Parle pour toi!!
Moi je ne pense pas ce qu'il dit, même tout bas!!
Surtout pas ce genre de choses:
Droits de l'homme : «La Déclaration des droits de l'homme est la mère de tous les grands mouvements totalitaires du XXe siècle, car très rapidement, l'aspiration à l'humanisme et à l'humanitarisme débouche sur la terreur.» La Trinité-sur-Mer, le 26 août 1989.
La " déclaration des droits de l'Homme "marque le début de la décadence de la France (...), le rejet de l'ordre naturel et divin (...), nie le principe général d'autorité (...), ne reconnaît pas les droits de la famille, de la nation et ceux liés à la survie et à la pérennité de la lignée " (Jean-Marie Le Pen, Discours à la Trinité-sur-mer, 26 août 1989)
Droits de la femme : «L'affirmation que votre corps vous appartient est tout à fait dérisoire. Il appartient à la vie et aussi, en partie, à la nation.» Le Parisien, le 20 mars 1996. (Les libertés personnelles de la femme sont mises en cause)
" Il faut qu'il y ait une autorité, et nous pensons que l'autorité la plus qualifiée dans un ménage est celle de l'homme " (Jean-Marie Le Pen, La droite aujourd'hui, 1979)
Le voile musulman : « Il nous protège des femmes laides".
Sida : «Les sidaïques en perspirant du virus par tous les pores, mettent en cause l'équilibre de la nation. (...) Le sidaïque est contagieux par sa transpiration, sa salive, son contact. C'est une espèce de lépreux.» Antenne 2, le 6 mai 1987.
Barbie Le 28 février 1983, Le Pen proteste contre l'arrestation de Klaus Barbie, « affaire bassement électorale ».
Hiroshima « Un détail de l'histoire aérienne de la guerre », selon Le Pen, 18 septembre 1987. RAPPEL : 6 août 1945, 8 h 15, explosion de la première bombe nucléaire. Instantanément, 70 000 morts.
Censure (Bruno Mégret ) : « Bannir le cosmopolitisme de l'Éducation nationale en révisant les manuels scolaires », telle était l'une des 50 mesures concrètes sur l'immigration proposées par Bruno Mégret en novembre 1991 (AFP, 11 novembre 1991) Cet aveu d'une volonté d'endoctrinement provoqua des réactions. Le FN, en quête de respectabilité, édulcora sérieusement la proposition dans son programme de gouvernement officiel, se contentant d'annoncer que « les programmes et le contenu d'enseignements tels que l'histoire ou la philosophie seront revus pour donner une vision équilibrée et pluraliste de la discipline » (Front national, 300 Mesures pour la renaissance de la France, programme de gouvernement, Éd. nationales, 1993, mesure 14, p. 81).
Menace : «Députés et politiciens peuvent partir pacifiquement tant qu'il en est encore temps (...) Je ne suis pas certain que, en des temps futurs, ils en auront le loisir tant la colère légitime du peuple sera exigeante.» Meeting à Paris, le 13 avril 1996.
La Résistance : «Le général De Gaulle était-il plus courageux que ne l'était le Maréchal en zone occupée ? Ce n'est pas sûr. C'était plus facile de résister à Londres que de résister en France. Ah oui, beaucoup plus.» La Une (journal éphémère), 1996.
Chambre à gaz : «Je me pose un certain nombre de questions. Je ne dis pas que les chambres à gaz n'ont pas existé. Je n'ai pas pu, moi-même, en voir. Je n'ai pas étudié spécialement la question. Mais je crois que c'est un point de détail de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale.» RTL, le 13 septembre 1987.
Durafour-crématoire : «Monsieur Durafour et Dumoulin, obscur ministre de l'ouverture dans laquelle il a d'ailleurs immédiatement disparu, a déclaré : nous devons nous allier aux élections municipales, y compris avec le Parti communiste, car le PCF, lui, perd des voix tandis que l'extrême droite ne cesse d'en gagner... M. Durafour-crématoire, merci de cet aveu.» Réunion des cadres FN au Cap-d'Agde, le 2 septembre 1988.
Les juifs : «Les grandes internationales, comme l'internationale juive, jouent un rôle non négligeable dans la création d'un esprit antinational.» Présent, le 11 août 1989.
Immigration : «Ce phénomène angoissant nous impose ses coutumes, ses mœurs, sa religion et nous vole nos âmes (...) La marée de l'immigration va nous submerger après nous avoir ruinés.» Paris, le 1er mai 1996.
Guerre civile : «La politique de la ville qui consiste à privilégier les étrangers et, parmi eux, les plus marginaux, est en train de mettre en place les prémices de la guerre civile.»
Paris, le 1er mai 1996.
Football : «Je trouve artificiel de faire venir des joueurs de l'étranger et de les baptiser équipe de France. (...) La plupart des joueurs français ne savent pas ou ne veulent pas chanter "la Marseillaise" (...) Je constate que la plupart d'entre eux restent bouche bée, quelques fois mêmes, pour certains, le visage hostile.» Saint-Gilles (Gard), le 23 juin 1996.
Guerre ethnique : «Oui ou non, veut-on pour demain une société multiraciale dont on doit savoir qu'elle débouchera inéluctablement sur une fracture, puis sur une guerre ethnique ?»
La Grande-Motte (Hérault), le 31 août 1996.
«Races» : «Oui, je crois en l'inégalité des races. (...) Aux Jeux olympiques, il y a une évidente inégalité entre la race noire et la race blanche, c'est un fait. Je constate que les races sont inégales. C'est une banalité.» Europe 1, le 9 septembre 1996.
Décadence : «C'est certain, il n'y a que le FN qui puisse arracher le pays à la décadence (...) Il y a un moment où tout cela va s'arrêter et là, ce sera la révolution. Vous devez vous y préparer parce qu'à un moment donné les structures vermoulues de notre système vont s'écrouler.»
Saint-Cloud, le 14 septembre 1996.
2007-03-27 01:37:20
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answer #1
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answered by maow 6
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