oui j'ai ete tenue en joue pendant une nuit entiere par un drogue qui etait arme d'un fusil mitrailleur.Passees les premieres minutes de frayeur, je me suis adaptee a la situation.J'ai attendu que ca se passe, je n'avais plus peur.Mais je crois que c'est ce que tout le monde fait dans ce cas.Je ne disais rien, ne bougeais pas, en fait je me sentais etrangement calme, comme si cela ne me concernait pas.Le fou a pose son fusil quand le soleil sést leve, apparemment il est alle se coucher,j'ai file doucement sans faire de bruit, heureuse d'avoir vaincu cette nuit de cauchemard.
2007-05-03 02:52:46
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answer #1
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answered by ? 7
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l'accident de bécane! le trou noir profond la tristesse pour ma famille, ma mère, mon père tous. MAIS l'extase moi seul sait incoyable! CE que l'on voit... et le surnaturel est que mon père a connu la mort de très très très près trop personnel à raconter
et aujourd'hui on vit et on ne la craint pas cette mort Sam
2007-04-29 03:44:38
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answer #2
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answered by Sammy 3
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Bonjour, tout d'abord merci pour un peu de douceur dans ce monde de brutes (réponse à une autre question)
Bon j'ai vu surtout celle des autres en face, et devant leur air de délivrance, quelquefois je les ai envié(e)s. C'est toujours difficile d'être celui qui reste.
La mienne, je l'ai croisée mais trop brusquement pour réaliser et rien à voir avec ton expérience. Ce n'est qu'après coup, bien après les accidents, que j'ai réalisé qu'elle était passée près, mais ce n'est pas la même chose.
J'essaie de l'apprivoiser pour qu'elle soit moins effrayante.
2007-04-29 03:21:51
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answer #3
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answered by freedum 4
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J'ai eu des face à face, droit dans les yeux, avec la grande faucheuse de mes amours vitales.......Je l'ai toisée.....nous eûmes des combats épiques, à fleuret moucheté....mais dans le silence de la défaite, c'est le respect le plus grand que m'imposa son auguste et souveraine froideur......Genoux en terre, Madame!.......
2007-04-28 23:46:51
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answer #4
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answered by Eurydice 7
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je l'ai appercu lors d'un accident de plongeon de 10 métres , j'avoue ne pas l'avoir ressentie, juste le choc a l'arrivé et le claquage. Je m'en suis sortie sans rien , heureusement mais avec la peur de cette discipline que je n'ai jamais plus pratiqué. Ca va vite, on ne se rends compte de rien. J'ai fait aussi une chute en moto, avec un évanouhissement passager, c'est pareil, on a l'impression que le corps se met en pause pour supprimer la douleur ou le choc, c'est trés bizare
2007-04-28 23:21:31
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answer #5
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answered by Hades et Persephone 7
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Mon collègue de travail est mort dans un accident de moto juste devant moi il y a 3 ans, je l'ai vu vraiment avoir son dernier souffle alors que le samu a tenté 45 minutes de massage cardiaque, mais avec une hémoragie interne au cerveau, il étais condamné! 31 ans père de 2 enfants et le comble c'est qu'il était ponpier volontaire(donc il a déjà du sauver des vies et moi, lors de son accident j'ai prévenu les secours mais je ne savais pas comment le sauver! je m'en rappellerai toute ma vie car je fesais de la moto aussi et j'ai eu un grave accident 3 semaines après la mort de mon collègue comme si ce que j'avias vu de sin accident étais une prémonition qui allait arriver.J'ai eu la vie sauve mais j'ai été 1 moi à l'hopital et 4 mois immobilisé! la vie parfois est terrible mais il faut faire face!
2007-04-28 19:44:04
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answer #6
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answered by juju 3
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je la côtoie quotidiennement chez les autres je suis infirmière....j'ai du mal a accepter ........cela me fait relativiser pour ma propre vie parfois je me dis que dans qqs mois c'est peut être moi qui ne serait plus là..........
2007-04-28 18:49:08
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answer #7
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answered by Anonymous
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tu sais la mort un phonomene trop amer qui nous engoisse de plus en plus . Mais face a une realite naturelle sans ekivoke , je ne saurais koi dire de plus . Ce ki m'intrigue c'est pas k'y ait plusieurs vie ki se mettent a terme ou genre ki se retire de la vie mondaine dans notre quotidien . Mais c'est plutot l'absence de consideration , manque de responsabilite vis a vis de nous meme et donc d'autrui . Par mise en danger ou pire par indiferrence scuiciter lors d'une mort anonyme . La mort c'est pas losqu'elle nous frole dans les yeux , c'est un phenomene majeur de la vie .
2007-04-28 16:37:33
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answer #8
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answered by anello 3
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moi j'avais 22 ans dans un accident de voiture. Je vue la voiture arriver/ se diriger vers moi a toute vitesse, et je sais que c'est cliquer mais j'ai vu ma vie défiler en quelques secondes et la dernière chose que j'ai penser c'est que ma mère aller être triste. C'est un sentiment etrange.
2007-04-28 16:33:32
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answer #9
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answered by Anonymous
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Deux fois, je n'en ai pas été loin, mais je ne m'en suis aperçu que restrospectivement.
La première fois, une pure connerie, à 16 ans on est très, mais très con! Il faisait noir, j'ai voulu recharger un générateur à essence. Comme je n'avais pas de lampe, j'ai utilisé un briquet pour regarder la jauge. Evidement, l'essence a pris feu et le reservoir aussi. J'étais avec un copain, on a réussi à éteindre en bouchant le réservoir pour couper l'apport en oxygène...
On a vraiment eu de la chance que ça n'explose pas.
La deuxième fois, c'était quand je faisais un chantier... Y'a un échaffaudage qui a basculé, j'ai juste eu le temps de me rattraper à celui d'à côté... Ce n'était pas très haut 6-7 mètes, mais vu qu'en dessous le sol était jonché de poutres, de clous rouillés et plein de trucs agréables, si j'étais tombé...
Sur le coup, j'ai eu la bonne réaction, mais surtout parce que je n'ai pas pris conscience du danger... A posteriori, je n'ai pas peur, ça ne sert plus à rien, maintenant, je préfère en rire.
2007-04-28 15:58:54
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answer #10
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answered by France libre ¤ 6
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j' ai eu pareil a toi, mais j etais beaucoup plus jeune, dans les 15 ans...j etais parti avec environ 100 personnes pour faire de la randonnée dans les andes. et ça se passait dans les années 80 au Pérou, en pleine guerre civile. et on a croisé un group de soldats, ils nous on traité des tous les noms, nous on poussé contre le bord d une falaise trés tres haute face au vide, et nous on dit de nous agenouiller avec les mains derriere la tete. quand j ai eu le fusil contre ma tete , je m ai dit c'est bon ....je vais a mourir, c'est bizarre mais j etais tranquille, j ai pensé que n etait pas si mal de mourir vite avec une balle dans la tete.
seulement m a fait un peu la peine de penser que personne ne retrouverait jamais mon corps..
bon c'est vrai que aprés ça on perd la peur a beaucoup de choses.. et une autre fois j ai aussi failli mourir mais tout c'est passé trés vite et je n ai eu le temps de rien penser. pendant un accident de voiture aux 21...
mais tout ça c'etait passé quand j'etait celibataire et je n avais pas d'enfants
maintenant que j ai des charges de famille je pense que je reagirait differemment.
2007-05-05 03:26:09
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answer #11
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answered by paola m 2
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