2007-04-24 01:53:54 · 19 réponses · demandé par achille 3 dans Arts et sciences humaines ➔ Philosophie
je le pense mais cela demande beaucoup d'efforts et une grande maitrise de soi!
2007-05-01 23:10:57 · answer #1 · answered by KD 6 · 1⤊ 0⤋
Matriser le désir, c'est également maitriser sa frustration. Tout est question de juste milieu. Le désir est maitrisé tant qu'il ne se transforme pas en frustration. Dès lors, on ne plus parler de désir.
2007-04-24 09:08:12 · answer #2 · answered by Jon Bonjovi 2 · 2⤊ 0⤋
le désir est eau vive et vivifiante nous ne sommes pas maitre de son imprévisible jaillissement.
Comprendre l'eau vive ce n'est pas la maitriser mais l'apprivoiser et la canaliser.
2007-04-24 12:23:11 · answer #3 · answered by ^^^^^^^^ 5 · 1⤊ 0⤋
Le désir, c'est comme l'amour......enfant de Bohême, il n'a jamais connu de loi!......Il est. Rien ne saurait l'asservir.
2007-04-24 10:45:05 · answer #4 · answered by Eurydice 7 · 1⤊ 0⤋
C'est possible, oui, sur le tard...
2007-05-01 16:28:17 · answer #5 · answered by Marvije 2 · 0⤊ 0⤋
oui, c'est en cela que l'éducation est utile en apprenant à réfréner ses désirs
2007-05-01 12:51:12 · answer #6 · answered by bchx 5 · 0⤊ 0⤋
cela demande de la discipline et beaucoup de control sur sois, mais le desir le plus tu le reprimes le plus in deviens plus fort et plus tenace, jusqu'a l'obssession
2007-05-01 09:29:01 · answer #7 · answered by pelican 2 · 0⤊ 0⤋
bien sûr !!
le désir étant le produit de nos pensées il faut déjà commencer par maitriser celles-ci !!
cela ne se fait cependant pas sans frustrations et il faut donc trouver des compensations pour ne pas laisser naitre la souffrance !!!
Les pulsions sont humaines mais elles peuvent tout à fait être canalisées !! si l'on y parvient pas cela engendre une vraie pathologie !!!
2007-04-29 11:15:58 · answer #8 · answered by monicklhay94 7 · 0⤊ 0⤋
seulement si on le désire !
2007-04-28 19:48:19 · answer #9 · answered by Yawn the Cat 2 · 0⤊ 0⤋
la volonté peut être, demande à Kant
2007-04-28 15:38:20 · answer #10 · answered by indi 3 · 0⤊ 0⤋