Exactement.
Toutes les personnes sensibles à ces discours, je l'espère, préfèreront l'original à la copie (bien tardive soit-dit en passant...) au moment de glisser leur bulletin dans l'urne.
Je trouve le positionnement des Sarközy, Bayrou et Royal tout simplement honteux.
Personne ne peut être dupe de ces prises de position "nationalistes" dans la dernière ligne droite...
Tout cela est la conséquence d'une "lepénisation" indéniable des esprits, notamment depuis le fameux 2nd tour de 2002...
Le "Diable", insulté et humilié, depuis tant d'années, à grands coups de "démocratie" ou encore de "République", se voit aujourd'hui copié par les mêmes qui défilaient hier contre lui, réclamant "sa peau" avec tant de hargne...
Notons quand même que pour garantir l'Identité Nationale, il faut avoir une politique cohérente, et en particulier ne pas avoir défendu le OUI à la Conbstitution Européenne, genèse de de l'ouverture des frontières et porte ouverte à toute invasion....
En tant que partisan de Jean-Marie Le Pen, aujourd'hui je jubile. Je jubile de voir tous ces bien-pensants constater leurs erreurs, se rendant compte de l'état du Pays. Je jubile de les voir prendre (ou du moins faire semblant de prendre) la bonne direction. Celle de la Nation, de l'Identité et de la cohésion.
Je ris, mais je ris jaune.
Car dérrière ces positions, on continue à dire que Le Pen c'est le facsisme et la xénophobie...
Les médias ont ressorti leurs couteaux électoraux en pondant des émissions mensongères et calomnieuses, présentées comme de magnifiques investigations, sur le FN et ses électeurs (ex : "Envoyé Spécial"...), à grands coups de "Voix Off" et de manipulations lexicales.
Par conséquent, je prie pour que :
1°) Les français choisissent l'original plutôt que la copie.
2°) Ils ne donnent pas le pouvoir aux responsables de la fuite des valeurs qu'ils prônent aujourd'hui de manière éhontée.
3°) Les français se rendront compte que pour garantir une identité nationale, il faut avoir une Politique internationale et planétaire cohérente et en accord avec ce positionnement...
4°) La France redevienne un Pays libre, fort, simple et se dresse en parangon de la lutte contre un phénomène de mondialisation qui sera, j'en suis sûr, à l'origine de notre perte.
Allez la France, Allez Le Pen !
2007-03-24 05:00:30
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answer #1
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answered by hooliweb 2
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oui, si ça continue comme ça ils vont bientôt rejoindre le FN .
2007-03-24 11:40:42
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answer #2
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answered by c_sla_oui ! 6
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Les temps changent mon bon William.
2007-03-24 11:37:59
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answer #3
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answered by ? 7
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La mesure la moins nationaliste est certainement le ministére de Sarko.
Ségolène et Bayrou reprennent des idées dépassées simplement pour faire des voix.
2007-03-24 11:49:58
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answer #4
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answered by tarzan 5
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Et il y aura des rafles pour ceux qui ne mettront pas le drapeau à leurs fenêtre non?
2007-03-24 11:45:52
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answer #5
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answered by yesterday 3
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Les mots ne veulent dire que ce que l'on met derrière eux !
j'ai confiance dans le socialisme !
2007-03-24 11:42:24
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answer #6
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answered by julien g 5
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Entre une identité qui divise et une identité qui rassemble, pas d'amagamme possible entre ces candidats.
Le symbole d'une nation. Je pense que ça doit être ressourçant, un refuge. Ca veut dire, moi, je fais partie de ce pays, j'ai hérité de cette histoire. J'annonce la "couleur". Quand on se sent une cible dans un pays étranger, "une racaille" comme tu dis, je comprends qu'on ai besoin de ce refuge, de revendiquer un groupe dont les membres ne vont pas nous rejeter. Le groupe est un refuge. Se sentir appartenir à une nation est un refuge. On s'y sent d'autant mieux qu'on sent que le groupe est fort, qu'il peut nous protéger. La façon la plus simple de renforcer le groupe, c'est de le définir en opposition à un autre auquel on va attribuer des valeurs négatives. Le plus facile est de trouver un groupe dont on ne connaît pas les valeurs, un groupe d'étrangers. Quand ces valeurs sont incomprises, c'est plus facile de le prendre pour cible, pour renforcer la cohésion de son groupe. Et quand le groupe est fort, il peut y avoir le risque que l'individu s'oublie. J'ai mon identité de groupe, je n'ai plus d'identité personnelle. Je suis l'avis du groupe, je ne pense même pas à contrecarrer le courant, parce que le grand risque, c'est d'être rejeté de là où je me sens bien. De mon refuge. J'accepte tout, le groupe est un rouleau compresseur, j'accepte la haine, la haine me fait du bien, elle me nourrit, car elle renforce mon sentiment d'appartenance. Ca se passe comme ça... sauf quand...
Sauf quand le membre du groupe décide un jour de sortir du ventre du groupe, d'être un individu, de ne pas se laisser entraîner par le courant. Il devient un individu, c'est un crise, parce que ça implique de ne plus avoir peur. Ne plus avoir peur de l'autre pour oser braver le monde et s'enrichir de la différence. Il n'oubliera pas ses racines, son identité nationale (qui peut être complexe et riche de métissage), son refuge, ses ancêtres, ce qui l'a construit. Mais libéré de son besoin infantile de protection, il deviendra un adulte citoyen du monde.
Notre civilisation n'est pas adulte, elle a besoin de ces refuges, elle a apparemment besoin d'une identité nationale. Mais il serait dommage que cette identité nationnale ne puisse se renforcer que par l'opposition à l'étranger. Bien loin de l'humain qui du dinosaure reptilien a su développer un néo-cortex, une capacité d'abstraction, une capacité à s'individuer. Et il serait indigne (trop facile, sauf s'il on veut manipuler les plus bas instincts des gens) d'associer l'identité nationale à l'immigration.
2007-03-24 11:39:18
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answer #7
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answered by efffeline 5
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Villiers est sans doute le plus nationaliste de tous, mais ne pas oublier Schivardi aussi...
2007-03-24 11:38:51
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answer #8
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answered by Anonymous
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il est deja trop tard pour ca, sans finir dans le sang...
2007-03-24 11:38:08
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answer #9
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answered by sakalme 4
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Je ne sais pas, mais en tous cas, ces discours finissent de plomber la construction européenne et nous laissent de plus en plus seuls dans notre fange.
En tous cas, je ne pense que que ceux qui surfent sur cette vague nationaliste aiment la France. Elle a tout à perdre à se prostrer comme elle fait.
Bayrou, c'est à part, c'est un problème pratique qu'il évoque: il parle de Mayotte et de la Guyane. Et ça c'est du grand n'importe quoi, tout le monde s'accorde à le dire. Enfin à le penser en tous cas.
2007-03-24 11:49:25
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answer #10
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answered by Jo le crabe 1
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