Si je vous dis : "Il n'y a pas de fatalité" - Qu'en pensez-vous ?

Answer 1

La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.
Simone de Beauvoir

La fatalité, c'est l'excuse des âmes sans volonté.
Romain Rolland

Enlève le mot fatalité de ton dictionnaire, et tu verras que changera le monde.
Franck Dunand

Answer 2

Mais j'en suis persuadée !!!!
ne croyant pas au destin mais d'avantage à un processus de cause à effet je pense que tout ce qui nous arrive n'est que le résultat de nos choix !!!
La "fatalité" n'y a donc pas de place !!!

Mais il se peut que croire à la fatalité exclut la prise de conscience et de responsabilité puisque les "fatalistes" pensent toujours que tout ce qui arrive devait forcément arriver (ou était écrit) !!!

Answer 3

La fatalité c'est chaque jour passé sur cette terre.

Answer 4

La vie est si bizarre parfois.
Celui qui dit ne croire en la fatalité,
est bien loin de la vérité.
Celui qui pense que la fatalité n' est que certitude,
et se plie à son destin, s' en vouloir
bousculer ses pensées un peu plus loin
que cette vérité, ne saura jamais être
pour lui, afin de devenir pour autrui.
Je ne sais si je me suis bien exprimée.
En outre !
Sommes-sommes ici-bas pour accomplir
cette destinée en croisant certaines vies,
par certaines phases de la vie
plaisante ou déplaisante> est-c' ainsi ?
D' ou effectivement, pourrait-on croire en une destinée
bien unique pour chacun de nous, le hasard effet surprise
pour émoustiller le bonheur des uns et des autres
qui ne croivent en rien.
Mais pour moi, le hasard n' existe pas.
Que la destinée est une certitude que l' on ne peut dévier.
Que l' on ne croise pas les gens par pur hasard.
Que l' on ne meurt pas si jeune pour rien.
(une vie ailleurs ?)
Mais qu' il faut croire en soi,
avant de croire en cette fatalité.
Car se résigner en cette probabilité, c' est mourir,
être de l' ombre d' une ombre. A quoi bon ?
Très long, trop long, lourd aussi, je m' en excuse
si le texte parraît décousu ou incompréhensible.
En résumé>Croire en soi avant tout,
et être maître de son destin(du moins le croire...)
nous propulse en avant de celle-ci, aimant ou pas.
Juste par ce que l' on y croit encore>en l' avenir,
et dès l' instant présent.

Answer 5

Pas de fatalité non. Un mélange de causalité et de hasard, en supposant qu'il existe un hasard indépendant de toute causalité.
La fatalité est une appréciation subjective des évènements, une perception qui suppose une logique déterministe à laquelle on ne peut échapper y compris avec la meilleure volonté. En dehors de la croyance en un grand 'Ordinateur', on peut se laisser abuser en croyant en une volonté issue de la nature. Sans doute faut-il en être capable (de volonté), pour prêter à tout autre organisme que l'être humain une telle capacité.

Answer 6

Je pense que je suis à peu près d'accord. Je ne crois pas au destin, à nos vies prédéfinies. Je crois que nous sommes maîtres de nous mêmes, et que nous avons le pouvoir de façonner notre vie et de construire notre avenir. Cependant, nous ne contrôlons pas tout, il faut tenir compte des circonstances qui, bien qu'elles ne définissent pas notre sort, jouent sur notre présent, notre avenir...
Rien n'est fatalité tant que nous avons le pouvoir de faire bouger les choses. Il suffit d'y croire suffisamment et de se donner les moyens d'aller à l'encontre de ce que l'on considère trop souvent comme une fatalité.
Pour finir, je crois qu'on est maître de notre vie mais que la mort est bien une fatalité. Personne n'y échappera.Il faut simplement la percevoir comme la fin de la vie plutôt qu'un triste sort inéluctable.

Answer 7

C'est comme la religion, de l'opium inséré dans nos cerveaux, afin que nous puissions courber l'échine devant les doctes savants et grands prêtres afin de leur permettre aisement de mener le troupeau de moutons bêlant vers la tombe.

Answer 8

Que tu es maître de ton destin ;-)

Answer 9

Il n'y a pas de fatalité de la mondialisation, mais des choix économiques qui y conduisent sous la forme qu'elle prend aujourd'hui. Des choix qui tiennent à la conscience que nous avons du monde lui-même. Une conscience plus élevée de notre relation au monde et de l'intrication infinie de la vie sur cette planète modifierait de manière radicale nos prises de décisions. Le noeud du problème tient étroitement à la conception même de la richesse que nos sociétés entretiennent collectivement. Elle tient à l'envergure que nous donnons à la prospérité.

Answer 10

c'est fatal