*/'identité/
. Associer « immigration » et « identité nationale » dans un ministère n'a jamais eu de précédent dans notre République : c'est, par un acte fondateur de cette présidence,
inscrire l'immigration comme « problème » pour la France et les Français dans leur être même.
Ce rapprochement s'inscrit dans la trame d'un discours stigmatisant l'immigration et dans la tradition d'un nationalisme fondé sur la méfiance et l'hostilité aux étrangers, dans les moments de crise. Là où le pari de la CNHI était celui du rassemblement tourné vers l'avenir,
autour d'une histoire commune que tous étaient susceptibles de s'approprier, ce ministère menace au contraire d'installer la division et une polarisation dont l'histoire a montré les ravages.
Voilà pourquoi nous démissionnons à compter de ce jour de nos fonctions officielles à la Cité nationale de l'histoire de l'immigration. Nous tenons cependant à saluer le remarquable travail effectué depuis plus de trois ans par
Jacques Toubon et toute son équipe. Nous avons pu y être associés dans un esprit de liberté intellectuelle et d'indépendance. Nous continuerons de soutenir ce projet tant que son esprit perdurera.
Marie-Claude Blanc-Chaléard, historienne (Paris1)
Geneviève Dreyfus-Armand, historienne (BDIC)
Nancy L. Green, historienne (EHESS)
Gérard Noiriel, historien (EHESS)
Patrick Simon, démographe (INED)
Vincent Viet, historien (IDHE)
Marie-Christine Volovitch-Tavarès, historienne
Patrick Weil, historien (CNRS-Paris 1)
2007-05-21 10:04:08
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answer #2
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answered by fraternité 2
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bonne nuit
on s'occupe de tout....
2007-05-21 09:42:02
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answer #3
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answered by GABY 4
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La France des droits de l'Homme n'implique pas qu'elle ait tous les devoirs.
2007-05-21 09:42:43
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answer #4
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answered by marie laure l 5
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c est pas l heure de dormir !!!!!!!!!!!!!!!
LA LUTTE CONTINUE !!!!!!!!!!!!!!
OUBA OUBA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
2007-05-21 13:23:48
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answer #5
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answered by Anonymous
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100% avec toi, sauf pour une chose:
pas d'hibernation, les 5 ans à venir, on a du boulot! On ne va pas les laisser faire n'importe quoi.
Vive la France des DROITS de l'Homme.
2007-05-21 12:21:40
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answer #6
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answered by agata 4
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je pense que la tolérence a ses limites et le foutage de gueule aussi!!
2007-05-21 09:58:07
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answer #7
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answered by Anonymous
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Bon allez, vu que je fais une petite pause, je vais développer ma réponse.
Tout d'abord, il n'y a pas le bien : la gauche, et le mal : la droite.
Si Sarkozy a stigmatisé certains cas extrêmes que sont les exploiteurs du système et la voyoucratie, c'est qu'ils existent, et non pas qu'ils représentent la majorité.
Il faut à la fois lutter contre ces excès, sans tabou, pour que l'effort soit d'autant plus important pour ceux qui font ce qu'il faut pour s'en sortir.
Nous jugerons dans les faits, mais je ne suis personnellement pas très inquiet quant à l'avenir des droits sociaux en France.
Et surtout, je compte sur Mr Sarkozy pour faire chuter le chômage. C'est socialement important pour l'équilibre du pays à bien des niveaux (financier : payer les retraites, sécurité, santé morale)
Maintenant, les effets pervers sont les suivants :
> Le fossé entre riches et pauvres va se creuser. Non pas que les pauvres deviendront + pauvres, et même au contraire - dans la théorie. Risque de fracture sociale ?
> La focalisation sur la "réussite" sociale induit une culpabilisation de l'échec, et donc de grosses difficultés pour les gens qui ont du mal à s'intégrer, à trouver de l'emploi, à réussir leurs études.
Encore une fois, attendons de voir, et laissons de côté ce partisanisme aveugle.
Mr Sarkozy est au pouvoir, jugeons-le sur les faits, sur les résultats.
2007-05-21 09:50:46
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answer #8
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answered by Kaloo 4
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tu avais une bien belle image de la France d'avant ses élections, car pour les étrangers la france n'était pas synonyme de liberté, de tolérance et de respect. Demande-leur !
Je pense que pour restaurer cette belle image, il faut passer par une période de fermeté, que beaucoup de parents doivent connaître, car nos enfants si on n'est pas ferme avec eux, quitte à sévir quant on les a bien prévenu, deviennent arrogants, insolent, révoltés et ils ne supportent plsu aucune forme d'autorité.
Si tu es un parent, comme moi, regarde tes enfants, si tout le monde dit qu'ils sont polis, bien élevés, tolérants ouverts et respectueux, alors regarde comment tu les a élevé et tu verras le parallèle actuel à faire en politique !
Il faut être ferme et juste envers ceux qui le veulent, donner une chance, aider, ceux qui ne peuvent pas encore, et les guider vers le droit chemin.
2007-05-21 09:48:55
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answer #9
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answered by sandrineh 5
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Beaucoup ont oublié qu'ils ont des devoirs aussi envers ce pays... Une piqure de rappel ne fait pas de mal.
2007-05-21 09:45:06
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answer #10
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answered by Anonymous
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