d apres vous obeir est-ce renoncer a sa liberte?

Answer 1

ça dépend d'où vient le commandement, car pour commander à l'énergie vitale ce qui est le comble de la liberté, il faut d'abord apprendre à obéir à la loi de la vie qui est amour et perfection !
à l'inverse je suppose que obéir à un commandement qui nest pas un commandement d'amour est tout aussi stupide que le commandement lui-même à cause des limitations qui s'ensuivent ...

Answer 2

Oui, mais le renoncement temporaire à la liberté reste une liberté, un choix. En ce sens ce n’est plus un renoncement au sens fort, d’autant que ce choix est ce qui fait de nous des êtres sociaux. On peut également se poser la question de la nature du contrat social. Ce qui faudrait surtout se demander, c’est si chaque nouvelle génération est bien éduquée quant a ce qui a motivé ce choix de restriction de liberté lors de la formation de la société a laquelle il appartient.

Si on expliquait correctement aux jeunes élèves ce qui fait le ciment d’une société de droits et de devoirs, il n’y aurait plus guère de raison de s’inquiéter de l’équilibre entre liberté individuelle et devoir envers les autres, nos égaux (qui ont les mêmes droits et devoirs, donc la même restriction de liberté).

Pour moi, c’est en ces termes qu’il faut poser la question.

Answer 3

L'idée populaire inculque à l'individu que sa liberté se trouve bafouée lorsqu'il se soumet à l'obéissance. Cette soumission est en effet celle qui rappelle amèrement l'idée passée d'esclavage. Il est vrai néanmoins que la condition de liberté se forme lorsqu'il y a absence de contrainte de façon naïve et que l'obéissance est une sorte d'assujetion évidente.
Obéir est une nécessité. Renoncer à la liberté, n’en est, cependant, pas une
Ceux qui obéissent de façon ponctuelle ou temporaire, ceux qui n’obéissent que contraints "par la force des baïonnettes", ceux qui obéissent à un "bon maître", ceux qui sont des "bons élèves", ceux-là ne renoncent pas à la liberté. La contradiction qui peut sembler à première vue exister entre "obéir" et "être libre" n’en est pas une- le véritable paradoxe, c’est plutôt qu’on puisse renoncer à la liberté. Est-ce bien possible de se séparer de ce qui pour beaucoup nous définit entièrement ? Nous avions parlé des "mauvais élèves", qui ne sont pas assez critiques ou attachés à leur indépendance. Existent-ils vraiment, même dans les sociétés où l’obéissance est imposée à des degrés extrêmes, ou n’y a-t’il pas au fond de chacun de nous un "bon élève" déviant

Answer 4

non, c'est d'abord faire un choix : je peux obéir comme je peux désobéir..... c'est ça ma liberté, celle de pouvoir choisir

Answer 5

non !!! obéir à d'avantage une notion de respect que d'obligation !!!! et le respect n'est pas l'aliénation de la liberté !!!

Answer 6

si on obéit librement ,non.même un militaire a le droit de refuser d'obéir à un ordre qu'il juge dangereux d'exécuter, c'est dire...

Answer 7

Tout dépend á quoi.

Answer 8

Si tu n'obéit pas on te met au coin ou on te punit, si tu désobéit aux lois tu es susceptible de perdre toute liberté; c'est pour cela que notre liberté est limitée mais c'est aussi le moyen de la préserver de l'anarchie, "notre liberté s'arrête donc là où commence celle des autres"........
La liberté totale n'existe pas, comme la vérité absolue, nous ne sommes que des humains avec seulement deux yeux qui ne peuvent tout voir, un entendement limité qui ne peut tout saisir, et un corps aux multiples fonctions dont on ne connait pas la DLC.

Answer 9

Pour être "libre" il faut d'abord savoir obéir!

Answer 10

non si l on pense que celui a qui l on obeit est juste,mais est il juste pour les autres?"obeir "peut deja resonner mal dans certaines oreilles ,cela peut etre egal a se soumettre mais "accepter"ne serait ce pas mieux?
s appelait genius et repondre comme un malus batardus varaiment