par ce que l'humain est un animal territorial, avec l'instinct de domination et la volonté d'asservissement du reste de la planete. Ce qui explique les guerres et la violence qui existe réguliérement sur cette planete
2007-04-07 13:48:26
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answer #1
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answered by Hades et Persephone 7
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L'homme est un "animal " compliqué qui a du mal à vivre an communauté et qui préfère s'en remettre à des forces supérieures plutôt que d'admettre qu'il s'est trompé...
Certes il ne fait pas que détruire mais il faut reconnaître que c'est ce qu'il a fait le plus souvent même si ce n'est pas toujours intentionnel : ex : la nature on a voulu lui imposer notre loi et en fait nous la détruisons petit à petit.
Alors oui on a fait des progrès mais ils vont nous coûter cher et certains "progrès" sont très discutables et ne sont fait que pour à terme détruire ou menacer de destruction (le nucléaire qui je sais nous est cependant utile mais ça ne change pas le pub)
Ces mêmes progrès pour la plupart contribuent indirectement à nous détruire car il détruise la planète et donc à terme plus ou moins long NOUS !!!
Et des exemples de destruction par l'homme y en a des tas : les 2 guerres mondiales, tous les génocides passés et présents, Irak ....
L'homme détruit en construisant, Bush dit qu'il va construire la démocratie en Irak mais en fait il détruit un pays pour prendre ce qu'il veut et pas autre chose.
L'Homme dés qu'il a connu sa capacité à détruire s'en ai servie pour avoir ce qu'il voulait mais ne voyons pas tout en noir l'Homme peut aussi faire des choses magnifiques mais sont -elles suffisantes pour compenser toutes les horreurs qu'il commet et commettra sûrement encore
2007-04-07 06:59:48
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answer #2
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answered by Jane 3
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C'est une généralisation - à mon avis- exagérée...''ne sait rien faire que se détruire'' : ça suppose que ''le bien'' n'existe pas et n'a jamais existé sur terre! ...ce qui est faut!
...et les découvertes comme l'avion, les chemins de fer, les ponts, la pénicilline,le téléphone, Internet, ....et les industries manufacturières, des équipements domestiques, d'impressions des livres, informatiques, vestimentaires,....et Pasteur, Koch, Bell, Edisson,...
Oui il y a menace sur terre, disons mille et une menaces de destruction, mais il faut, dans tous les cas, que l'évaluation soit réaliste pour arriver à faire quelque chose qui sauve!
2007-04-06 22:38:07
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answer #3
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answered by Z'Goum 4
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Le désoeuvrement du mental, appelle les conduites d’auto-destruction : dérive dans l’alcool, repli dans la drogue, dépression et suicide, que les moyens employés soient licites ou illicites importe peu. La nécessité peut aussi dans l’extrême danger se rappeler à un homme devenu engourdi et sourd dans le danger, comme dans le cas examiné plus haut des catastrophes naturelles. Le sens du danger a un mérite : éveiller au réel et donc provoquer un sursaut de vigilance, éveiller le sens de la communauté humaine et de la communauté de la vie. Il est aussi possible, quand la faim de réalité n’est pas comblée, que la vie trouve une issue dans quelque chose de redoutablement « sérieux ». Mettons, le crime, comme le montre Jonas, ou l’enthousiasme de la guerre par exemple. « Si la nature est avare en catastrophe, l'oeuvre humaine de la guerre peut prendre leur place». Rien de tel que ce genre de cravache pour réveiller un individu n’ayant plus de lien social qu’illusoire, de la lassitude désabusée d’une vie qui oscille entre boites de nuit et loisirs marchands. Ou encore, dans le vague à l’âme et la dérive de la crise morale, on peut penser à ce genre de conversion pressante et fanatique aux valeurs religieuses d’un intégrisme militant. Quand la subversion de toute réalité devient patente et que la co-création du réel est impossible, le discours enflammé de dénonciation de la corruption sera toujours écouté. Il faut tout de même savoir que l’argument dont se vantent les écoles religieuses intégristes, c’est de récupérer et de remettre sur les rails la jeunesse désoeuvrée et sans repères de l’occident ! Quand le désoeuvrement ne décharge plus de violence gratuite dans la révolte et la destruction, il finit sa course dans l’intégrisme dont il grossit les rangs. Le mot est assez clair : désoeuvrement, cela veut bien dire sans Åuvre, sans ancrage dans le réel par le biais créateur du travail. On ne mettra jamais fin au désoeuvrement en multipliant les divertissements, pas plus que l’on mettra fin à la violence dans les banlieues en multipliant les salles de jeux. Ce que la vie exige, ce n’est pas le divertissement, mais l’investissement dans un travail. Ce que la vie demande, c’est un investissement intégral qui se trouve lui-même comme une vocation. Ce que la Vie exige,
2007-04-06 22:31:23
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answer #4
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answered by ? 7
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c'est exagéré, l'homme ne fait pas que se détruire, il construit aussi !
2007-04-06 23:51:50
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answer #5
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answered by eaubrune 5
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c'est le deuxième principe de la thermodynamique
2007-04-06 22:38:27
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answer #6
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answered by ? 1
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parce qu'il est : psychopathe ? ,
2007-04-06 22:31:18
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answer #7
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answered by peau_derm 5
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As tu une quelconque idée de tout ce qu'il a fallu constuire pour que tu puisses poser cette question en toute liberté d'expression usant d'un moyen de communication aussi évolué qu'internet?
2007-04-07 11:31:20
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answer #8
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answered by Cyrus F 3
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