je suis est le verbe créateur ! c'est l'être impersonnel des philosophes qui se conjugue personnellement à tous les temps de la vie - eh oui - qui est créateur et cela éternellement comme c'est dit par l'être éternel qui répond à moise quand celui-ci lui demande : "mais qui es-tu ? " et il répond " je suis celui qui est, éternellement je suis ! "...
l'être s'exprime à travers toutes les formes et dans ce cycle c'est pour en développer la conscience, tout comme dans le cycle précédent, c'était pour en développer l'intelligence, et à travers les êtres intelligents qui développent maintenant la conscience dans la forme humaine, il se sert de la pensée, du sentiment, de la parole et de l'action et ainsi toute personne qui souhaite méditer sur cette vérité peut le faire en méditant sur le sens du verbe et même il existe une prière du nouvel âge qui sert à ça et qui est la suivante :
je suis le créateur du ciel et de la terre, je suis le père et la mère de l'univers, tout est venu de moi et tout retournera à moi, le corps le mental et l'esprit sont mes temples pour le que le Soi réalise en eux mon être suprême et mon devenir,
le Soi, bien sûr, étant une façon personnelle de nommer l'Etre comme on le fait souvent dans la philosophie orientale où le "swami" est celui qui a compris et réalisé la vérité du swa !
alors l'âme dans tout ça ? c'est le véhicule de l'esprit qui est le soi, et la personnalité est le véhicule de l'âme et la vie les contient tous les trois ...
la personnalité évolue dans la matière par l'énergie de l'esprit et la rencontre entre les deux est l'âme qui est à la fois esprit et matière, c'est à dire qu'elle est la lumière qui contient tout ! le christ, par définition avant que des églises ne s'emparent de ce mot pour en faire un dogme, est la lumière sans forme qui enveloppe toutes les formes et en tant qu'âme nous sommes tous christ ... en tant que lumière elle dure aussi longtemps que l'astre qui l'émet et comme l'âme humaine est la lumière radiante qui entoure la terre, l'âme humaine dure aussi longtemps que la terre elle-même, tout comme l'âme de la terre qui est la lumière du soleil dure aussi longtemps que le soleil lui-même et ainsi de suite ...
comme la chaîne de la connaissance se poursuit analogiquement partout, on peut dire aussi que notre esprit humain est l'âme de la terre et donc que la durée de vie de notre esprit - en tant que monade comme l'appelle leibniz et pas en tant que mental bien sûr, que sa durée de vie est celle du soleil tout comme notre âme dure le temps d'un cycle terrestre, mais bon, c'est un peu vrai mais pas tout à fait exact quand même ... mais bon, c'est déjà pas mal d'en arriver là !
paix et sourires , je suis lumière lumière lumière !
2007-03-31 10:36:48
·
answer #1
·
answered by maricimaraj 7
·
0⤊
1⤋
Je pense donc je suis. Je suis, donc je pense.
Seulement, quand je ne serai plus, penserai-je encore ?
Je ne le crois, mon disque dur sera complètement déconnecté.
Entre nous, que de données perdues !
(mon sens de l'humour)
2007-03-31 15:13:01
·
answer #2
·
answered by Jeanne Pimangamour 7
·
2⤊
0⤋
Ca ne me tracasse plus du tout
Quand j'Aime j'ai une Ame éternelle
et quand je mourrai
je ne partirai pas les mains vides
même s'il n'y a que silence et absence
quelque chose ne sera pas mort
2007-04-01 03:12:59
·
answer #3
·
answered by zéphyr 5
·
1⤊
0⤋
Notre âme c'est la liaison entre notre ego et la mémoire collective - accumulée comme active.
Notre action - ou nos intentions- enrichit cette mémoire collective et voici notre participation éternelle au monde.
La transmission de nos gènes, lorsque nous nous reproduisons, est notre éternisation biologique. Songes-y : en tant qu'organismes nous avons traversé des milliards d'années, évolutant, résistant à des contraintes fort hostiles, nous adaptant toujours, notre vie est un continuum génomique et nous ne sommes pas près de disparaître.
Longue vie à toi
Tchuss
2007-04-01 01:14:29
·
answer #4
·
answered by Anonymous
·
1⤊
0⤋
Non, je ne crois pas.
Essaie d'observer tes pensées comme si tu n'en étais pas l'acteur mais le témoin. Vois comme elles défilent au gré des stimuli exterieurs. Et tu finiras peut-être par arriver à la même conclusion que moi, c'est-à dire qu'il n'y a pas de moi intangible, pas de socle stable. La "conscience" nait de la succession rapide et ininterrompue de pensées plus ou moins indépendantes les unes des autres et dont l'aggregation donne l'illusion qu'elle sont le fruit d'une "âme" alors qu'il s'agit juste de flux d'information(s) intense(s).
Le support de ces flux, c'est notre système nerveux, le cerveau. Le cerveau mort, plus de flux, donc plus de conscience. The end.
Mais c'est vrai que c'est rassurant de se persuader qu'une telle chose que l'âme existe.
2007-03-31 16:07:27
·
answer #5
·
answered by Julian (331-363) 6
·
1⤊
0⤋
je crois que nous avons de la bio életricité que entoure notre corps et que après la diférence de temperature et pression que suivra les heures du déces cette bio eletricité reviendra à état ambiante, c'est a dire? l 'environemment que nous entoure.Tout le cicle suivant de vie de cette bio élétricité déchargé du corps humain défunt c'est c'est qu'on appelle "l eternité"
2007-03-31 15:18:55
·
answer #6
·
answered by Anonymous
·
1⤊
0⤋
Non, non, et non.
2007-03-31 15:07:22
·
answer #7
·
answered by Martin Scriblerus 7
·
1⤊
0⤋
Je ne sais pas si la vie est elle-même éternelle. J'ignore où et quand elle est apparue dans l'Univers. Si elle s'est implantée sur notre planète à partir de bactéries cosmiques. Ni même si elle est apparue spontanément à partir d'un bouillon de culture bien terrestre. Ce qui est certain, c'est que ce qui est venu à manifestation et qui se développe depuis sur la terre est d'une origine unique, et est issu du magma originel. Rien n'a été importé depuis hormis les météorites. Du moins à ma connaissance, et si l'on fait abstraction des supposées visites extras-terrestres qui sont par trop discrètes pour être (à mon sens) prises en compte.
Reste la conscience... Apparue avec les évolutions de l'homme. Les interrogations sur l'âme sont concomittantes à l'apparition de ses angoisses existentielles. Ce qui fait fort peu de temps en arrière eu égard à l'âge (supposé) de l'univers. Par contre, notre génétique porte en elle le souvenir du tout début, puisque rien ne s'est créé mais que tout s'est transformé et a évolué à partir de ce qui était.
Si l'âme est inféodée à la vie, elle est apparue avec et partira avec. Elle obéït donc à la loi des cycles de manifestation de la vie. Elle n'est pas éternelle.
Si la vie est soumise à l'âme, que celle-ci est donc antérieure à la vie, qu'elle n'attendait en quelque sorte que la venue de la vie pour se manifester, alors oui, elle pourrait bien être éternelle. Mais nous "pauvres humains", ne serions alors qu'une de ses nombreuses expressions parmi celles passées et celles sûrement plus nombreuses encore, à venir...
2007-04-08 12:57:45
·
answer #8
·
answered by Marvije 2
·
0⤊
0⤋
que l âme existe ou pas, est une question d ordre métaphysique, les religions la considère comme existante est sacre, et sûrement éternelle , du moment qu elle sera l émissaire de l enveloppe éphémère a l au-delà, les pharaons plutôt la considère comme une séparation temporaire du corps, qu elle retrouvera plu-tard, ce qui les a pousse a inventer la momification...
2007-04-07 15:08:35
·
answer #9
·
answered by rebatek 2
·
0⤊
0⤋
Hélas,étant d'un matérialisme désespéré,j'ai tendance à croire que cette indépendance de l'âme et du corps n'est qu'une illusion et qu'après la mort,comme avant la conception,il n'y a rien.L'âme est vouée à disparaître avec le corps.Neurosciences obligent.L'âme disparaît avec le cerveau qui la conditionne.Je ne vois en effet aucune raison pour qu'il en soit autrement.
Il n'y a qu'à regarder tous les êtres vivants qui meurent autour de nous.
Notamment ceux que l'Homme tue!Si vraiment leur âme était immortelle et que l'Homme le savait,croyez-vous qu'il continuerait à se conduire comme un mufle envers eux?
2007-04-01 12:24:23
·
answer #10
·
answered by Anonymous
·
0⤊
0⤋
qui peut prétendre répondre à cela ?
2007-04-01 05:20:38
·
answer #11
·
answered by beotien 2
·
0⤊
0⤋