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2007-03-28 06:06:36 · 20 réponses · demandé par Anonymous dans Arts et sciences humaines Philosophie

Merci à tous pour vos reponses:)

Sì capisco mio bello Francese. Merci gerard e ;)

2007-03-30 04:39:29 · update #1

20 réponses

Dire que l’homme est libre peut se prendre dans un sens très relatif. Libre, oui, mais par rapport à quoi? Par rapport à la société, par rapport à son passé, par rapport à son milieu, son corps? Par rapport à une contrainte. C'est une manière assez négative de penser la liberté. D'un point de vue plus positif, en quoi consiste la liberté? Est-ce que la conscience est en elle-même libre absolument?
Même si nous disposons d'une liberté, de toute manière, il faudrait encore savoir quel usage nous pouvons en faire. En quel sens peut-on dire que seule l’homme dans la nature dispose d’une liberté ?
L’homme libre doit conserver sa lucidité devant le réel, son pouvoir de délibération, car s’il perdait toute lucidité et tout pouvoir de délibération, il perdrait du même coup sa liberté. Tout se joue donc au niveau de la disponibilité à elle-même de l’intelligence. Où bien je me soumets aveuglément aux mobiles sensibles de la séduction du plaisir, de l’attrait du désir, ou bien je ne me laisse déterminer que par des motifs intellectuels qui résultent d’une considération juste et saine de la situation d’expérience actuelle. Pour que je puisse juger sainement, il faut que mon intelligence garde son indépendance, observe un retrait et ne soit pas asservie au domaine des sens. C’est là une exigence élevée, mais ce pouvoir est peut-être en nous. C’est pour Descartes une évidence incontestable : « il est évident que nous avons une volonté libre qui peut donner son consentement ou ne pas le donner quand bon lui semble, que cela peut-être compté pour une de nos plus commune notions ». La volonté s’appartient à elle-même, parce que la conscience s’appartient à elle-même.
Un esprit lucide est suffisamment conscient des situations d’expérience de la vie et de leur urgence pour ne pas se permettre le luxe d’un vertige métaphysique. La vraie liberté selon Sartre sera non pas dans le choix, mais dans le projet. et le projet de notre existence nous replace dans une intrication si étroite avec le Monde que nous sommes condamnés à porter la complète responsabilité de nos actes : « nous sommes seuls sans excuses. C’est ce que j’exprimerais en disant que l’homme est condamné à être libre".

2007-03-28 06:18:35 · answer #1 · answered by ? 7 · 0 0

a part la libertèe de l'esprit le monde ds lequel on vit nous prive peu a peu de libertèe a laquelle beaucoup de gens sont mort pour que l'on en arrive pas la mais je crois que se ne sera plus qu'un reve libertèe?

2007-03-30 05:32:38 · answer #2 · answered by achanel 3 · 0 0

Déjà - donc dès avant la question - le fait que la liberté ait ses limites - tiens, comme nous, diriez-vous. Oui, comme chacun(e). Que reste-t-il à un "être" fini? Eh bien, je crois qu'il ne lui reste que la liberté - dans ses mots et dans ses gestes - de se renouveler autant que possible, de (se) remettre en question, de viser l'inédit. Pour cela, il ne faut pas marcher mais sauter. On ignore ce qu'il en adviendra. Qui peut cela?

2007-03-29 09:22:35 · answer #3 · answered by Jean-Paul 4 · 0 0

Le moi empirique pense qu'il est libre lorsqu'il a l'égale possibilité de faire ou ne pas faire une action et que la décision ne dépend que de lui.
Donc un acte libre est un acte qui n'a besoin que de moi même pour exister.
Il n'est pas poussé par "quelque chose", ni par une cause déterminée ni en vue d'une fin extérieure à moi.
Donc pour répondre à ta question il faut revenir à la notion de libre arbitre.
Le processus de liberté du moi a (puisque nous sommes des être sociaux un environnement et que cet élément vital implique des règles de communauté) des contraintes qui peuvent générer des pathologies de névroses pour les cas les plus graves, des refoulements ou des comportement tels que l'anarchie, l'insoumission et à contrario des assimilitation acceptable par ton moi.
Donc pour répondre à ta question, être libre n'est pas facile et seul le libre arbitre permet d'y répondre et de juger la validité des empêchement comme tu dis.
Ex : j'ai mon voisin qui est plus bête que moi.
Mon voisin pense que je suis plus bête que lui(il a pas tort)
Je vais l'assassiner (mon moi qui le dit)
les comportements sociaux me disent hola!!!
donc mon libre arbitre va me faire pencher non pas pour le meurtre mais pour l'inviter à boire un coup de muscadet.
Capito ma belle portuguesa.

2007-03-29 06:44:42 · answer #4 · answered by gerard e 4 · 0 0

rien

2007-03-28 19:38:44 · answer #5 · answered by sourireorange 5 · 0 0

les liens.. c'est ce qui rends les au revoirs difficiles.. ceux qui ce tissent, se créent avec les gens qu'on côtoie.

2007-03-28 16:58:17 · answer #6 · answered by Onega 5 · 0 0

l'argent dont on a besoin et que l'on gagne en travaillant des heures et des heures par jours sans aucune motivation

2007-03-28 16:52:17 · answer #7 · answered by fauxie 1 · 0 0

La volonté elle-même est-elle libre ? La notion de la liberté, que l'on peut d'abord concevoir sous l'angle de la "puissance d’agir", doit également être envisagée au point de vue de la "puissance de vouloir". Un nouveau problème se présente donc : le vouloir lui-même est-il libre ? Est-on libre de vouloir ce que l'on veut ???
Le concept empirique de la liberté nous autorise à dire : "Je suis libre, si je peux faire ce que je veux". Mais ces mots (ce que je veux) présupposent déjà l’existence de la liberté morale.
Il est donc impossible d’établir un lien direct entre le concept originel et empirique de la liberté (qui se rapporte à la puissance d’agir) et le concept du libre arbitre (qui se rapporte à la puissance de vouloir).

Bon, c'est vrai, Schopenhauer, c'est un peu compliqué, mais voici un résumé issu de son "Essai sur le libre arbitre", qui me paraît limpide :
"Je peux faire ce que je veux : je peux, si je veux, donner aux pauvres tout ce que je possède, et devenir pauvre moi-même – si je veux ! – Mais il n’est pas en mon pouvoir de le vouloir, parce que les motifs opposés ont sur moi beaucoup trop d’emprise."

2007-03-28 15:30:48 · answer #8 · answered by NIKITA 2 · 0 0

hé bien..qu'entends tu par etre libre?
je verrais apres ce qui m'en empeche.....

2007-03-28 15:14:07 · answer #9 · answered by Anonymous · 0 0

Si tu désires être libre,c'est que tu ne l'es pas.Sinon,tu souhaites le rester.Nietzsche a fait remarquer que la liberté prenait tout son sens en état de privation de liberté.
Mais il importe aussi et surtout de définir le terme "liberté".
Etre libre,est-ce faire ce que l'on veut,ou vouloir ce que l'on doit? (question du bac philo sur Kant je crois).

2007-03-28 14:36:53 · answer #10 · answered by Anonymous · 0 0

La peur et l'ignorance.

la peur de devoir assumer sa liberte.

la certitude (tout ce qu'il y a de plus culturelle) que 'on a besoin de chef, de cadre, de parties, de pretre, et tout le toutim.

Mais gare aux bergers le jour ou les montons comprendrons qu'il n'ont pas besoin d'eux ;-)

2007-03-28 13:54:44 · answer #11 · answered by haflinger2098 3 · 0 0

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