ça dépend des gens et leur vie...pour un musulman et un croyant c'est la peur de la fin... est-ce que ça sera en paradis ou à l'enfer... c'est aussi parce que le moment ou on pense à la mort c'est comme si le film de notre vie se rejoue devant nous alors en trouvant bcp de bêtises on a peur d'arriver à la fin sans changer ce qu'on a fait de mal ...
et pour les autre gens.. les non croyants... je crois qu'ils ont peur parce qu'ils ignorent qu'est ce qu'il ya après la mort ....
2007-03-25 11:51:51
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answer #1
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answered by Anonymous
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La peur de la mort n'est pas nécessairement un mal, elle peut au contraire s'avérer salutaire !
Si nous prenions profondément conscience de la nature inéluctable de notre mort et de la complète incertitude de son moment, nous pourrions saisir le caractère illusoire, vain de nos préoccupations habituelles.
Comme le déclarait l'ermite et poète tibétain Milarépa:
"Saisi par la crainte de la mort, j'ai rejoint les montagnes et me suis engagé dans un profond travail intérieur. Aujourd'hui la mort peut venir, mon coeur est sans peur, heureux et serein."
2007-03-25 18:31:53
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answer #2
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answered by troubadour 2
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Ce que la mort fera disparaître avec la matrice biologique qui ne peut en rien assurer à elle seule la création d’une personnalité, ce sont « les autres ». Mais alors, peut-on dire que « nous sommes nous », simplement parce que les autres se sont présentés dans un certain ordre, temporel, variable avec chacun suivant certaines caractéristiques, variables essentiellement avec le milieu, avec la niche que le hasard de la naissance nous a imposé ?
Peut-on dire que nous existons en tant qu’individu alors que rien de ce qui constitue cet individu ne lui appartient ? Alors qu’il ne constitue qu’une confluence, qu’un lieu de rencontre particulier « des autres » ? Notre mort n’est elle pas en définitive la mort des autres ?
Cette idée s’exprime parfaitement par la douleur que nous ressentons à la perte d’un être cher. Cet être cher, nous l’avons introduit au cours des années dans notre système nerveux, il fait partie de notre niche. Les relations innombrables établies entre lui et nous que nous avons intériorisées, font de lui une partie intégrante de nous-mêmes. La douleur de sa perte est ressentie comme une amputation de notre moi, c’est-à -dire comme la suppression brutale et définitive de l’activité nerveuse que nous tenions de lui. Ce n’est pas lui que nous pleurons, c’est nous-mêmes. Nous pleurons cette partie de lui qui était en nous et qui était nécessaire au fonctionnement harmonieux de notre système nerveux.
La vraie famille de l’homme, ce sont ses idées, et la matière et l’énergie qui leur servent de support et les transportent, ce sont les système nerveux de tous les hommes qui à travers les âges se trouveront « informés » par elles. Alors, notre chair peut bien mourir, l’information demeure, véhiculée par la chair de ceux qui l’ont accueillie et la transmettent en l’enrichissant, de génération en génération.
La mort est pour l’individu la seule expérience qu’il n’a jamais faite et pour laquelle le déficit informationnel est total. Totale et définitive aussi l’angoisse qui en résulte puisque l’angoisse survient lorsque l’on ne peut agir, c’est-à -dire, ni fuir, ni lutter.
Alors, l’Homme a imaginé des « trucs » pour occulter cette angoisse.
D’abord, n’y pas penser, et pour cela agir, faire n’importe quoi, mais quelque chose. L’angoisse de la mort chez le combattant existe avant la bataille, mais pendant la lutte, elle disparaît, parce que justement, il lutte, il agit.
La croyance en un autre monde où nous allons revivre dès que nous aurons tourné la page où s’est inscrite notre existence dans celui-là , est un moyen qui fut beaucoup utilisé, d’avoir une belle mort, une mort édifiante.
La croyance (quelle que soit l’opinion que l’on a d’un « au-delà ») que sa mort va « servir » à quelque chose, qu’elle permettra l’établissement d’un monde plus juste, qu’elle s’inscrira dans la lente évolution de l’humanité, suppose que l’on sache vers quoi s’oriente l’humanité. Combien sont morts avec cette conviction au même moment dans des camps antagonistes, défendant des idéologies opposées, chacun persuadé qu’il défendait la vérité. Mourir pour quelque chose qui nous dépasse, quelque chose de plus grand que nous, c’est le plus souvent mourir pour un sous-ensemble agressif et dominateur de l’ensemble humain.
2007-03-25 18:29:04
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answer #3
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answered by Anonymous
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la mort en elle -même ne fait pas peur, c'est de plus être de ce monde qui fait peur! quitter ceux qu'on aime, vivre, respirer, et apprecier la vie, ces choses qu'on pense qui vont nous manquer! ce qui crée cette crainte!
2007-03-25 18:22:23
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answer #4
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answered by Wesley Kevin Smith 5
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parce qu'on ne sait pas ce qui s'y passe :)
2007-03-25 18:19:39
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answer #5
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answered by ☺Fred91☺ 3
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parce qu'on a peur d'avoir mal et de ne plus vivre
or toute notre vie nous ne faisons que lutter pour nous maintenir en vie
2007-03-25 18:59:19
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answer #6
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answered by Marie 7
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ben moi j'ai pas peur de la mort.
ce qui me fait peur c'est de mourir alors que mes enfants ne sont pas assez grands.
mais j'ai pas peur de ma propre mort. non pas du tout, sincèrement.
2007-03-25 18:49:41
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answer #7
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answered by super nounou 4
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Peut-être nous a t-on appris à respecter la vie
2007-03-25 18:48:31
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answer #8
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answered by redemptateur 3
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Parceque on ne peut plus vivre sur la terre, quitte la famille, des amis et on est enterré, brulé etc....
2007-03-25 18:31:47
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answer #9
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answered by SJ 2
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On a peur de la mort quand on pense qu'après celle-ci il n'y a rien. Alors que ceux qui croient qu'il y a une vie après la mort n'en ont pas peur.
2007-03-25 18:30:06
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answer #10
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answered by ptit.chou 7
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