ben oui dans la conscience d'unité il n'y a que le bien !
quand jésus dit " moi et mon père sommes un ", il n'y a pas de séparation !
la conscience séparative apparaît sur le plan mental où à lieu le processus de l'individualisation qui permet à chaque personne d'être séparée de l'autre, ensuite le bien et le mal apparaissent comme des ressentis émotionnels qui permettent à la personne d'évoluer vers la conscience de soi et de retourner vers la conscience d'unité ...
il y en a qui appellent ça l'évolution !
2007-04-10 13:25:07
·
answer #1
·
answered by maricimaraj 7
·
1⤊
0⤋
Ce relativisme empirique est opposé à l’absolutisme moral des religions monothéistes. Elles se construisent en un dogme qui fixe l’interprétation du monde, prohibant toute tentative d’analyse plus avancée de la nature morale. «Tu ne tueras point», mais aussi, bien avant, dans la Genèse l’interdit de « l’arbre de la connaissance » qui, via le serpent, tente Eve de manger le fruit de la connaissance morale, privilège divin. Dieu refuse ce savoir divin du Bien et du Mal à l’homme, qui est condamné à la chute de l’innocence par sa transgression. La connaissance dans les religions judéo-chrétiennes est ainsi limitée : seul Dieu devrait disposer de la connaissance de Bien et de Mal, il est censé les dépasser. Avant le Dieu amour, il y a tout de même un dieu Colère, celui qui punit les égyptiens…
Dans la courte préface de «Totem et Tabou» de Freud, l’auteur s’excuse devant son peuple de l’incursion transgressive qu’il va faire dans l’éthique biblique. C’est très intéressant à lire.
Ton affirmation ne prend pas en compte les religions polythéistes ou animistes. Les dieux Grecs étaient tous dotés de traits que l’on nommerait « bons » ou « positifs » ET de traits «négatifs» : ils étaient un symbole d’une nature qui donne vie et mort indifféremment. Ils la représentaient en totalité, bien qu’étant des symboles de concepts séparés. «La naissance de la Tragédie» de Nietzsche est tout a fait explicite à ce sujet, de même que les théories de C.G. Jung.
Petit ajout: la vision Gestaltiste d’un dieu telle que tu la proposes est assez étrange, à vrai dire. Un dieu n’est-il pas sensé être l’alpha et l’oméga pour ses fidèles? Dans ce cas il n’est pas question de somme des parties supérieure au tout, mais uniquement de l’universalité du tout, de son infinité qui transcende le réel même… C’est pour ça qu’on peut le considérer comme divin. Après, ne pas y croire, c’est une tout autre question.
2007-04-10 00:59:04
·
answer #2
·
answered by Anonymous
·
1⤊
0⤋
Le bien et le mal n'ont rien à voir avec dieu.
2007-04-09 23:38:16
·
answer #3
·
answered by jacquesh2001 6
·
1⤊
0⤋
oui jacques a raison, le bien et le mal ne sont pas des composantes de dieu.
Dieu est universel, il est partout en chacun de nous, et nous sommes lui.
La conscience collective est beaucoup plus vitale à la notion de dieu.
C'est amusant d'ailleurs, en ce sens elle rejoint les idées communistes (farouches adversaires des religions), qui se fondent aussi sur la conscience collective. (mais ce n'est pas le sujet)
2007-04-13 14:42:05
·
answer #4
·
answered by la riflette 4
·
0⤊
0⤋
Une somme éthique et non plus morale ;-)
2007-04-10 22:30:15
·
answer #5
·
answered by Anthéos 5
·
0⤊
0⤋
Dans beaucoup de religions non monothéistes, les dieux ne sont pas bons ou mauvais mais tous ambivalents comme la réalité.
La scission bien/mal vient du zoroastrisme, ancêtre de nos monothéismes.
2007-04-10 02:20:57
·
answer #6
·
answered by bluejude777 4
·
0⤊
0⤋
égale à 0
2007-04-09 23:20:02
·
answer #7
·
answered by LADY O. 7
·
0⤊
1⤋
Dieu est un est il ne se somme pas.
Bien ou mal ne sert qu'à équilibrer la société, et si l'on faisait que Dieu ne juge pas?
2007-04-09 23:22:27
·
answer #8
·
answered by carine m 5
·
0⤊
2⤋