Qelles sanctions pour les violeurs récidistes sur enfants ,femmes et toutes personnes en état de faiblesse ?

Answer 1

en quel pays stp ? car israël viole les gosses et les enfants détenus, et les laisse comme joujou sexuel pour d'autres déliquants (voleurs) israéliens.
si c'est de là-bas dont tu parles, rien n'est fait à leur encontre, sauf des dénonciations par les groupes de défense des droits de l'homme, américains, suisse en particulier (qui sont loin d'être des gauchistes)

Answer 2

Quand Le_Batel dit castration chimique je dis castration à la façon dont on castre les bovins. La chimique coûte 150€ par injection remboursé par la sécu alors qu'une pauvre femme souffrant d'un cancer s'est vu refuser par la sécu un traitement qui coûté aussi 150€ par injection ( en belgique). Misha.

Answer 3

Il faudrait que la justice puisse empêcher ces personnes de pouvoir encore récidiver.
Pour cela il y a plusieurs possibilités:
- soit la peine de mort(au moins ça ne coute rien au contribuable)
-soit la prison à perpétuité sans remise de peine(ne pas les laisser sortir avant la fin de leur peine) mais ça coute cher au contribuable et les prisons sont pleines.
-ou alors il faut les stériliser:comme ça au moins si ils sortent avant la fin de leur peine ils ne pourront plus violer(je pense que c'est un compromis entre les anti-peine de mort et les anti-prison à perpétuité).

Answer 4

La prison à vie sans aucune remise de peine, c'est tout ce qu'ils méritent. Et que le directeur de la ou des prisons jette la clé à tout jamais.

Answer 5

Un 9m² pour l'éternité !
(et en prime, ca rime !)

Answer 6

Zahra as tu des preuves de ce que tu avances? malgre qu on a des opinions differentes, lorsqu il s agit des enfants on doit agir.......
Pour les violeurs, la prison a vie dans une cellule de 2mx1m.

Zahra je veux bien les sites s il te plait. Je parle et lis tres bien l anglais. Merci!

Answer 7

La même pour tous, pas d'excuses! ... La castration chimique!

Answer 8

Le problème que l'on observe avec la castration chimique c'est que les "pervers" ne sont pas suffisamment surveillé et que la castration chimique peut quand même se neutraliser en s'injectant de la testostérone... qui elle même peut se trouver les doigts dans le nez sur internet.
Le second problème reste encore est toujours le manque de suivi autant en prison que hors prison... à cause de la surpopulation des prisons et du manque de personnel.

Après j'ai une vision complètement impartial et subjective sur le débat, puisque j'ai moi même été violée à 13 ans, mais je me rends bien compte que dans le fond j'ai eu la chance de ne pas me faire torturer (à part l'étranglement à plusieurs reprise et une perte de connaissance à cause de ça) et puis voyant que je ne rentrais pas ma famille à quand même sonné l'alerte au commissariat du quartier et avec d'autres voisins du quartiers, ils sont tous parti à ma recherche. Tout le monde n'a pas cette chance!

Pour moi ces personnes sont très très dérangée dans leur tête (et qu'on ne vienne pas me dire que la pédophilie en Grèce Antique était quelque chose de normal... grrr je mords!), du coup j'ai tendance à avoir de la compassion pour eux et remettre toute la faute sur le dos de l'état qui ne sait pas (ou ne veux pas) s'en occuper comme il faut.
Et puis y'a des jours comme ça quand j'entends que les "violés" se seraient fait torturer, enfermer, revioler, bref qu'ils n'ont pas juste "vu les portes de l'enfer" mais qu'ils ont été poussés dedans, je vois rouge et je veux tous les faire exterminer... mais c'est pas mon rôle, je n'aime pas la vengeance (même si parfois je la comprends, je ne la cautionne pas).

Et puis y'a aussi le problème des remises de peines et de la libération pour bonne conduite... il faudrait que dans des cas de récidives ça n'éxiste pas et pas d'exception (du style "le fils de"). Même chose pour tous!

Answer 9

On a des lois pour ça mon ami!
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http://fr.news.yahoo.com/19042007/202/chiffres-du-chomage-les-statisticiens-sortent-de-leur-reserve.html
Les statisticiens des services de l'emploi, dans une démarche sans précédent, ont manifesté jeudi pour demander que les chiffres du chômage ne soient pas publiés entre les deux tours de la présidentielle, en raison de la "confusion" et de "la sous-estimation" caractérisant ces données.
Une centaine de chargés d'études, chercheurs ou statisticiens se sont rassemblés à Paris devant la Direction générale du travail, à l'appel d'une intersyndicale des services statistiques de l'Emploi, a constaté une journaliste de l'AFP.
L'ensemble des syndicats de la direction recherche et statistiques du ministère de l'Emploi (Dares), plusieurs syndicats de l'Insee et de l'ANPE appelaient à ce mouvement inédit dans l'histoire du ministère de l'Emploi.
Les chercheurs des services statistiques des ministères sont normalement tenus à un devoir de réserve.
Pas de banderole, quelques fanions, autocollants syndicaux, un mégaphone donnaient sa couleur protestataire au rassemblement.
"Cette mobilisation, c'est pour que nos collègues restent crédibles", a souligné Julie Herviant (CGT Insee).
"A trois reprises, on a demandé à nos directions respectives de ne pas publier le chiffre du chômage, on nous a renvoyé dans nos buts, mais on essaye quand même: utiliser le taux de chômage tel qu'il est présenté, en disant +ça baisse, ça baisse, c'est nous les grands manitous qui avons résolu les problèmes d'emploi+, ce n'est pas honnête", a-t-elle déclaré.
"La décision de l'Insee de ne pas publier l'Enquête Emploi a provoqué la confusion", a-t-elle ajouté, en reprochant à sa direction d'"avoir paniqué" en reportant à l'automne, au lieu de mars, la publication de l'enquête.
Les premiers résultats de l'Enquête Emploi montrent plutôt une stagnation du taux de chômage l'an dernier, à 9,8% en moyenne annuelle.
La majorité sortante affirme au contraire avoir ramené le taux de chômage à 8,4% en février 2007, sans changer le baromètre, du jamais vu depuis près de 25 ans.
Tant que l'enquête Emploi de l'Insee n'est pas publiée, le baromètre mensuel officiel du chômage (calculé par commodité à partir des listes ANPE) reste une estimation.
Pour l'Insee, le taux de réponses à l'Enquête Emploi 2006 était insuffisant, ce qui justifie un report.
Pour les manifestants, il n'y a aucune raison de ne pas l'utiliser, puisque Eurostat, l'office européen de statistiques, s'en est servi pour relever les taux français sur plusieurs mois, et notamment à 8,8% pour le mois de février, contre 8,4%.
"Le problème, c'est l'utilisation éhontée d'un chiffre faux", s'étranglait jeudi une fonctionnaire de la Dares dans la petite foule anonyme des manifestants.
"On a un rôle démocratique. Si les gens ne sont pas informés, ils ne peuvent pas faire des choix valables", enrageait un autre.
Pour lui, la ligne jaune a été franchie dans "la collusion" entre la direction de la Dares et le gouvernement.
La polémique durant depuis plusieurs mois, Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Emploi, dénonce le jeu "d'une quinzaine de manipulateurs".
Pour lui, le chômage a baissé, les comptes de l'assurance chômage sont sortis du rouge, quelque 200.000 emplois salariés ont été créés en 2006 et les cotisations au régime des indépendants ont augmenté.
"Ce n'est pas parce qu'il y a une hausse de l'emploi, qu'il y a une baisse du chômage, même si cela paraît logique", expliquent plusieurs chercheurs de la Dares. "En réalité, il faudrait créer plus d'emplois pour faire baisser le chômage car la population active augmente, faiblement, mais quand même".