Le capitalisme est-il le SEUL à pouvoir créer des richesses?

Question

NOOOOOOOOOOOOON, je ne vous demande pas de choisir entre capitalisme et communisme, soyez un peu plus ouvert!

www.societal.org

Answer 1

Chaque année, des dizaines de nouveaux jeux, provenant du monde entier envahissent nos vies, suscitent un engouement aussi instantané qu’éphémère. Ces jeux suspectent et coupables d’autant que la répartition des gains s’appuient sur des enjeux qui favorisent toujours les organisateurs. Comme la publicité qui est la principale source de revenu de la presse et de la télévision !
Par l’intermédiaire des médias le capitalisme maintient son contrôle sur les adultes, mais également sur nos enfants. Le capitalisme éduque très tôt nos enfants, les médias dédient des programmes qui les conditionnent à la consommation et les habituent aux valeurs du système. Ils n’ont pas l’esprit critique très développé mais ils sont amenés à être des consommateurs et des travailleurs de demain.
A chaque instant de notre vie le capitalisme se perpétue malgré l’injustice qu’il procure grâce aux médias qui diffusent son message et nous encouragent à participer aveuglément. La publicité sous les aspects éducatifs pénètre dans nos écoles qui a pour but d’enseigner la morale républicaine et le patriotisme.
Notre école doit favoriser le développement intellectuel et donner un certain esprit critique et créatif et la volonté d’agir dans la société en tant que citoyen. Mais les intérêts du capital passent avant la liberté, l’égalité, la fraternité et la laïcité.
Actuellement dans notre pays, des millions de personnes survivent grâce aux aides de l’état et d’autres dorment dans la rue. Parmi elles, se trouvent de nombreux jeunes, des adultes et des personnes âgées qui sont en rupture avec la société: Echec scolaire, problèmes familiaux, instabilité, demandeurs d’emploi en fin de droits, retraité.
Certains sont contraints d’emprunter de l’argent pour faire face aux besoins de la vie quotidienne. Certains hommes politiques et entreprises se déresponsabilisent en demandant aux personnes les plus fragilisées, à celles qui connaissent le plus de difficultés de se projeter dans l’avenir. La destruction sociale liée, d’une part au développement massif du chômage et, d’autre part à une crise des références rend difficilement la possibilité de vivre ensemble.
Le principal souci des citoyens dans notre démocratie ce n’est pas d’avoir seulement le droit de vote, mais au moins l’application des droits de l’homme et des citoyens. Il permet à l’homme qui trouve enfin sa place et un rang dans la société d’accéder à la dignité.
Un être humain qui travaille est un homme utile, celui qui ne fait rien devient un fainéant et un égoïste qui ne se soucie que de lui puisqu’il ne produit rien d’utile à lui-même et aux autres. Le travail permet à l’être humain d’obtenir son indépendance matérielle, puisqu’il lui fait normalement gagner honnêtement sa vie. De jour en jour notre société se meurt d’égoïsme, et ce sentiment coupable de la part de tous, elle l’est davantage quand il émane de ceux qui pourraient faire le bien et ne consentent pas à le faire.
Sous couvert du développement économique qui produit de plus en plus des exclus. Nous sommes aujourd’hui à la devise du chacun pour soi, nous sommes devenus comme nos anciens, des nègres, des « stucke », des kapos. La discrimination à l’embauche fondée sur le nom, l’âge, l’apparence physique, la couleur de la peau, la croyance ou le quartier que pratiquent souvent les chefs d’entreprises, quand ils s’appuient sur la remise en cause des statuts des salariés. Ceux qui travaillent sont sous-payés et la plupart vivent dans des quartiers à part, misérables. Les adultes et les jeunes rémunérés sur la base du SMIC avec des horaires et ou à temps partiels. Le fruit de leur travail est transféré aux actionnaires ceux même qui n’hésiteront pas à les licencier dès que l’entreprise ne sera plus productive. Les grandes entreprises se plaignent de payer trop de charges sociales alors que les revenus du capital et les bénéfices de ces entreprises, ont plus que triplés par rapport aux cotisations sociales et augmentation de salaires

Par manque de vigilance on peut renverser une bougie et allumer un incendie et le bouillonnement des passions les plus basses. Aujourd’hui un conservatisme borné, des mesures rétrogrades, ne rien changer jusqu'à faire déborder le vase clos ou du vase une goutte d’eau. La douleur de certains d’entre nous ne peut pas avoir d’autre suite que de récolter l’effroyable tempête des haines, des révoltes. Il y a passage de la violence quand il y a incompréhension. Tolérer, n’est pas accepter, mais d’abord comprendre, respecter. L’intolérance vient de ce qu’on ignore et qui fait peur. Pour être capable de combattre dignement l’inacceptable. En laissant s’exprimer ce qui est différent, et comprendre pourquoi c’est différent. Nous pouvons refuser et combattre, poser des limites claires à ce que l'on peut supporter. Mais dans la compréhension et dans le respect mutuel. Ce n’est qu’en donnant sens à des maux qu’on pourra les mettre en mots. Ce n’est que lorsqu’on trouvera les mots que ces maux pourront cesser. Ce qui est en jeu est la supériorité du dialogue sociale dans notre République.
La Nation avait pour devoir de permettre aux citoyens de travailler car la dignité de l’homme n’existe qu’à partir du moment où celui-ci peut subsister par lui-même en faisant vivre sa famille.
La République, a donc le devoir de fournir du travail à ses enfants. Pour éviter le chômage l’Etat avait crée des emplois nationaux, leur fermeture et la remise en cause de ce devoir de l’Etat envers ces citoyens fut la cause d’une nouvelle Révolution.
Les devoirs de l’Etat, énoncés à travers les devises républicaines « Liberté, Egalité, Fraternité » se sont trouvées modifiés par leurs représentants à travers les époques pour aboutir à une situation d’irresponsabilité. Tolérable est ce qui est respectable et est respectable ce qui conduit au bien et à la pérennité de la société. Les citoyens attendent des réponses au chômage qui est mort de la dignité voire de l’identité.

Answer 2

Non le socialisme crée des richesses aussi mais uniquement pour ses membres.....

Answer 3

Ce qui a crée le capital, c'est l'homme.

C'est l'homme qui crée la richesse.

Le capital appauvrit la majorité des hommes.

Answer 4

en remier les richesses créent le capitalisme...

Answer 5

Qu'est-ce que la richesse ?
pouvoir s'offrir un pays, 30 yachts, 20 ferrari, entretenir 5 ou 6 femmes et leurs pleïades de rejetons, faire partie des pipeuls, passer à la téloche porter des fringues trop top classe hyper chères mais une heure par jour puis poubelle, j'en passe et des vertes… et des pas mûres…

et si la véritable richesse c'était l'art de partager, l'art de donner du bonheur ?

Answer 6

c'ets l'homme qui crée les richesses

Answer 7

Allez ouvre un livre, Capital de Marx et tu auras la réponse

Answer 8

Des richesses ayant été créées avant l'avènement du capitalisme, la réponse est évidente.

Maintenant, on n'a pas trouvé plus efficace en moyenne sur le long terme.

Answer 9

Ben, si ce sont des richesses matérielles moi ça ne m'intéresse pas forcément, je suis en quête de richesses humaines !

Comme le dit le mouvement sociétal, les ressources ne sont pas illimitées mais ce mouvement a une réflexion qui me semble encore bien trop circonscrite.

Answer 10

Je te cite l'interview d'O.Besancenot dans Ouest -France de ce jour:
" La France ne s'appauvrit pas, elle n'a jamais été aussi riche, or la redistribution n'a jamais été aussi inégalitaire qu'en ce moment..."

Qque part normal ds la mesure ou le pays n'a jamais été aussi riche, pas acceptable pour autant.!

Dc pour ta question, je te dirais bien que le capitalisme est le moins mauvais système créateur de richesses, comme la démocratie le moins mauvais système de gouvernement...