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Après tout, qu'est ce qui pourrait différencier l'organisme social d'un etre vivant?

Celui-ci change avec le temps, on peut lui estimer une naissance, une vie, une mort. Il cherche à survivre dans le temps (tout comme nous). On peut rapprocher tous les organismes qui le composent (vous et moi) aux cellules qui nous composent. Elles ont plus ou moins le même rôle que nous : chacune est spécifique à une action bien particulière, comme nous autres avons des métiers correspondant au besoin de l'organisme social. (Beaucoup d'autres analogies existent et tendraient à prouver cela...)

Serait t'il possible d'immaginer que ne nous sommes que les vecteurs d'un être plus important, dont la représentation peut nous dépasser? Ne sommes nous pas au fond que des moyens et non des fins comme on pourrait nous le faire croire?

Merci de me faire partager vos réflexions!

2007-05-12 03:40:21 · 5 réponses · demandé par mcud 3 dans Arts et sciences humaines Philosophie

5 réponses

ben c'est le point de départ de la sagesse des âges que d'aucuns appellent quelquefois ésotérisme que de dire que tout est un !
ou encore que chaque forme de vie est structurée de la même manière, sur sept plans de conscience animés par sept rayons d'énergie au niveau de sept centres de force, et elle évolue en 7 grandes étapes qui manifestent sept degrés initiatiques dans les sept mondes de l'évolution,
et c'est sans doute ce qui faisait dire déjà à patanjali il y a 5 000 ans que toute connaissance est septuple !

il ne te reste plus qu'à remplir les tiroirs, et tu trouveras ainsi que l'homme est l'intermédiaire entre l'atome (microcosme) et l'univers (macrocosme) et qu'à chaque étage de la manifestation, on fait toujours le même parallèle entre ce qui est en bas et ce qui est en haut !
il y en a qui l'expriment en disant que l'homme est fait à l'image de dieu, mais en fait ils feraient mieux de dire que tout est dieu !

donc l'humanité est un organisme qui évolue sur sept plans de conscience, animés par sept rayons dont cinq sont ses propres moteurs, au niveau de sept centres de force qu'on appellent pour l'humanité des ashrams, elle est une entité qui se développe en sept races, dont la race actuelle est au degré initiatique 1,01 sur les 7 de l'échelle, bien que cette race soit la 5° de la 4° ronde ...

et avec un peu d'entraînement, tu pourras facilement comprendre la situation de la planète, d'un règne, d'un système solaire, ou d'une personne au sein des autres ...
et cette connaissance s'acquiert comme tout le monde le sait en regardant en soi-même comme il est dit : connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers entier ....

bonne route à vous mon ami !

2007-05-12 07:40:36 · answer #1 · answered by maricimaraj 7 · 0 0

La tradition à cet égard est ancienne. La physiologie moderne a été en effet modelée dès la fin du dix-septième siècle, par des méthodes d’analyse qui visaient à rattacher à des microstructures et à des microprocessus, sous-tendant et composant l’organisme complexe, la cause des opérations et des fonctions intégrées du vivant. Les modèles que l’on se forgeait pour rendre compte de ces conditions structurales et fonctionnelles furent d’abord dictés par des représentations mécanistes : à leur tour, celles-ci ont amené à concevoir les processus vitaux comme réductibles par l’analyse à des équivalents physico-chimiques.

L’histoire des sciences de la vie semble nous apprendre que ces conceptions réductionnistes anciennes ont engendré leur contraire sous la forme de théories plus ou moins spéculatives auxquelles leurs adversaires ont accolé, pour des raisons essentiellement polémiques, le qualificatif de «vitalistes». En fait, le recours à des principes vitaux et aux lois qui en exprimeraient l’action recouvrait la plupart du temps des analyses qui visaient à rendre compte des processus fonctionnels et des structures intégrées par un déchiffrage empirique des caractéristiques de l’organisme complexe considéré dans son ordre même. Plutôt que d’antinomie des stratégies d’analyse, il conviendrait souvent, pour traduire adéquatement la perspective historique, de parler de tensions, d’alternances et en dernière ressort de complémentarité relative entre les modes de représentations dits mécanistes et vitalistes, holistes et réductionnistes
L’organisation du vivant émerget-elle de ses «building blocks» en acquérant des déterminations inédites ou ces déterminations globales surviennent-elles par le simple effet de la combinatoire des conditions élémentaires sous-jacentes ? La distinction entre l’émergence et la survenance («supervenience») comme concepts à privilégier dans la représentation des rapports entre le tout et les parties de l’organisation vitale décrit l’un des enjeux épistémologiques majeurs pour les philosophes qui s’intéressent aujourd’hui aux sciences de la vie et à leurs méthodes d’analyse.

2007-05-12 11:06:07 · answer #2 · answered by ? 7 · 1 0

Peu importe la seule chose que je sage c'est qu'il était bien malade peut etre mourant meme

2007-05-18 16:28:37 · answer #3 · answered by ? 5 · 0 0

Pour poursuivre ton analogie, rappelons que la main droite est tout à fait solidaire de la main gauche ... entre autre, et que les parties (...) n'existent dans le corps que parce qu'elles forment un tout.

2007-05-12 10:44:40 · answer #4 · answered by Fred 5 · 1 1

non parce que par exemple ça voudrait dire que je suis incapable de porter atteinte à autrui(c'est à dire le mal apparent est un bien que cette atteinte est justifié parce que l'organisme social le veut), ce qui par rapport a ma propre survit peut me mettre en danger donc j'en arrive au moment ou j'adopte librement une action anti-organisme social
donc je n'en fais pas partie.
si tu n'es pas convaincu dit toi que je veux te tuer.

2007-05-12 11:09:22 · answer #5 · answered by Artaher 2 · 0 2

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